En Amérique centrale, le Salvador a boycotté une cinquantaine de produits phytosanitaires à usage agricole, dont le RoundUp pour se recentrer sur le culture de graines locales. Depuis, le système agricole du pays aurait gagné en durabilité et en productivité.
Un plan d’action pour l’agriculture familiale, sans RoundUp
Tout commence en septembre 2013 lorsque le Salvador vote l’interdiction de 53 produits phytosanitaires, parmi eux, le plus connu de tous, le RoundUp, le désherbant vedette de Monsanto. Un désherbant classé « cancérigène probable » par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
Le Salvador, grand producteur de cannes à sucre, de coton, de maïs et de café, le système agricole était, à l’époque, dépendant des semences hybrides commercialisées par Monsanto, Pioneer et Consort.
75 % du maïs et 85 % des haricots étaient importés et les plantes cultivées sur le territoire étaient issus de graines OGM stériles(1). Pour le gouvernement, il était important de réaffirmer sa souveraineté alimentaire et a donc décidé de rompre avec les industries semencières internationales pour favoriser la graine locale.
Une agriculture en pleine expansion
Pour ce faire, le gouvernement à créé un Plan pour l’agriculture familiale (FAP). Ce plan à destination de près de 400.000 familles d’exploitants, visait à revaloriser les semences locales et émanciper les petits producteurs pour contrer les industriels et leurs OGM.
Le FAP permet une agriculture plus fiable et continue, en effet, contrairement aux graines hybrides, les producteurs locaux n’ont plus besoin de racheter chaque année ces graines auprès des grandes entreprises semencières.
L’Etat a donc investit plus de 18 millions de dollars pour approvisionner les 400.000 exploitants en maïs H-59, un maïs développé par le Centre National de la Technologie Agricole et Forestière (CENTA). Ce maïs présente l’avantage d’être une variété locale, donc mieux adaptée aux terres du pays et plus résistantes à la sécheresse.
D’après le site Natural Society, l’agriculture au Salvador serait en pleine expansion et connaîtrait des récoltes records(2) depuis le boycott de certains produits phytosanitaires dont le Round Up de Monsanto. Entre 2009 et 2014, la production de semences certifiées de maïs et de haricots a été triplée, passant de 35.000 à 92.000 quintaux et la production de maïs est passée de 14 millions de quintaux en 2004 à 20 millions en 2013(3). La vie sans RoundUp est possible, et meilleure…
@Gaby : en gros, vous dites que l’agriculture conventionnelle, bourrée de produits chimiques, est beaucoup plus écologique que l’agriculture bio ! Faut vraiment le lire pour croire qu’il est possible que des gens écrivent de telles bêtises !C’est jsute incroyable !
l’agriculture de conservation qui est une agriculture conventionnelle( semis sous couvert avec semoir specialiser )protege mieux les sols que l’agriculture bio (labour qui detruit la vie du sol (vers de terre ect) aujourd’hui il n’y a pas d’autre solution que le glyphosate avant semis (est’il plus polluant d’ependre 1 litre ha de glypho ou de consommer 80 litres de fuel ha
A Gattaca :
Pourquoi lors de contrôles et tests de laboratoires officiels sur les légumes et fruits bio, les chercheurs ne trouvent pour ainsi dire aucun pesticides détectables alors que sur les légumes et fruits de culture conventionnelle ils en trouvent ?
Il faudrait expliquer ?
La video est un hoax, rien de plus.
« Entre 2009 et 2014, la production de semences certifiées de maïs et de haricots a été triplée, passant de 35.000 à 92.000 quintaux et la production de maïs est passée de 14 millions de quintaux en 2004 à 20 millions en 2013. » ?
C’est curieux. Le site Knoema.fr montre que la production de semences de maïs s’est effondrée de plus de 4000 à moins de 1500 tonnes :
…//knoema.fr/atlas/Salvador/topics/Agriculture/Cultures-agricoles-Semence/Ma%C3%AFs
C’est curieux aussi. Selon Indexmundi, c’était 646.000 tonnes en 2004 et 953.000 tonnes en 2013.
