La volonté de la Mairie de Paris de fermer une partie des voies sur berge à la circulation des voitures pour en faire un lieu piéton, dont les Parisiens ont pu profiter fin mars et début avril puisque la météo leur a offert des journées clémentes, n’avait pas manqué de susciter des critiques. La circulation, notamment, a été modifiée dans la Capitale et la pollution a été impactée. En bien et en mal.
Pollution : première évaluation d’Airparif sur la fermeture des voies sur berges
La fermeture des voies sur berge n’a pas réduit le nombre de véhicules à Paris, elle n’a fait que les déplacer. C’est ce qui ressort de la première évaluation de la qualité de l’air réalisée par Airparif publiée le 31 mars 2017 et prenant en compte l’évolution de la circulation liée à la fermeture des voies sur berges. La qualité de l’air sur les bords de la Seine s’est améliorée : les voitures et camions n’y circulant plus, la pollution a baissé.
Mais cette baisse n’a pas été généralisée à Paris, au contraire : le transfert du trafic a conduit à une augmentation de la pollution dans d’autres secteurs de la Capitale, notamment au niveau des carrefours proches des voies rendues piétonnes ainsi qu’à l’est de la ville. Ce n’est pas une surprise : l’est de Paris est plus pollué que l’ouest, puisque le vent a tendance à souffler dans cette direction.
Dégradation de la qualité de l’air un peu partout
La fermeture des voies sur berges a donc permis une forte amélioration de la qualité de l’air sur les quais de Seine : jusqu’à 25 %, selon l’association qui surveille la qualité de l’air de Paris et de l’Île-de-France. Mais cette baisse, très localisée, a conduit à une hausse de 5 à 10 % de la pollution à l’est de la capitale.
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De même, les nouveaux itinéraires empruntés par les automobilistes ont vu leur qualité de l’air se dégrader de 5 %. Une dégradation généralisée et plus marquée le matin, lors de l’heure de pointe liée aux horaires de bureau.
Illustration bannière : Voies sur berges à Paris – © wjarek Shutterstock
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Les habitants de la rive droite ,dont je suis ,ressentent les effets de cette mesure : bruit des sirenes de police ou d’ambulance qui passaient auparavant sur la berge ,et pollution de l’air respiré
Quant au stationnement ,il est de +en+ restreint ,les artisans , souvent banlieusards , ont du mal à trouver des places et redoutent les amendes
Non ce n’est pas un progres pour les parisiens , ni pour les habitants de la périphérie
Ne faudrait il pas faire des plages horaires pour les camions livreurs afin qu’ ils ne stationnent pas en double file et perturbent le traffic ou bien amenager plus de zones de stationnement pour lesquelles ils seraient prioritaires a certainess heures et rendues publiques a d’ autres .
les bouchons dans Paris sont lies au stationnement donc trouver une solution au stationnement des taxis livreurs etc..
c’ est aussi trouver une solution a la pollution car le traffic routier sera plus fluide avec des cameras aux feux pour controler tout cela .
une solution parmi d’ autres :
tout depend de la signaletique au niveau des feux .
Il faut reouvrir les berges et les fermer les jours de faible
traffic c’ est a dire le week end .
De plus un meilleur amenagement pour 2 roues , ves électriques,
bus et taxis permet de moins concentrer la circulation .
Il faut canaliser le traffic et faire comme si l’ on avait
un liquide dans une bouteille d’ eau allongee .
le bouchon etant le feu de circulation .
Cela va encore compliquer un peu plus la vie de parisien et surtout ceux qui y travail, une ineptie de plus de sa maire complétement à coté de la plaque, parisien à plaindre!!!!!!!