8 raisons de renoncer au fromage
On le sait, le fromage est la petite faiblesse des Français. Difficile de s’en séparer, même si l’on veut passer au régime vegan ! Cet article finira peut-être de vous convaincre.
La France est l’un des plus gros pays consommateurs de fromage dans le monde, avec près de 26 kilos consommés par personne et une production française de fromage estimée à 2 millions de tonnes par an.
Mais de plus en plus de nouvelles preuves – y compris celles révélées dans The Cheese Trap (« Le piège à fromage« ), le nouveau livre du chercheur clinique Dr. Neal Barnard – démontrent qu’il est temps de se défaire de ce produit laitier douteux.
Pourquoi se passer du fromage ?
Après lecture des faits qui suivent, vous passerez peut-être votre tour devant le prochain plateau de fromages qui vous sera présenté. Voilà huit bonnes raisons de renoncer au fromage.
1. Le fromage baigne dans des graisses saturées
Les fromages typiques sont constitués à 70 % de gras, tandis que le fromage à tartiner contient 90 % de graisses saturées. Cela le rend donc si gras qu’il est pratiquement l’équivalent nutritionnel de la Vaseline.
2. Il est hyper-addictif
Si vous vous êtes déjà plaint du fait que le fromage semble addictif, vous ne vous rendez sans doute pas compte à quel point vous aviez raison. Pendant la digestion, il libère des substances chimiques appelées casomorphines, qui peuvent se diriger vers votre cerveau et s’attacher aux mêmes récepteurs d’opiacé que ceux auxquels l’héroïne et d’autres produits narcotiques s’attachent.
3. Les vaches sont inséminées à répétition pour la production de fromages
Comme les humains, les vaches ne produisent du lait que quand elles sont gestantes ou allaitantes. Cela signifie que pour stimuler la production de lait, les éleveurs les inséminent à répétition en insérant leurs bras jusqu’au coude dans leur rectum et en injectant des seringues dans leurs vagins, souvent alors qu’elles sont détenues dans des » cages de contention « .
4. Le fromage et le lait sont les plus grandes sources diététiques d’oestrogène
Dans les élevages laitiers modernes, les vaches sont presque constamment maintenues gestantes. Tout comme les femmes enceintes, leurs corps produisent des quantités d’hormones, dont certaines sont secrétées dans leur lait. Des études ont révélé un risque accru de cancer du sein chez les femmes et une plus faible fertilité chez les hommes qui consomment régulièrement des produits laitiers. Dans deux études de l’Université de Harvard, la consommation de produits laitiers était liée à un risque significativement plus élevé de cancer de la prostate.
5. Le fromage regorge de bactéries ou même d’asticots
Les fromages contiennent des bactéries qui peuvent expliquer leur mauvaise odeur. Par exemple, la même famille de bactéries qui fait que des fromages comme le Limburger et le Münster sentent si mauvais – brevibacterium linens – est également ce qui provoque les mauvaises odeurs de nos pieds.
En Sardaigne et en Corse, on laisse les mouches pondre des oeufs dans le pecorino. Le fromage pourrissant, appelé « casu marzu », est ensuite mangé – les asticots compris.
6. Le fromage est fabriqué à partir de moisissures
Les fromagers recouvrent l’extérieur des fromages doux et gluants tels que le Brie avec de la moisissure afin de créer une écorce blanche. La couleur bleue du Stilton et du Gorgonzola provient de la moisissure du pénicillium.
7. Certains types sont fabriqués avec l’intérieur des estomacs de veaux
La présure, une enzyme utilisée pour faire coaguler certains fromages, est souvent extraite de l’intérieur de la caillette, le quatrième estomac des veaux. Les veaux mâles, considérés comme un » sous-produit » inutile par l’industrie, sont généralement abattus (pour être servis dans des plats de veau) quand ils n’ont que quelques mois. Même les vaches femelles sont « chanceuses » si elles vivent plus de 5 ans.
8. Le fromage contient plus de sodium que les chips
Une portion de chips contient 330 milligrammes de sodium, tandis qu’une portion de cheddar en contient 350, et une portion d’Edam 500. Il suffit de manger trois portions d’Edam pour dépasser la limite quotidienne de sodium recommandée pour une personne de 51 ans.
Pour finir, pas besoin de fromage pour être en bonne santé !
