Les familles cherchent des alternatives moins coûteuses pour profiter de leurs vacances, telles que les pique-niques, les activités gratuites et les séjours chez des proches ou dans des résidences secondaires.
Un quart des vacanciers opteront pour un hébergement gratuit
Pour beaucoup, les vacances 2024 se passeront sous le signe des économies. Une étude du cabinet de conseil Protourisme nous apprend qu’en 2024, 1,3 million de Français de plus renoncent à s’offrir un hébergement payant pour leurs vacances estivales. Si 31,3 millions de Français prévoient de partir en vacances en juillet-août, soit seulement 200.000 de moins qu’en 2023, la proportion de ceux optant pour des solutions gratuites a fortement augmenté. Seulement 24,1 millions de Français choisissent un hébergement payant cette année, soit 36 % des Français et 74 % des vacanciers d’été, contre 25,4 millions en 2023. Cette diminution est particulièrement marquée chez les habitants des zones rurales, des villes périphériques des grandes agglomérations et des petites villes.
Le taux de départ des habitants des métropoles reste stable, voire s’inscrit en hausse pour certaines villes comme Paris, Lyon, Bordeaux, Nantes, Rennes et Strasbourg. L’écart des taux de départ entre les habitants des grandes agglomérations et des petites villes a atteint 10 points en 2024, contre 7 points en 2023. De plus, les salariés des grandes entreprises et du secteur public maintiennent un taux de départ plus élevé que ceux des TPE et les indépendants, accentuant l’écart de 9 points à 12 points cette année.
Vacances : les Français sont très nombreux à essayer de modérer leurs dépenses sur divers postes
Malgré un budget globalement serré, 10 millions de vacanciers envisagent de partir à l’étranger cet été, soit 500.000 de plus qu’en 2023. Ces personnes privilégient les destinations de la Méditerranée. Ce phénomène reflète une volonté de maximiser l’expérience de vacances tout en recherchant des destinations peut-être plus abordables ou attractives en termes de rapport qualité-prix.
En vacances, les Français envisagent également de se serrer la ceinture sur les dépenses liées aux restaurants, aux loisirs et aux sorties. D’après une étude du cabinet de gestion d’épargne Yomoni, 59 % des vacanciers essaieront de moins dépenser sur les transports (avion, train, essence, péages autoroutiers), 53 % sur la restauration et autant sur les « sorties, loisirs et activités », 69 % sur les « souvenirs et achats divers »… Et, enfin, 39 % des vacanciers essaieront de modérer l’ensemble de leur budget.
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Partir en vacances sans se ruiner, c’est possible, y compris auprès d’hébergements « marchands », tout en respectant les règles de loyauté, car on ne peut pas cautionner la concurrence déloyale. Ainsi, il est possible de rester en France, car nos régions ont tellement à offrir ! Et les VILLAGES DE GÎTES sont situés au coeur des plus belles régions de France, proposant des locations de vacances EN DIRECT, sans aucune commission, à prix malin !
Nous partons en vacances en Ardèche dans une maison de famille. Lieu modeste mais combien reposant à 780m d’altitude. Nous nous passons volontiers des festivals, jeux olympiques et autre manifestations de foules. Le calme et la nature nous suffisent avec d’agréables voisins, heureux de se retrouver en toute confiance.
je suis en retraite, donc je ne suis pas en vacances.
Mais, pour autant, je ne pars pas en voyage..!
Je n’achète pas tout ce dont j’ai envie : une robe, un short, un foulard… La plupart du temps, en avons-nous vraiment besoin ? J’en doute et tout est agencé pour que nous consommions. Redevenir sage, voilà l’objectif !
bravo !
Je ne pars pas en vacances
je vais à l’étranger
et ça change quoi sur votre comportement ???