On a longtemps cru que les océans pouvaient absorber indéfiniment les rejets humains dans leurs profondeurs. Or la masse et la diversité de pollutions rejetées dans les océans est telle qu’il faut se rendre à l’évidence : on est en train de transformer les océans en une véritable poubelle. Plastiques, déchets toxiques, hydrocarbures : tout y passe.
Les océans meurent de la pollution humaine
Il existe différents types de pollutions déversées dans les océans : celles qui proviennent de l’activité des navires en tant que telle, et celle qui provient de la Terre. On estime que les 2/3 de la pollution marine est terrestre : elle est généralement charriée par les fleuves et proviennent des décharges, des eaux non traitées, des effluents d’usine…
La pollution marine : une goutte d’eau ?
Finalement, les 150.000 tonnes d’hydrocarbures déversées chaque année dans les océans ne représente « que » 2,5 % de la pollution des océans.
On peut ajouter à cela les eaux de ballast souillées déversées tous les ans par les navires de marchandises. En effet, les 400.000 tankers qui sillonnent les océans portent avec eux des eaux qui permettent de lester le navire. De nombreux bateaux procèdent à des dégazages et des déballastages sauvages, ce qui signifie qu’ils nettoient leurs cuves et leurs cargaisons liquides en pleine mer de façon totalement illégale, afin d’éviter des coûts de nettoyage au port.
Ces déballastages rejettent des quantités de résidus d’hydrocarbures ou de matières toxiques dans les océans, qui sont souvent plus importants que les marées noires mais que l’on a beaucoup de mal à réguler ou à sanctionner. Une étude du WWF datant de 2000 estime que pour la seule mer Méditerranée, ce sont 1,5 millions de tonnes de produits pétroliers par an déversées dans la mer, soit l’équivalent de 75 Erika.
À cela s’ajoute la centaine de navires qui, chaque année, font naufrage et sombrent au fond de la mer et dont on ne parle jamais. Leurs cargaisons finissent elles aussi, par s’échapper et polluer l’eau marine.
La pollution des océans par les hydrocarbures vient également du ciel puisque ce sont 200.000 tonnes d’hydrocarbures dispersés dans les airs qui retombent dans l’océan avec la pluie.
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bonjour :réalisons combien notre planéte terre est en grand danger, constatons vivant à la campagne combien d’espéce d’oiseaux sont malades ;les nourrissons par temps froid l’hiver devant notre fênétre
les voyons avec de gros ventres avec bien du mal à s’envoler; aprés deux jours disparaissent sont morts certainement ;quel gachi: eux qui enchantent nos vies; leurs beautés; l’humain est le grand prédateur de ce monde; détruisant forets pour les cultures élevages de bétail, les animaux sauvages n’ont plus d’habitacle plus de nourriture programmons leurs morts :les océans l’horreur toute cette poubelle humaine plastique rejet en tout genre, cette vie marine détruite par notre progré assassin pour toute cette nature: regardons avec bonheur les reportages à la télé sur la vie des animaux tant de beauté pour les yeux une merveille; qui fait tant de bien au moral: comment pouvons nous rester de glace en sachant fort bien que ce monde disparait !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!: que sera nos vies sans eux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!:que cesse leurs calvaires qui sommes nous pour agir comme des monstres envers eux !!!!!!!!!!!!!!!: DE QUEL DROIT sacrifions leurs VIES SANS AVOIR AUCUN REGRET NE PAS VOIR PAS SAVOIR c’est ça le monde humain/ comment pourrions vivre sans ces beautés !!!!!!!!! savons que nous sommes seul sommes responsable de cette pollution ne compte que produire à tout pris avec au bout notre perte; comment est là le COVID,!!!!!!!!!!!!:polluer polluer le résultat est là:
Très étrange : l’article est Rédigé par Jean-Marie, le 11 Sep 2018, à 17 h 15 min et le 1er commentaire paraît le 6 juillet 2011 à 09h56…….
Vivement qu’il n’y aie plus une goutte de Pétrole !!!!! c’est pour bientôt dommage que je ne serais plus de ce monde pour y assister……
Afin de limiter la présence des déchets plastiques dans la nature et dans les océans, j’ai crée plastiques.eu dans le but de faire prendre conscience qu’il est possible d’agir en participant à un ramassage de bon sens: ramasser les bouteilles plastiques près des poubelles publiques permettrait de limiter la durée de leur présence et de luter contre l’impact de cette présence dans la nature. Je vous invite à visiter mon site pour en savoir plus et pour y passer votre propre témoignage.
Je séjourne temporairement dans un pays » touristique » qui, si on sort des usines à touristes, est un dépotoir à ciel ouvert.
Ce sont bien les habitants eux même qui jettent tout à leur porte, et sont tellement habitués , que ne leur vient pas à l’esprit de nettoyer.
Avec un peu de chance, le prochain cyclone enverra un max à l’océan.
Pour moins polluer le lagon, mort déjà à 80%, les « usines à touristes » chargent leurs eaux usées dans des bateaux-citernes qui vont tout déverser en vrac au large.
Il y a encore du boulot
Des chercheurs de l’institut océanographique de San Diego américains, ont annoncé avoir trouvé du plastique dans près d’un poisson sur 10 provenant du Pacifique Nord, (2 juillet 11,in Los Angeles Times ).less poissons de moyenne profondeur mangent environ 24.000 tonnes de plastique par an. La plupart du temps il s’agit de morceaux de la taille de confetti, accumulés grâce aux courants marins.
Ce résultat est le fruit d’une expédition marine menée en 2009 par des étudiants qui souhaitaient étudier le vortex plastique du Pacifique nord,à environ 1.500 kilomètres de la côte californienne Ils ont étudié 141 poissons, la plupart des poissons lanternes de petite taille et les ont ramenés au laboratoire pour les disséquer.
Il y avait des déchets plastiques dans 9,2% des poissons, la plupart fragmentés en petits morceaux de couleur de la taille inférieure à un ongle. Ils estiment que la proportion de poissons ayant ingurgité du plastique est bien plus élevé.
Les poissons lanternes servent de nourriture pour de nombreux poissons plus gros. Le plastique ingéré par ces petits poissons pourrait donc remonter la chaine alimentaire jusqu’aux humains.