En effet le crowdlending – littéralement le prêt participatif – est désormais reconnu comme une classe d’actifs à part entière. Il attire de plus en plus d’investisseurs particuliers et professionnels qui viennent confier leur épargne et sont à la recherche d’un rendement attractif. Jean-Pierre, Jean-Claude et Patricia, tous trois utilisateurs d’une plateforme de crowdlending Look&Fin, témoignent…
Qui sont réellement ces investisseurs ‘online’ ? Rencontre avec des prêteurs actifs d’une plateforme de crowdlending
Nous avons rencontré 3 prêteurs actifs utilisant la plateforme de crowdlending Look&Fin, afin de recueillir leurs témoignages concernant leur épargne.
En Belgique, Jean-Pierre s’est détourné des livrets d’épargne classiques
Pour Jean-Pierre D., 44 ans, enseignant en Belgique, la motivation première vient du faible rendement des livrets d’épargne : « Les taux particulièrement faibles – voir négatifs – des comptes d’épargne bancaires habituels nous poussent à rechercher ailleurs un meilleur rendement.« , nous explique-il.
Bien choisir la plateforme de crowdlending à qui on va confier son argent est très important. Il nous cite en exemple Look&Fin à qui il a confié plusieurs fois son épargne : « Les avis apportés par l’équipe d’analystes de Look&Fin sur les projets à financer sont très importants pour moi, qu’ils soient personnalisés ou collectifs. La note attribuée – pour chaque dossier soumis aux prêteurs – via leur échelle de risque (Classé de A à E), ainsi que l’analyse détaillée du projet sont aussi des éléments déterminants”.
Enfin, l’investissement dans l’économie réelle semble aussi l’un des bons points du crowdlending : « Permettre à des entreprises françaises ou belges de rebondir, de se développer ou de créer des emplois est également primordial dans mes choix d’investissements » conclu ce prêteur.
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Au Canada, Jean-Claude, s’est aussi lancé dans l’aventure du crowdlending
Direction le Canada où Jean-Claude M., 60 ans, travaille pour le gouvernement Canadien, ce qui ne l’empêche pas de prêter son épargne à des PME en Europe. Lui, a découvert l’existence du crowdlending à l’occasion d’un journal télévisé.
« Ce qui m’a donné envie de me lancer dans l’aventure du crowdlending c’est la possibilité de placer de petites sommes régulièrement avec un intérêt nettement supérieur à celui des banques« , déclare-t-il. « J’ai choisi la plateforme de crowdlending Look&Fin car elle est plus accessible que la Bourse et aussi plus rentable. De plus, je fais confiance à leurs analyses de risque. Bien sur, ce dernier est élevé mais on est libre de prêter ce qu’on veut à qui on veut et cela sans les frais de placement boursiers ! Pour diminuer son risque, il faut répartir son épargne sur beaucoup de projets et aussi bien choisir sa plateforme » ajoute-t-il.
Jean-Claude recommande le crowdlending aux « petits épargnants« , si ces derniers sont prêts à faire confiance à ce principe de fonctionnement. « Ils peuvent investir sans trop avoir les moyens de placer des sommes importantes« , explique-t-il. « Enfin, le crowdlending me fait participer à l’utilité économique. Les banques ne financent pas toujours les besoins des PME qui sont pourtant le moteur de l’économie« , conclue-t-il.
En France, Patricia fait confiance aux analyses de Look&Fin
Pour finir, Patricia S. 41 ans – cadre du secteur bancaire en France et prêteuse sur Look&Fin, est quand a elle une passionnée de l’univers financier et de ses innovations. « J’ai commencé à prêter pour les rendements intéressants. Le principal critère de choix de la plateforme de crowdlending Look&fin a été pour moi la qualité des analyses. Après près de 5 années d’activité, je n’ai que 0,5 % de défauts sur mon portefeuille, ce qui démontre leur capacité à sélectionner les bons dossiers. Pour ceux qui hésitent encore, je recommande le crowdlending à des personnes qui cherchent à faire fructifier leur épargne via un investissement en direct dans l’économie réelle. Pouvoir investir à partir de 500 euros est aussi attractif, ceci peut permettre de se constituer un portefeuille diversifié afin de diminuer les risques », nous dit-elle.
Convaincus ? Êtes-vous tentés de prêter votre épargne à des PME ?
He, he, he ! On n’est jamais mieux servi que par soi-même…
Ca c’est de l’information !