…://www.indexmundi.com/agriculture/?country=sv&commodity=corn&graph=production
« D’après le site Natural Society, l’agriculture au Salvador serait en pleine expansion et connaîtrait des récoltes records(2) depuis le boycott de certains produits phytosanitaires dont le Round Up de Monsanto. Entre 2009 et 2014, la production de semences certifiées de maïs et de haricots a été triplée, passant de 35.000 à 92.000 quintaux et la production de maïs est passée de 14 millions de quintaux en 2004 à 20 millions en 2013(3). »
« D’après le site Natural Society… » ? Croyez-vous que Natural Society est une source fiable ? Cette Christina Sarich dont le blog est « Yoga for the New World » – que dire de plus – a-t-elle fourni de quoi rendre son affirmation crédible ? Quelle affirmation, au fait ?
« …l’agriculture au Salvador serait en pleine expansion et connaîtrait des récoltes records(2)… »
Et pourquoi le conditionnel ? Serait-ce que vous ayez flairé un loup ?
« Entre 2009 et 2014… » ?
Source ? La Prensa gráfica (votre note 3) est silencieuse sur le sujet.
Remarquez… ‘H-59’ a plus de dix ans d’âge. ‘Pasaquina’ est une obtention du CIMMYT de… 1988. ‘Santa Rosa’ est une sélection issue de la Población 73 du CIMMYT dont on parlait déjà dans les années 1990. Bonjour le progrès génétique.
Vive le retour vers le passé pour échapper aux « grandes entreprises semencières »…
Enfin c’est ce que proclame l’industrie de la protestation. En fait, il y a deux explications bien plus prosaïques : la volonté gouvernementale de développer la production (oui… même avec des variétés d’âge canonique). D’ailleurs, ça vient avec un sac d’engrais.
Quelles sont-elles, ces « grandes entreprises semencières » en El Salvador ?
Ne crachez par « M… » Sauf erreur, M. et les autres ne sont pas actifs dans le maïs blanc.
L’utilisation de semences anciennes en matière de céréales panifiables permet souvent d’éviter les désagréments liés à l’intolérance au gluten. En effet, l’industrie agroalimentaire a poussé les producteurs à leur fournir des céréales gorgées de gluten. Ainsi le rapport de 85% de protéines assimilables pour 15% de protéines non assimilables par l’organisme a été inversé afin de permettre de laisser moins longtemps lever la pâte, respectivement de la travailler avec des robots au lieu de la pétrir à la main. C’est ainsi que les céréales « modernes » OGM ou non contiennent 85% de protéines qui ne sont pas assimilables par l’organisme.
Dans ces conditions, il ne peut être que juste de privilégier et surtout cultiver les variétés anciennes, ce qui permet en outre aux graines de s’adapter à l’évolution des conditions climatiques et de « progresser génétiquement » de manière naturelle.
M./Mme pssst,
Avez-vous des sources crédibles pour vos étonnantes affirmations ?
@pssst !
comme vous le demande Seppi … où sont vos références.
Savez vous ce qu’est le gluten au moins ?
On peut en former plus ou moins selon les variétés (avec pourtant des teneurs en protéines à peu près semblables et constantes). Ce qui compte, ce sont les propriétés viscoélastiques du gluten que vous arrivez à former qui sont importantes pour la qualité finale du produit (pain, biscotte, biscuit etc)
Il n’y a jamais eu inversion de votre rapport fictif et inventé de 85%/15%.
D’ailleurs si on s’intéresse à cette hypothèse, ce serait plutôt l’inverse.
Les protéines insolubles (glutélines et prolamines) représentent 80% de la fraction protéique, (ce sont celles qui sont impliquées principalement dans la formation du gluten) et les 20% restant sont les protéines solubles (albumines et globulines) et ces dernières n’ont jamais, à ma connaissance, présenté de problèmes d’assimilation.
Enfin, l’intolérance au gluten, évidemment cela existe, appelée également maladie coeliaque, mais fort heureusement ne touche que 2-3% de la population.