La bonne nouvelle est que nous n’en avons pas besoin ! De nombreux athlètes de haut niveau, y compris les célèbres joueurs de tennis Novak Djokovic et Serena Williams, évitent le fromage et tous les produits laitiers afin de se prémunir contre l’inflammation et de maximiser leur performance.
Il existe également une large gamme de fromages végans (élaborés à partir de soja, de noix de coco ou de noix de cajou, par exemple) facilement disponibles dans les supermarchés et les magasins biologiques. Ils ont bon goût, ne contiennent pas de cholestérol, et sont d’habitude plus faibles en matières grasses saturées et en calories que les fromages laitiers. Leur plus grand avantage ? Leur fabrication n’a pas provoqué la souffrance d’un animal.
Illustration bannière : un plateau de fromages – ©Shutterstock.
A lire absolument
vous avez dit Cheldar et Edam… c’est pas du fromage ça c’est du plastique et c’est pas du bon fromage français au lait cru. vous vous basez sur une étude américaine?anglaise? hollandaise,?canadienne?… il existe encore des producteurs respectueux qui fabrique du bon fromage. et ce qui est mauvais pour la santé c’est les excès, dans toutes choses, dans le pour et dans le contre: fromage, viande, lait, sucre, graisse…vous nous avez habitué a mieux consoglobe. atttention…
Je me demande souvent qui a décrété que les plantes pouvaient être coupées,pelées,passées dans de l’eau bouillante etc… et j’en passe et que cela ne leur fait rien.Pas un cri,pas un murmure.
Et voilá que les animaux sont maltraités et les plantes ,on peut tout leur faire.Qui a décrété que le règne animal était supérieur au règne végétal? Les plantes,la terre,les animaux et tous sont des êtres vivants.Nous n’avons qu’une seule option ,c’est de vivre d’amour et d’eau fraîche.Celui qui mange une carotte est aussi sadique que celui qui mange un steak.Et toujours cette haine pour les produits laitiers.C’est cette haine qui as tué la petite agriculture ,respectueuse de la nature.Alors SVP soyons cohérent.
Je conseille à la très jeune auteure de ce texte, de ne plus manger que des cailloux, désormais.
et encore, peut-être souffrent-ils aussi ?
Deception ! habituellement ce site est plein de bon sens et les articles s’appuient sur des connaissances rigoureuses et vraies. Qu’est-ce que c’est que cet article ??? !!! Ridicule ! Signé par une personne complètement « pisse-froid » qui n’aime rien de la vie sans doute !!! Ne me recommencez pas ce genre de trucs sinon je ne lis plus consoglobe !!! Avec regrets d’ailleurs.
Ah, c’est bien français, ça ! Dès qu’on parle « bouffe », les discussions s’enflamment. Le fromage, il y a les pour et les contre et c’est pas un article aussi mauvais qui va changer les choses. Une bonne fondue savoyarde, avec du beaufort, du comté, de l’abondance et de l’emmental, pleine de lactose si mauvais pour notre santé, en y trempant du bon pain plein de gluten … qu’est-ce que c’est bon ! De toute façon, on mourra tous, à la fin, qu’on se soit gavé de fromage, ou pas !
C’est intéressant, dès que PETA débarque, tout est systématiquement exagéré (bien que je n’ai rien contre, y étant engagé). Un peu plus de réflexion et un peu moins de réaction serait bénéfique.
Quelques points :
Sur l’addiction : si l’on résonne comme ça, la plupart des aliments le sont, c’est pas la fromage qui est en cause, mais notre biologie. Et de toute façon, ce n’est pas une raison valable.
Sur la souffrance animale et l’activité œstrogénique : c’est valable pour tous les produits laitiers, pourquoi viser le fromage en particulier ? Vous allez faire le même article pour chaque produit laitier ?
Sur l’aspect nutrition : quand est-ce que cette vieille idée que les graisses saturées sont néfastes va-t-elle disparaitre ? C’est incorrect scientifiquement, point.
Sur les moisissures : c’est quoi le problème ? Ceux qui aiment le fromage l’apprécient justement pour ça, c’est ce qui donne tout le goût et l’odeur !
Bref, cet article spécifiquement sur le fromage n’a pas de sens, faites un article plus général sur les produits laitiers, ça vaudra mieux.
je m’en passe depuis belle lurette et mon calcium est tjrs ok malgré ce que disent les « nutritionnistes » médiatiques.
Les produits laitier ne sont pas une nécessité sauf pour les lobbys qui infiltrent même l’éducation nationale.
