notre liberté éditoriale et y avons écrit ce que nous pensons.
Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), de nombreux cancers sont dus à la pollution de l’air intérieur. Or, on le sait les peintures qui recouvrent les murs qui nous entourent, sont généralement des cocktails chimiques, néfastes pour la santé même si elles sont correctement employées. Et nous passons la plus grande partie de notre temps dans des espaces fermés, en contact quasi-permanent avec ce danger sournois.
Heureusement, l’entreprise Graphenstone a développé Ecosphere, une peinture ayant la faculté d’absorber le CO2 et de lutter contre le réchauffement climatique, sans mettre notre santé en danger.
Ecosphere : la peinture qui absorbe le CO2 !
Antonio León Jiménez, ingénieur chimiste, fondateur de Graphenstone et à présent président et directeur technique de l’entreprise, a mis au point cette peinture 100 % naturelle, libre de toutes substances toxiques et Composés Organiques Volatils (COV), grâce à une innovation à base de graphène, un matériau recyclable et biocompatible.
Ecosphere : comment ça fonctionne ?
Les fibres de graphène sont reconnues pour leurs conductivités thermiques, leur grande solidité, leur homogénéité, leur résistance et leur flexibilité. Ceci rend le revêtement plus résistant, lui confère un fort pouvoir couvrant et évite à la surface peinte de se fissurer.
D’autre part, la chaux artisanale 100 % naturelle sert de base aux peintures Ecosphere. Au contact de l’humidité, la chaux par le mécanisme de prise par carbonatation, absorbe le CO2 et l’élimine. Ceci améliore également la circulation de la vapeur d’eau vers l’extérieur du logement (finie la condensation !). La chaux possède en outre, des vertus antibactériennes, antifongiques et anti-moisissures, et c’est également un bon répulsif pour les insectes.
En utilisant trois pots de 15 l de peinture Ecosphere, on absorbe à terme autant de CO2 qu’un arbre adulte de 250 kg en un an.
Pensez Ecosphere pour vos prochains travaux de peinture en intérieur
Anti-allergènes et non-cancérigènes, ces peintures pour intérieur naturelles et totalement biodégradables, qui laissent les murs « respirer« , sont disponibles en 11 coloris, à découvrir comme le reste de la gamme de peintures et revêtements écologiques et naturels sur le site de Graphenstone.
Et comme l’entreprise a adopté la philosophie des 3R, Ecosphere est certifiée Cradle to Cradle de niveau Gold, pour son cycle de vie entièrement vert et sa participation à l’économie circulaire.
Pour ne rien gâcher, cette nouvelle peinture écologique et responsable est vendue au mètre-carré : chaque client peut donc acheter la quantité de peinture en adéquation avec ses besoins au prix démocratique de 1,80 euros/m2 (pour deux couches), ce qui permet d’éviter les surplus inutiles et le gaspillage.
Dorénavant donc, plus besoin d’utiliser des peintures plastiques aux émanations toxiques qui accentuent les maladies respiratoires, il est tout à fait possible de peindre l’intérieur de sa maison et d’y respirer un air pur instantanément et pour longtemps !
Pourquoi faire par cet article du greenwashing? que même le fabricant Graphensten n’ose pas faire!:
« une peinture ayant la faculté d’absorber le CO2″; » permettraient d’assainir notre air en absorbant le C02… »: 1) rien n’est dit ici sur la capacité d’adsorption, sa cinétique,… 2) il suffit de voir le volume de peinture utilisée sur les murs (m2) d’une pièce, et la capacité d’absorption donné par Graphensten (4,8 kg/15 L) (ou pour des matériaux « révolutionnaires » comme le nott-300) pour voir que l’effet sur n’a guère de chance de pouvoir assainir durablement l’atmosphère de la pièce (un volume, m3) vicié à 1-3% de CO2. A l’inverse, exposée en continue à 0,04 % de CO2 dans l’air normal (à 20°C, 1-40% d’Humidité relative), 1.2kg air x0.04%=0.048kg co2/m3), la peinture va saturer au bout de (environ) 100 renouvellements du volume d’air de la pièce (soit quelques jours?)!
PIRE: comment oser extrapoler « une peinture ayant la faculté… et de lutter contre le réchauffement climatique ». Faudra t il produire assez de cette peinture pour assainir temporairement l’atmosphère terrestre de son excès de CO2 anthropique, ça fera des millions de litres de quoi peindre plus que nos bâtiments… assez pour peindre (et polluer) la nature (en vert!).
Un peu d’esprit éclairé et critique devrait reléguer cet argument fallacieusement écologique pour valoriser d’abord l’absence de COV et toxiques, la recyclabilité et biocompatibilité, anti-allergène (?! non allergène devrait suffire) et non-cancérigène… et les autres atouts émanent de la chaux: peinture qui respire (pas de condensation), effet antibactérien, antifongique et anti-moisissures, répulsif pour les insectes. La chaux est sans doute l’ingrédient essentiel de la peinture, remise au gout du jour avec un peu de graphène pour apporter un prétexte de communication qui en fout plein les yeux, avec des avantages réalisables plus ou moins par d’autres adjuvants. Quels avantages distinctifs de la chaux traditionnelle qui réalise l’essentiel à bien moindre prix. Je vois surtout le pouvoir résistant et anti fissure, et la « Bonne lavabilité » (dixit Graphensten) si cela veut dire qu’on peut nettoyer la peinture en la laissant (si la peinture s’enlève facilement en lavant le mur, c’est comme la chaux!).
SIDERAL. Alors la peinture va absorber le CO2 et en faire quoi? On ne détruit jamais le CO2, les plantes ne le font pas, elles l’oxyde dans le photosystème 1 et obtiènne deux atomes d’oxygène, huit élèctrons, un atome de carbone mais de toute façon la peinture ne va pas stocker le CO2 indéfiniment. En plus, même les êtres vivant (plante) produise des composés organique volatile.