Autre incohérence : « il ne peut être que juste de privilégier…variétés anciennes »
Là encore vous avez tout faux… si on ne les cultive plus, c’est justement parce qu’elles ne sont plus adaptées au milieu…!!!!
Par ailleurs, les variétés (autogames comme le blé par exemple) sont cultivées initialement à l’état homozygotes et si vous les laissez se reproduire toutes seules, elles vont naturellement dégénérer de génération en génération si bien que très rapidement, la variété n’a plus aucune valeur ni agronomique ni d’utilisation !
« Le FAP permet une agriculture plus fiable et continue, en effet, contrairement aux graines hybrides, les producteurs locaux n’ont plus besoin de racheter chaque année ces graines auprès des grandes entreprises semencières. »
C’est curieux. Ce programme visait à distribuer 400.000 sacs de semences et 400.000 sacs d’engrais. L’une des variétés retenues est… un hybride. Dans ‘H-59’, H… c’est « híbrido ». Deux autres, ‘Pasaquina’ et ‘Santa Rosa’ sont des populations pour lesquelles il n’est pas recommandé de faire plus de trois générations de semences autoproduites.
Vous pouvez vérifier par vous-mêmes. Cherchez H-59 et CENTA.
« 75 % du maïs et 85 % des haricots étaient importés et les plantes cultivées sur le territoire étaient issus de graines OGM stériles. »
Ah boooon ! C’est curieux. El Salvador ne figure pas dans la liste des pays qui cultivent des OGM. Si ça avait été le cas, on aurait trouvé son nom dans les documents de l’ISAAA.
C’est curieux aussi parce que le seul haricot GM est un brésilien résistant à un virus qui n’est pas sorti de son pays et qui, sauf erreur n’y est pas encore cultivé.
C’est curieux enfin parce qu’une graine stérile… ça ne doit pas produire beaucoup…
Croyez-vous que votre source, une des nombreuses vitrines de la désinformation par l’industrie de la protestation, est fiable ? D’ailleurs où est-il écrit dans cette source que les graines étaient OGM et stériles ?
Le titre dit : « Le Salvador abandonne le RoundUp et connaît des récoltes records3
Le premier paragraphe dit : « …Depuis, le système agricole du pays aurait gagné en durabilité et en productivité. »
Gagner en productivité, c’est augmenter les récoltes, non ? Mais pourquoi le conditionnel ? Serait-ce que vous n’en savez rien (ce qu’on ne vous reprochera pas), et que vos « sources ne sont guère convaincantes (ce qu’on ne leur reprochera pas non plus, vu que les deux premières sont pourries et que la troisième ne traite pas de cette question) ?
« Le Salvador abandonne le RoundUp » ?
C’est un hoax !
Censurez-vous les commentaires trop désagréables?
Si j’ai bien compris, j’ai dû me heurter à un barrage automatique.
Cela dit, si vous voulez avoir le fin mot de l’histoire des pesticides prétenduments interdits, allez sur mon site sur over-blog.
Ils n’ ont pas encore trouvé le moyen de nous vendre ou taxer l’ air que l’ on respire , mais vous pouvez être sûr qu’ ils s’ efforcent beaucoup !! Comme certaines entreprises font déjà avec l’ eau potable !!!
Monsanto et tous ses potes empoisonneurs… basta, dehors, dégagez, on n’est pas si cons que vous le pensez et votre m… on n’en veut pas. Inoffensifs vos produits ? Bouffez les et on verra si vous y survivez ! Inutile d’expérimenter sur des animaux, je veux des résultats sur vous les génies du mal…
Monsanto rappelle que le glyphosate, substance active du Roundup, est un des produits les plus étudiés du marché des produits phytosanitaires. Il fait actuellment l’objet d’un processus décennal de ré-homologation au niveau de l’UE à la fois rigoureux et transparent. Cette procédure s’appuie sur un dossier scientifique contenant toutes les informations, publications et études, menées par des institutions publiques ou privées. Par ailleurs, comme l’indique le Groupe de travail sur le glyphosate (GTF), auquel participe Monsanto aux côtés d’autres industriels du secteur, les évaluations menées par les autorités réglementaires du monde entier pendant plus de quarante ans ont toutes confirmé de manière constante que le glyphosate ne présente aucun risque inacceptable pour l’homme, les animaux, ou l’environnement. Le profil d’innocuité du glyphosate s’appuie sur 800 études, des utilisations dans 160 pays et 40 ans d’utilisation sûre.
