Désagréable sensation que de marcher sur un chewing-gum encore humide ou de voir les trottoirs des villes maculés de petites tâches multicolores, difficiles à enlever.
Bientôt, cette image pourrait être un mauvais souvenir grâce au Rev7 et à un brin de civilité supplémentaire.
La lutte contre les chewing-gum collants et disgracieux
Tout d’abord, qu’on se le dise, le spectacle des chewing-gum collés un peu partout (trottoirs, murs, sols, tables…) est en premier lieu un problème d’incivilité.
Qu’est-ce que cela coûte, si on est un amateur de chewing-gum, de le jeter dans une poubelle ? Cela étant dit, le chewing-gum pose également d’autres problèmes, environnementaux cette fois-ci.
Le chewing-gum, trop consommé, trop peu recyclé
Le monde adore les chewing-gums ! Certains expliquent que le chewing-gum est bon pour la santé car il éviterait les caries, aurait des vertus destressantes, faciliterait la digestion, voire améliorerait la mémoire.
Mais mâcher du chewing-gum est également une question de plaisir pour certains, et un moyen d’avoir toujours l’haleine fraiche pour d’autres. Tout cela pour dire que la consommation de chewing-gum dans le monde, calculée en kilos, est impressionnante :
- Kilos de chewing-gum consommés dans le monde sur le Planetoscope
Une consommation de chewing-gum massive qui pourrait être contre-balancée si ces petits bonbons collants pouvaient être recyclés ! Et si on connait aujourd’hui quelques opérations de recyclage de chewing-gums transformés en poubelles ou en coussins, ces opérations sont encore anecdotiques et la très grande majorité des chewing-gums mâchés sont ensuite jetés.
Le chewing-gum : une plaie à nettoyer
Le chewing-gum, ça colle, ça sèche, et cela devient ensuite impossible ou presque à enlever.
Tout d’abord, il faut savoir que le chewing-gum contient des colorants, de la gélatine, de l’émulsifiant, un stabilisant etc… Autant de composants qui restent collés à nos trottoirs.
Pour nettoyer les trottoirs souillés, divers procédés sont employés, tous plus énergivores et coûteux les uns que les autres comme l’utilisation de vapeur haute pression, ou encore la cryogénisation.
Un éventail de dispositifs qui se révèle nécessaire lorsque l’on sait qu’un chewing-gum met en moyenne 5 ans à se dégrader dans la nature.
Heureusement, un nouveau chewing-gum pourrait bientôt tout changer : le Rev7.
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La suite p.2> Le Rev7, le chewing-gum biodégradable !
N’avez- vous jamais essayé de mâcher une petite poignée de grains de blé en vous efforçant de n’avaler que le son du blé. Au bout de trois minutes se forme un chewing gum qui n’est fait que votre salive avec la farine et que vous pouvez mâcher très longtemps avant de le jeter ou même de l’avaler…. ! il suffirait de trouver le moyen de fabriquer cela autrement que dans une bouche et d’y ajouter un parfum…. Ecologique non ?
et si on arrêtait de chewinguer quand on voit le nombre d’additifs poisons dans ces chewing gum?
le cewingum colé sur le trottoir c’est certe disgracieux mais sous cette forme il n’est pas polluent proprement dit. c’est comme les sacs plastique dans la naturequi sont décriés alors que la veritable pollution navigue aux millieux des courants de toutes les mers du glob.
peut être que la dissolution de cette nouvelle gomme sera plus polluente que la dernière? la véritable pollution est elle la visible ou l’invisible.c’est comme les tags qui polluent mais les nettoyer pollue d’avantage.
Sincèrement je voudrais bien savoir ce qu’il y a dans cette pâte à macher sachant qu’elle provient des Etats-Unis… 🙁