Une fois de plus , les mangeurs de cadavres et participant à la souffrance animale sont morveux .Leurs excuses et défenses prouvent que leur conscience n’est pas si cleen qu’ils veulent bien nous le faire croire . J’aime bien ceux qui défendent la petite production locale et ses braves gens qui aiment leurs animaux ……mais qui les emmènent quand même à l’abattoir hein ! Normalement , on ne devrait pas tarder de nous parler du cri et de la souffrance de la salade quand on va la couper au fond du jardin….
Je n’apprécie pas dutout votre mépris au sujet des salades. Les plantes communiquent entre elles, elles souffrent quand on les arrache, quand on les met en pot pour de ridicules raisons d’esthétique, les privant de leur milieu naturel. Les plantes ont des émotions. Et ce n’est pas parce que vous ne supportez pas la souffrance animale qu’il faut vous venger sur les plantes. On est loin d’avoir tout découvert sur la sensibilité des plantes. Il est difficile de faire de l’anthropomorphisme avec une plante comme vous le faites avec les animaux parce qu’il nous ressemblent d’avantage, étant donné que nous sommes nous même des animaux. Mais les plantes ont droit au respect comme les animaux y ont droit.
Simple question sylvie : Que mange les animaux d’élevage ?
Ajoutons le blocage des artères et qu’il fait engraisser
Bien moins que les sucres (c’est à dire pain, céréales, pâtes, pâtisserie…)
il me font marrer les « LAIT = VIOL »
c’est peut être vrai pour le processus industriel de production du lait mais pas pour le processus artisanal.
manger des produits laitiers et respecter les vaches c’est possible.
n’accusez pas les consommateurs. accusez l’industrie.
Quand je vois les réactions outrées dans les commentaires on se rend bien compte que sujet autour des produits laitiers dérangent les consciences, preuve s’il en fallait que pas mal de choses ne tournent plus très rond.
De plus en en plus de gens comprennent que les produits animaux sont proches de ceux du tabac ou de l’alcool : une escroquerie industrielle où seul l’intérêt économique prime, l’environnement, la santé où l’éthique on s’en tamponne. La production n’a rien à voir avec l’image que vous voudriez vous en donner, quand on plonge dans l’univers de l’élevage les révélation sont de plus en plus sordides, que ce soit des éleveurs locaux ayant « l’amour de leur bête » (il suffit d’aller sur des forums d’agriculteurs pour voir qu’au final c’est surtout le rendement qu’ils aiment) que les indus qui voient l’animal comme une variable pour comprendre dans quel enfer sont plongés ces animaux.
Il ne s’agit pas de culpabiliser, il s’agit de se poser les questions de qui nous sommes, de nos choix et de leurs conséquences pour nous comme pour les autres. L’évolution et l’acceptation des réalités et infiniment plus difficile que l’ancrage dans les certitudes.
Merci de ne pas mettre tous les agriculteurs dans le même panier, et de la même façon adopté le même comportement (à l’inverse) du système que vous critiquez (et que je suis aussi le premier à critiquer).
Parce que des éleveurs qui font ça par amour et respectent leurs bêtes, j’en suis entouré.
Ils sont certes peu nombreux, mais il existent.
Donc on se passera de votre discrimination et vos amalgames.
Qu’appelez vous amour et respect des bêtes ? Pourriez-vous être plus précis dans vos propos ? Des exemples ?
Le fait d’élever des animaux en plein air, de ne produire qu’une partie de l’année (selon leur rythme biologique), de leur donner de la nourriture de qualité (principalement du broutage), de ne pas abuser des traitements antibio ou des vaccins, et j’en passe.
Venez dans la Drôme et aux alentours, faites les marchés, discutez avec les artisans, et arrêtez de croire que tout est noir.
Certains se battent encore pour un modèle juste, respectueux et responsable face aux industriels. Tout comme certains « consommActeurs ».
Et ce sont de pareils amalgames qui leurs causent aussi du tort et ruinent les possibilités de voir émerger de réelles alternatives.
Plutôt qu’une nouvelle mode de consommation pseudo-hippie qui s’avère souvent être contradictoire et hypocrite pour la majorité, et que les industriels se font un plaisir d’exploiter à coup de marketing vert.
Vous restez dans le vague et évitez soigneusement les sujets qui gênent : Pas d’abattage ? Vous conservez les mâles au sein de la production laitière ? Combien de temps conservez vous vos bêtes ?