De plus, Monsanto et Roundup promeuvent activement les bonnes pratiques d’utilisation figurant sur les étiquettes auprès des jardiniers et utilisateurs amateurs depuis plus de 20 ans. Il s’agit de s’assurer d’utiliser le bon produit (formules adaptées : concentrées ou prêtes à l’emploi) au bon endroit et au bon moment (saisonnalité et conditions météorologiques : par exemple, toujours privilégier une journée sans vent pour éviter les projections indésirables et sans pluie pour éviter le ruissellement vers un point d’eau) avec les bons équipements (pulvérisateur).
Merci pour ce « rappel », mais je pense que les gens se passent volontiers d’affirmations incomplètes comme celles-ci.
Vous parlez de glyphosphate alors qu’on parle de Roundup, dont la composition ne se limite pas à cet substance. Citons par exemple le POE-15…
De plus si ces précaution d’emploi existent, c’est bien que ce produit est nuisible et donc que de s’en passer ne peut qu’être une bonne idée (surtout quand ça n’impacte pas négativement la production !).
D’autant que l’idée que ruissellement vers les point d’eau puisse être évitée dans le cadre d’utilisation si incroyablement massives dans le monde, en respectant simplement ces « bonnes pratiques », est tout bonnement ridicule.
Monsanto a déjà suffisement de pouvoir dans le monde, ne le laissons pas manipuler les esprits également.
YOUPI MOSANTO France nous rassurent et nous dit que leurs produits ne sont pas dangereux, donc (Tas de cons !) tout va bien ! ! !
En plus ils s’appuient sur quantité d’études qu’eux-même et leurs « amis » industriels du « secteur » (chimique ?) ont créé, comme un groupe de travail sur le glyphosate (comprendre : combien peut nous rapporter tel ou tel cochonnerie dangereuse pour l’agriculture, la terre, l’eau, les animaux et accessoirement l’homme et combien nous coûteraient les procès si cela devait arriver, au cas ou bien sûr un des chercheurs qu’ont a grassement payés venait à faire des révélations avant d’avoir … un accident !) les autorités réglementaires du monde entier sont elles les même qui utilisent des chercheurs payés directement par des labos (partenaires ou filiéres de MOSANTO ou autres industries chimiques) ou en tant que consultant (et dire que cette appellation pour « escroc à la solde de » marche toujours !) pour valider les rapports qu’on leurs fait parvenir (tout comme les médicaments ???)
Et depuis 40 ans l’utilisation de plus en plus massive d’engrais chimiques, de pesticides et d’antibiotiques pour animaux (le tout sortant des mêmes labos) n’a STRICTEMENT rien à voir avec l’augmentation d’allergies, de maladies, de cancers ou plus grave encore de naissance d’enfants handicapés dans les pays ou justement la réglementation sur les dits produits et beaucoup plus laxiste où on pulvérise à tout va ! NON ! BIEN SUR QUE NON ! Voyons ! Et bien moi je suis d’accord avec vous, et je suis même prés à vous faire gagner des dizaines de millions (voir des centaines) en publicité !
