Pour arriver à cette idée de fabriquer des tampons hygiéniques à partir de méduse, il suffisait d’exploiter la découverte réalisée par une équipe israélienne concernant ces cnidaires.
Fabriquer des serviettes et tampons hygiéniques pour limiter la prolifération des méduses ?
Sur consoGlobe.com, on vous parle de temps en temps des protections périodiques, que ça soit pour dénoncer les dérives ou évoquer des alternatives comme les protections lavables ou les cups.
Une entreprise israélienne Cine’al, a eu l’idée médusante de fabriquer un composé absorbant et biodégradable à base de cnidaires, autrement dit de méduses… Pour cette société, spécialisée dans les nanotechnologies, utiliser la chair de méduse, qui prolifère du fait de la hausse des température, pour fabriquer un composé absorbant permettrait de aussi de limiter les populations de ces espèces nuisibles pour le tourisme et la pêche.
Vers de nouvelles protection hygiéniques
L’université de Tel-Aviv avait au préalable, publié un article basé sur les observations que les méduses étaient capables d’absorber une grande quantité d’eau et de sang.
Lire aussi : Le biomimétisme et les innovations qui s’inspirent de la nature
Rassurez-vous, mesdames, il ne s’agit pas d’adopter une méduse et de lui présenter votre anatomie : il s’agit bien de nanotechnologie. Les chercheurs de l’université de Tel-Aviv ont donc étudié la matière sèche de l’animal afin de produire un composé hautement absorbant. Deux fois plus absorbant que les produits actuellement sur le marché, ce matériau s’appelle Hydromash, et rassemble de la chair de méduse et des nanoparticules antibactériennes.
Hydromash pourrait servir à la composition de serviettes et tampons hygiéniques, ainsi que de couches-culottes. Cyn’eal argue que le matériau est biodégradable en moins de trente jours, contre plusieurs centaines d’années pour les matériaux synthétiques équivalents.
Une innovation intéressante qui, à l’instar des serviettes lavables ou des coupes menstruelles, peut offrir une solution écologique au problème des trop nombreux déchets provenant des protections hygiéniques. Mais qui ne plaira pas aux vegans !
Le problème, c’est les nanoparticules, qui elles ne sont pas biodégradables et s’infiltrent partout.
Elles se retrouveront dans l’eau, provoquant on ne sait quels nouveaux dégâts, et même l’eau traitée ne peut les éliminer : résultat, nanoparticules dans l’eau de boisson. Et l’on sait que les nanoparticules passent les barrières et peuvent s’infiltrer dans toutes nos cellules, particulièrement les neurones…
A quand l’Azheilmer dès la prime enfance ???
n’imp.
Faut arrêter là, ça va trop loin. Pour une fois que l’on nous propose une idée pas trop idiote… Ces être (aussi gracieux soit-ils) sont en train de saccager certaines mers. On est dans l’OBLIGATION de faire quelque chose avec ces méduses, ou alors elles feront de ces mers des étendues d’eau sans poisson. Bref, on est encore obligé de bidouiller l’écosystème pour essayer de réparer les dégats d’autre bidouillages (ici le réchauffement climatique). C’est pas des tampons qui éteindraient rien qu’une seule espèce de méduse. Mais bon, à force de bidouiller, ça va finir par mal aller… Mais faut bien faire quelque chose de ces méduses…
encore plus faux.le réchauffement climatique n’a rien a voir le problème est ailleurs.
Les méduses n’ont plus de prédateurs,faute a la sur péche.
ils n’y a plus de thons rouge et de tortues voila la première cause.
continuer a bouffer du thon, surtout que c’est très dangereux pour l’humain.
tout à fait d’accord, mais de là à les utiliser dans notre vagin, là je dis non ! c’est facile pour vous, vous n’avez pas ce souci mensuel, peut-être plus tard des couches… mais bon, quand même,pensez à nous, pauvres femmes que nous sommes ^^
Le problème c’est que s’il n’y a pas une loi qui oblige les fabricants à indiquer la composition du produit, les femmes ne sauront pas si les serviettes qu’elles achètent sont à base de méduses ou pas.
D’autre part, les fabricants arriveront probablement à persuader à grand coup de pub les acheteuses d’acheter leur produit, ils ne mentionneront pas « à base de méduse » mais emploieront comme d’habitude des termes scientifiques pour leurrer la clientèle et faire croire que le produit est « top technologie ».
J’ai trouvé il y a quelques années des patrons gratuits sur internet pour coudre ses propres serviettes mais maintenant que je m’approche des 50 ans je pense que ce n’est plus utile de m’embêter à les faire, quoique !
Quelle honte! Comment un être vivant normalement constitué peut-il voir , en cet être étrange et gracieux qu’est une méduse…un tampon! J’ai honte, honte.
Et on nous parle de nanotechnologie(qui ne m’inspire que de la méfiance) pour faire hype.
Vraiment l’idée que l’on puisse tuer des animaux quel qu’ils soient pour nous servir de tampons alors là je suis absolument ecoeurée, dégoûtée,envie de vomir ! un boycott massif s’impose, on ne doit pas acheter ce type de produit, c’est une nouvelle porte ouverte à tous les excès de ces gens plus proche de l’argent que de la vie.
T’es médusé 😉
Encore du grand n’importe quoi, j’espère que si ce projet arrive à terme il y aura obligation de spécifier la nature du produit pour qu’un grand nombre boycott..;
Combien de temps encore allons nous tuer des être vivants comme si seule notre espèce avait le droit de vivre ? L’être humain est un être stupide et primitif car même s’il sait qu’il va vers une catastrophe il continue toujours dans la même direction. Sous estimer la Nature est une erreur !
Je suis contre parce que quand l’homme commence a utilier qqchose il ne sait pas s’arreter ou mettre ses limites et
Avant longtemps les meduses disparaitront tout comme les autres especes sur cette planete. Nos mers ses videnta cause de surconsommation de poissons, crustacés et l’engoument pour les coraux et eponges de mer.
Sauront ils mettre un quotas pour ne pas eteindre cette race, quand ca coute rien parce que la nature produit un espece l’homme exagere. Ils faut se poser la question avant de commencer a vider les oceans de nouveau.
A suivre…