Qu’appelez vous rythme biologique ? Pas de mises bas à répétition ?
Vous avez l’occasion de vous exprimer pleinement sur le sujet, profitez-en
Simplement peut-être parce qu’ici il n’est pas question d’abattage mais de fromage.
Je ne suis donc pas dans le vague mais reste centré sur le sujet, nuance. A la différence de vous qui prenez encore une fois un raccourcis pour parler d’une autre problématique, bien différente
Et encore une fois vous pointez du doigt des pratiques de l’industrie agroalimentaire, pas celle du petit artisan (qui vendra un fromage au lait cru la majorité du temps, chose interdire par la voie de la grande distribution ou l’industrie).
Quant au rythme biologique, il s’agit entre autre de cela. Comme arrêtez aussi la production de fromage (et in fine de lait) durant l’hivers, période où les mises à bas n’ont pas lieues.
Mais je vois que vous faites de toute façon preuve de mauvaise foi.
Comme beaucoup de pseudo-vegans qui se sont convertis il y a quelques jours à peine, après avoir vu quelques vidéo YouTube et autres articles du genre, en pensant agir pour le bien de la planète. Mais qui vont continuer à consommer irraisonnablement ailleurs, comme sur les produits technologiques, etc, de peur de perdre leur petit confort quotidien.
Je peux moi aussi être doué dans les amalgames
Bien sur que si l’abattage fait partie de la filière du lait, c’est un sous produit dont il faut en faire quelque chose pour garder une certaine rentabilité c’est vous qui êtes d’une mauvaise foi, la preuve s’il en est que vous répondez sur la forme et non le fond en essayant de me décrédibiliser alors que je vous donne l’occasion d’être transparent mais visiblement même à vous le plus honnête et le plus amoureux des bêtes entre tous vous êtes incapable de dire ce qu’il advient de ces animaux quand ils ne produisent (pas) plus de lait.
Comme d’habitude dans cette industrie, on entretien le flou. Je laisse les lecteurs se faire un avis sur votre faible répartie pour quelqu’un qui souhaite si ardemment défendre sa profession.
(Soit dit en passant parler de l’abattage des laitière c’est hors sujet mais parler de pseudo-vegan technophile ça l’est
Encore un beau cliché comme on aime les entretenir dans le milieu)
Vous parlez d’industrie quand je parle d’agriculture locale et raisonnée, de petits producteurs…
Quant à la finalité, les bêtes finissent leur vie tranquillement où sont menées à l’abattage pour donner une excellente viande que les industriels ne savent pas faire.
Je préfère encore savoir qu’un animal est abattu (respectueusement) après avoir bien vécu et avoir été respecté durant le reste de sa vie, donc la chair servira à nourrir plutôt qu’à finir pourrie ou jetée dans toutes sortes d’aliments industriels.
Sinon, si vous appreniez à lire convenablement vous auriez très bien compris que je parlais de petits producteurs depuis le début… et que je n’en suis pas un (mais j’en connais assez pour parler pour eux).
Donc je parle en toute objectivité. A votre différence qui ne voyez qu’au travers du prisme que des articles de ce genre vous mettent devant le nez
Juste une petite précision : pour ceux qui acceptent moralement l’élevage et l’abattage de bovins, il existe des modèles de petite échelle plus respectueux que la façon de faire actuelle.
C’est difficile à accepter, mais une certaine partie d’entre nous s’est posée la question de « qui nous sommes, de nos choix et de leurs conséquences pour nous comme pour les autres », et qui acceptent ce choix moral d’être carnivore. Gardez ça en tête.
Difficle d’être conscient de ses choix sans en connaitre réellement les conséquences. Les vidéos de l’abattoir du Vigan, pourtant petit, local et bio nous montre que les dérives ne sont pas le propre de l’industriel à grande échelle.
Pour la moi la prise de conscience a été simple. Si je peux me nourrir et être en bonne (voire meilleure) santé sans faire de mal à d’autres animaux alors je le fais. J’ai même encore du mal à comprendre qu’on puisse résonner autrement d’autant plus aujourd’hui que l’on sait les animaux tout autant capables que nous d’avoir des émotions, des relations intra et inter espèces et faire preuve d’intelligence parfois supérieure à la notre.