Voila le deal : 20 de vos plus gros actionnaires seront installé pendant 3 mois dans un des recoins de la planète qui vous accuse injustement d’être responsables de leurs plus grands maux (maladies, malformations etc.) ils seront nourris EXCLUSIVEMENT de fruits et légumes traité par vos produits, pour la viande, elle sera fournie par les éleveurs utilisant vos antibiotiques et si par le plus grand des hasard vous seriez malades, des médicaments pourtant autorisés par vos fameuses agences d’autorités indépendantes mais jugés dangereux par des médecins VRAIMENT indépendants, EUX ! (donc que vous n’avez pas corrompu !) leurs seront administrés ! le tout filmé 24H SUR 24 (façon loft story, chouette, non ?) par vos détracteurs (donc aucune triche possible !) Imaginez l’impact publicitaire, plus besoin de commander des centaines d’études bidonnées, de payer des gouvernements mafieux ou des chercheurs « consultants » ! Surtout s’ils s’en sortent sans séquelles ! Et qu’ils ne se précipitent pas en cure de « désintox » dés leurs sorties ! ! ! Alors prêt pour l’expérience ? Sinon FERMEZ LA ! Au lieu d’essayer aussi maladroitement de nous prendre ENCORE pour des cons, des abrutis des crétins finis ! On sait que vos poisons nous tuent à petit feu et que vos centaines d’études ne valent rien face à la dure réalité ! Nous ne sommes pas en Corée du Nord, et pour la plupart d’entre nous notre maigres intelligence nous suffit pour constater les ravages de l’utilisation intensives de vos poisons de toutes sortes
Monsieur Quinton,
vous écrivez :
« 75 % du maïs et 85 % des haricots étaient importés et les plantes cultivées sur le territoire étaient issus de graines OGM stériles(1) »
Et d’une… la référence (1) … on peut toujours la chercher !!!
Dans le genre, « je n’y connais rien mais je vous dis tout » vous écrivez une contradiction monumentale (vous ne vous rendez même pas compte de l’absurdité de vos propos)
Pouvez vous m’expliquer comment il est possible de cultiver des plantes à partir de graines stériles (même GM) ????
On pourrait aussi largement critiquer votre conclusion … » la vie sans roundup est possible »
l’utilisation des herbicides est secondaire par rapport au rendement potentiel d’une plante !
Pouvez vous nous préciser quelle est la technique utilisée pour désherber ? (main d’oeuvre, eau bouillante…)
Il faudrait en tenir compte pour le bilan global et la rentabilité !
Si on devait retirer du marché tous les produits potentiellement cancérigènes… on ne pourrait plus manger !
Par ailleurs pour une meilleure cohérence dans vos propos :
« Le Salvador, grand producteur de cannes à sucre, de coton, de maïs et de café », il vaudrait mieux écrire :
… grand producteur de sucre de cannes, de coton (du cotonnier), de maïs grain et de café (du caféier).
En fait, les références, il suffit juste de cliquer dessus… Après moi je dis ça… ^^
Pour votre information cher gattaca, les sources de l’article se situent juste en dessous…
Vous avez un grand besoin d’évoluer et de vous mettre à la page. Chercher ces mots qui doivent vous être totalement inconnus « permaculture », « agriculture bio » sur internet et informez-vous. Vous verrez qu’une autre agriculture est possible dans le respect de la nature et donc des hommes. En plus, elle est beaucoup plus productive que l’agriculture traditionnelle.
Certes, on a les références (vachement scientifiques) mais on n’y accède pas directement… cliquer sur la première renvoie au (1) du texte !!! c’est moderne !
à Sophie Devos :
Pour vous permettre à vous aussi d’évoluer vous devriez vous donner la peine de visionner cette courte vidéo : https://www.youtube.com/channel/UCxooxCiflBsJJ3PnGRg69jA
(balivernes 2) qui démonte le plus gros mensonge récurrent depuis au moins 20 ans sur l’AB…
qui n’utiliserait pas de pesticides ! (ah ! ah ! ah !).
On voit, en effet, que l’AB est respectueuse des gogos/bobos/beaufs) qui consomment « AB » !
Tout est basé sur le mensonge !
Vous proférez et continuez de répandre vous même un second mensonge de taille :
l’AB serait plus productive que l’agriculture raisonnée ou d’une manière générale intensive ?
Quelles sont vos sources ?
Toutes les dernières méta-analyses sur l’AB (AFSSA, 2003; UK, 2009 ; Stanford, 2012 ; y compris la récente de l’UK encore, 2015) ne l’indiquent nullement ! bien au contraire !
« stérile » signifie qui ne peut pas se reproduire, il est donc entendu par là que les individus issus de ces graines ne pourront pas produire de graines viables. Les graines de départ sont donc stériles mais viables.
