Si le 100 % bio n’est pas encore quotidien, il pourrait le devenir dans les écoles : la ville de Grenoble a particulièrement mis l’accent sur la qualité des produit.
Grenoble met le bio à l’honneur dans les cantines scolaires
Le 100 % bio d’ici 2020, voilà ce que souhaite la Mairie de Grenoble, tournée vers le vert déjà jusque dans les transports ou le retrait des panneaux de publicité. Depuis début janvier 2015, les écoles proposent des repas aux accents locavores ; produits locaux mais aussi bio.
La Mairie a oeuvré en ce sens pendant plus d’un an : alors que les produits bio et locaux représentaient déjà plus de 20 % en janvier 2014, un an plus tard on atteint 50 %. Même les frites sont bio, précise un communiqué…
Objectif : tout bio avant la fin du mandat
« Manger local ou bio, c’est la garantie d’une alimentation de qualité et respectueuse de l’écosystème« , précise la Conseillère municipale Salima Djidel, « C’est aussi soutenir l’ensemble des acteurs qui font vivre une agriculture locale et de qualité, tout autour de notre ville« .
Des principes sains qui rencontrent des contraintes bien pratiques : comment réussir à ne pas augmenter les tarifs ? comment manger local sans être trop répétitif dans le choix des fruits et légumes de saison en hiver ?
Une vraie réflexion a eu lieu pour éviter le gaspillage alimentaire : la ville de Grenoble a établi un partenariat avec la Banque alimentaire de l’Isère afin que la nourriture qui ne serait pas utilisée et consommée puisse être donnée aux associations caritatives.
La vile cherche à présent à obtenir le label Ecocert pour sa cuisine centrale.
Enfin, on prend conscience que l’alimentation de bonne qualité est essentielle à la construction d’une bonne santé chez l’enfant et, plus tard, chez l’adulte. J’ai travaillé en crèches et je peux vous dire que dans certaines, ce n’était pas le cas: knack bas de gamme, steacks hachés idem, lardons sous vide en guise de protëines, poissons panés dont la panure était plus importante que le poisson reconstitué qu’elle recouvrait…
epuis quelques années les crèches de St-Egrève, près de Grenoble, (label petite enfance en 1992) se sont mises au bio. Enfin…
C’est sûr que c’est 100 fois mieux que la bouffe industrielle.
Dommage que le gouvernement ne pousse pas à fond le bio.
Il faut dire que la FNSEA freine des 4 fers.
Le gouvernement s’en fout de ce qu’on mange et donc se fout de la santé des citoyens !
De toute façon, le trou de la Sécu, c’est le CONtribuable qui le bouche, alors, pourquoi s’en faire ?