On peut rajouter à tout ça les conséquences de l’élevage sur l’écologie, la biodiversité, le partage des ressources etc… mais visiblement vous savez déjà tout ça très bien puisque vous mangez en conscience
Désolé pour les quelques fautes, un peu trop de précipitation dans ma réponse
Depuis 1872 la présure est standardisée, et n’est plus extraite de la caillette…. Vérifiez vos informations.
Vous n’aimez le ou les fromages ? N’en mangez pas ! C’est votre problème, mais ne rpandons pas tant de stupidité pour discréditer cet aliment. Il n’y a qu’a voir d’où cela vient, la mode du végan est en marche, en culpabilisant les gens. Ne mangez pas d’oeuf, ah bon , une poule pond des oeuf qu’ils soient fécondés ou pas elle pond, alors faut-il laisserces oeufs pourrir ? Bien sur l’élevage en batterie, avec éclairage constant est une ineptie, je suis contre cette pratique, maias je mange des oeufs de poules en liberté. Refuser de porter de la laine ? Mais les moutons souffrent si on ne les tond pas ! Enfin les exemples ne manquent pas. Mangez végan si vous voulez, mais laissez nous en paix mais du fromage porter des chaussures en cuir, manger des oeufs, utiliser des pulls en laine.
Il n’est pas dans l’intérêt des animaux que les vegans vous laissent en paix. ça serait illogique.
Cordialement
Et pourtant hélas pour notre remise en cause culturelle cet article est pertinent.
A lire aussi le dossier lait de la revue BIOCONTACT paru il y a qq mois … « le lait une sacrée vacherie » aux éditions Terre Vivante … « L’alimentation ou la 3ème médecine » du Dr Seignalet qui a guéri qq milliers de personnes …
En réaction à la réaction « le fromage a toujours existé » :
oui à la différence près que d’une part les conditions dans lesquelles il était fabriqué n’avait rien de comparable avec le rapport animal/profit d’aujourd’hui et d’autre part la sédentarisation au travail.
Ne pas savoir aujourd’hui que les produits laitiers sont inflammatoires c’est ne pas écouter les progrès des chercheurs en nutrition, ceci uniquement dans le but d’améliorer notre santé, à l’instar des lobbys du lait qui font n’importe quoi pour vendre, l’OMS n’étant pas là pour prendre soin de notre santé, notre cher gouvernement non plus d’ailleurs, il n’y a qu’à voir actuellement ce qui se passe avec les vaccins, lobbying pharmaceutique oblige !
Enfin ouvrez les yeux et surtout votre conscience !!! Mille millions de mille sabords
« Enfin ouvrez les yeux et surtout votre conscience !!! »
Perso mes yeux sont bien ouverts dès le matin au réveil, merci
Le fameux schéma de pensée qui fait que si l’on n’est pas d’accord, on est un mouton.
Mais à se demander qui est vraiment le mouton dans tout cela…
La façon de s’alimenter du Dr Signalet ne l’a quand ^même empêché de mourir d’un cancer assez jeune!
vive le fromage au lait cru il n’y a pas meilleur. Avec un bon vin il n’y a pas meilleur; et il existe depuis la nuit des temps; franchement, qui vous paye pour mettre des absurdités pareilles, vous n’avez pas honte.
Les guerres aussi, par exemple, existent depuis la nuit des temps.Argument donc irrecevable. D’accord pour le fromage au lait cru. J’ajouterais venant d’une vache qui a brouté de l’herbe. Et a été fécondée par un taureau .Et dont le veau a pu profité du lait (le sien qui est fabriqué rien que pour lui).Ah ça à notre époque ça n’existe pas. Même pas imaginable pour certains qui ricanent au mot « viol ». Ben tu appelle ça comment, banane ? A notre époque,une vache, c’est juste un souffre-douleur. Comme tous les animaux d’élevage. Bon de toute façon le fromage, au niveau nutritionnel, c’est quand même de la grosse daube. Pis c’est pas pour les z’umains, le lait. Point barre.Bref.
Un ramassis d’immondices, et pourtant j’adore les animaux et je ne mange pas de viande !!!! mais faut arrêter ce genre d’article qui n’apporte aucune vérité
si vous aimiez les animaux vous les respectiriez, et ne cautionneriez pas ces tueriez sanglantes juste pour vos papilles …
@Anonyme, vous savez, il n’y a pas que le fromage industriel dans lea vie hein.
En prenant mon fromage chez un producteur local, je ne vois pas à quelle « tuerie sanglante » je participe.