De plus vous semblez penser qu’à toute pratique de l’agriculture « conventionnelle » devrait correspondre un analogue, alors que quand on se tourne vers une méthode différente, on se doit de tout repenser, comme en permaculture. Si vous vous penchez sur la question, comme vous l’a suggéré Sophie, vous verrez qu’en favorisant son harmonie, la nature nous est beaucoup plus favorable qu’en essayant de la contrôler en allant contre la logique qui la régit.
Si le label bio permet effectivement certains traitements, notamment à base de cuivre ou de soufre, l’agriculture biodynamique ou la permaculture s’en passent plutôt aisément.
Favoriser la biodiversité et agir en amont en renforçant le sol et donc les cultures à l’aide de purin, décoction et autres infusions de plantes, voire du petit lait.
Mme Devos
« Vous avez un grand besoin d’évoluer et de vous mettre à la page » écriviez-vous à un illustre (enfin… n’exagérons pas) inconnu. Si vous saviez…
Si vous avez des références sur les performances de la permaculture, je suis preneur. Mais de vraies références, pas la prêchi-prêcha sur combien c’est superbe et miraculeux. Pas le truc auquel on accède par le site du Bec Hellouin – intéressant quand on sait lire entre les lignes, mais éthiquement indigent. De la bonne information, avec des éléments de comparaison pertinents.
Pour l’agriculture dite « biologique », on a quelques références, par exemple du Ministère de l’agriculture. En blé, on navique en France à plus de 75 quintaux à l’hectare en « conventionnel » et autour de 32 en « biologique ». C’est vraiment plus productif… Pour le colza, c’est anecdotique : pour le cultiver en « bio » il faut avoir un saint protecteur particulièrement attentif.
L’agriculture biologique « dans le respect de la nature » ? C’est de la propagande… Voulez-vous qu’on vous compare le profil environnemental du cuivre de la bouillie bordelaise (autorisée et utilisée en « bio ») et du fosetyl-aluminium (non utilisable en « bio ») ?
merci pour votre article, que nous avons transmis sur le forel-OGM d’Inf’OGM (site de l’asso : wwww.infogm.org). Pour complément, nous avions aussi écrit sur ce sujet en juin dernier.
@ Fred P
Toujours fidèle à la ligne éditoriale d’Inf’OGM…. raconter des balivernes, des hoax et des mensonges dès que cela concerne les OGM… depuis 20 ans, vous ne relatez que les « chiens écrasés » en étalant et reproduisant les mensonges récurrents qui les concernent !
Définitivement, vous n’avez toujours pas compris (réalisé) ce qu’est un OGM !
En conclusion, et pour tous ceux qui veulent se renseigner utilement et honnêtement sur les OGM, le forel-ogm est à éviter totalement tout comme celui de greenpeace et autres sites d’escroloverdâtres !
Bonjour Hugo,
Je suis très concerné par la lutte contre les pesticides, les engrais chimiques et tous ces produits qui empoisonnent notre existence en même temps que la planète. Merci pour cette superbe information. L’essentiel, à présent, c’est de faire entrer cela dans la tête de nos élus et des dirigeants de la Communauté Européenne, malgré la puissance insistante des lobbies.
Ceci dit, je me permets de te signaler juste une petite faute de frappe: il faut remplacer « pour se faire » par pour « CE » faire, c’est-à-dire pour faire cela.
C’est tout.
Bien amicalement.
Jacques
Bonjour Jacques,
Vous avez entièrement raison.
Merci d’avoir relevé cette faute, c’est corrigé.
A bientôt sur consoGlobe 🙂
Bien amicalement.
Hugo
la production de semences certifiées de maïs et DE haricots
Bien que je sois très concerné par le sujet et toujours à l’affut de ce type de nouvelle, je n’ai pas réussi à trouver de source confirmant les chiffres concernant les volumes de production que vous avancez.
Toutefois, le retour à des semences traditionnelles et fertiles est un grand pas en avant dans la reconquête d’un vivant que ne saurait être breveté, surtout au détriment de notre santé.
Je vous félicite pour votre Blog.
CHRISTIAN