Donc la culpabilisation… gardez la pour vous si ça fonctionne, mais laissez les gens agir en leur âme et conscience plutôt que de faire votre propagande vegano-sectaire.
P.S : j’ai des amis vegans, que je respecte pour leur choix et défend même, et respectent mes choix. Mais ça me fait mal pour eux de voir tous ces pseudo-hippies du XXIe venir donner la morale à tour de bras et leur porter préjudice…
un petit ponche, une petite teuche un morceau de clacoce une petite pipe et au lit elle est pas belle la vie???
Un superbe article à la gloire VEGAN recensant un tissu d’inepties.
Le fromage existe depuis que les chasseurs cueilleurs sont passés à l’élevage pour maitriser et économiser la nature, soit au bas mot 10 000 ans.
Si le fromage était aussi dangereux pour la santé, l’Homme n’existerait plus.
Les fromagers ne recouvrent pas les fromages de moisissures, elles se développent naturellement, et uniquement si les fromages sont sains et bien traités. Au surplus, elles constituent aussi une part notable (comme la présure) de nos commensaux, lesquels représentent souvent 5 % de notre poids et sont plus nombreux que nos cellules et totalement indispensables à notre vie.
L’auteur n’a rien compris à la vie, et comme nombre d’imbéciles, il multiplie les arguments pseudo-scientifiques farfelus pour avoir l’air intelligent.
Tout à fait d’accord avec ces derniers messages : Jamais lu autant d’inepties en si peu de points. Manque de culture et de base en biologie certaines. Je suis déçu que Consoglobe ne sélectionne pas plus le niveau dans la sélection des articles publié sur le site. Si il a y un point intéressant et nouveau à retenir sur les mauvais cotés de la consommation de fromage, c’est son implication dans les états inflammatoires.
Déjà ça sentait l’article vegan sectaire à plein nez, mais les points 5 et 6 ne font qu’appuyer mes doutes.
La moisissure et les bactéries d’un formage affiné sont recommandées après la prise d’antibiotique par exemple, pour renouveler la flore intestinale, ou pour les personnes souffrant de problèmes digestifs.
Il faudrait arrêter de faire des amalgames entre les conditions d’élevages industriels et le produit final.
On peut tout à fait consommer du fromage d’un petit agriculteur (ce que je fais au maximum) tout en rejetant les productions industrielles, sans pour autant nier et faire de la désinformation sur les intérêts nutritifs et sanitaires dudit produit.
Heureusement que tous les vegans ne sont pas aussi sectaires… Mais voir de telles inepties fait peur et montre à quel point certains, dans leurs critiques, deviennent aussi dangereux que le système qu’ils critiquent.
Ils sont bien beau ces fromages végétaux, mais aucunes protéines présentes, absences de cla, de l-carnitine, de vitamine b12 et tout autre bienfait qu’apporte les fromages, donc sans moi
oh oui, les bons « vromages(fromages végétaux) » du yaourt de soja (engrais, pesticides…) et de la margarine : c’est à dire de la graisse de palme ou de coco(tout aussi nocive)…bizarre, je préfère les fromages bio.
Si vous trouvez du casu marzu sur nos étalages faite-le moi savoir ça m’intéresse. Ah non en fait il est italien (de Sardaigne) et interdit à la vente par l’UE (sauf quelques de vente cas repérés en Sardaigne).
D’autres ont commenté le reste de l’article qui, j’en ai le sentiment aussi, a plus ça place dans la corbeille à essais ratés qu’ici.
Le terme « agression sexuelle » est justifié, il y a pénétration de l’animal sans son consentement. Même si je suis d’accord, le consentement d’une vache n’est pas facile à déceler (donc dans le doute, on peut s’abstenir non ?).
Bref quand bien même c’est de l’agression sexuelle de pénétrer perpétuellement l’animal dans le but de le mettre enceinte et de lui prendre son lait.
Niveau éthique il y a mieux non ? Ca choque d’utiliser ces mots mais c’est la réalité, ce n’est pas parce qu’on ne parle pas d’un humain que c’est ridicule. Les animaux ont aussi leur sensibilité. Hallucinant de rire de cela, « lol violer une vache, mais n’importe quoooooi ». L’empathie pour les animaux d’élevage manque…
Pour « vivelesvaches », le plaisir tu peux ne pas le perdre et épargner les animaux. Je te l’assure
Pour te répondre, je suis végétalien et les produits qui imitent me plaisent car j’adore le goût du fromage, donc si je peux avoir un produit similaire sur certains points et sans souffrance, je dis OUI
Le terme « agression sexuelle » est, par définition, un acte sexuel non consenti sur une personne humaine.
Alors non, le terme n’est pas ni justifié, ni correct…
Mais je n’ai jamais dit qu’il était ridicule, vous m’avez mal compris, je parle de maltraitance, avez-vous vu
Je ne sais pas ou vous avez vu que je « ris de cela »… la maltraitance animale est une réalité, j’ai été végétarienne pendant des années et je mange encore à l’heure actuelle très peu de produits d’origine animale.
Mais soutenir une cause en disant des conneries, j’ai bien peur que cela ne soit pas franchement du soutien.
On fait pas de concours Alexis, mais je connais un peu les substituts et franchement, si j’ai le choix entre acheter un faux-mage fabriqué dans une usine, avec une liste d’aliments longue comme le bras, emballé sous plastique OU un petit fromage local chez un producteur ou a ma biocoop, je pense qu’en terme d’environnement et de santé, n’est peut être pas le pire celui que tu penses.
Le point 1 est incorrect.
Le point 2 est ridicule, alors autant arrêter le sport, le chocolat, le sexe et tout ce qui est potentiellement addictif, chimiquement parlant…Une addiction n’est pas forcément mauvaise !
Le point 3…nom d’un chien, qu’on parle de maltraitance je veux bien mais… d’agression sexuelle ? Vous ne connaissez pas beaucoup la manière de se reproduire de beaucoup d’animaux sans doute…
Le point 4 : encore un argument citant « une étude » mais qui ne donne AUCUNE SOURCE !
Les points 5 et 6 nous somment de ne pas manger d’aliment contenant des bactéries (ou des éventuels parasites/moisissures … etc) il ne faudrait surtout plus consommer de produits fermentés donc, exit le tempeh, le miso, le vinaigre, les légumes lactofermentés, exit aussi le bio, puisque les végétaux non-traités sont susceptibles d’abriter des petites bêtes…
Le point numéro 7 est tout simplement ABSENT… serieusement, qui a pondu cet article ???
Le point 8 est recevable ALLELUJAH, voila un argument cohérent et véridique.
Le point 9 est …étrange pour un article qui s’intitule « 8 raisons de blablabla » mais soit, une « portion » (combien de grammes ?) de chips contient moins de sel que certains fromages. En effet, mais quid du brillat savarin, de la mozzarella, du bibalakas ? Donc point 9 faux également…
Y a t il vraiment des gens chez consoglobe qui se sont dit que cet article était bon et qu’il allait être publié en l’état ?
Loin de moi l’idée de faire l’apologie du fromage, il est vrai que c’est loin d’être un aliment santé et que la condition animale en pâtit, mais vérifier vos infos vous permettrait de sensibiliser plus de monde je crois…et de rester crédible :-/
Désinformation : 1 – Consoglobe : 0
Alors je vais compléter, je vois qu’un point 7 est présent, sur la présure (celui qui devait être le point 8 que vous jugiez recevable). La présure végétale existe.
Globalement ce qui est écrit là dénonce l’industrie de masse du fromage, les petits producteurs respectent beaucoup plus leurs bêtes et les traitent bien. Les connaissent. Leur donnent des prénoms. Les agneaux, veaux, chevreaux boivent le lait de leur mère, ce qui n’empêche pas la traite, et grandissent à leur côté.
Mazette… Que d’inepsies dans un si court (heureusement d’ailleurs) article!Et par pitié, revoyez vos cours de nutrition ou lisez plus attentivement les étiquettes… 70% de graisse dans tous les fromages. Je préfère en rire. Nous ne sommes pourtant pas le 1er avril? Ou bien ai-je loupé un épisode! Néanmoins, je dois dire que le coup de l’agression sexuelle des vaches vaut son pesant de cacahuètes (désolé pour les allergiques aux arachides). Et si en effet le fromage n’est pas vital, il existe une notion fondamentale chez les êtres vivants, et notamment les humains… J’ai cité: le plaisir!!! Et oui, on peut AUSSI n’avoir d’autre but que de se flatter les papilles sans avoir l’impression de commettre un crime. Et puisque vous incriminez autant le fromage, j’ai du mal à comprendre votre référence aux erzasts végétaliens : pourquoi chercher à imiter un produit aussi diabolique? Serait-il que vous seriez vous aussi… tentée?