Quels sont les critères auxquels vous êtes le plus sensible ?
Pour cette troisième question, la consultation publique cherche à connaître les critères environnementaux auxquels le grand public est le plus sensible.
Trois réponses maximum sont autorisées, un choix difficile à faire parmi les propositions suivantes :
– Consommation en eau
– Consommation en énergie
– Pollution de l’eau
– Pollution de l’air
– Impact sur les ressources naturelles
– Impact climatique
Sur quelles familles de produits souhaiteriez-vous en priorité avoir une information environnementale ?
Produits alimentaires, produits d’hygiène et de beauté, produits d’entretien, électroménager, textile, mobilier, papeterie et journaux de presse, informatique/Hi-fi/ téléphonie, Maison et jardin.
Pour cette dernière question, il est demandé au répondant de choisir trois familles de produits au maximum sur lesquelles il souhaite qu’une information environnementale soit indiquée. Serait-ce une façon de connaître sur quels secteurs le consommateur est davantage prêt à faire des efforts ?
L’expérimentation est lancée et devrait prendre de plus en plus d’ampleur. Donnez votre avis !
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Au lieu de perdre son temps à afficher sur les produits ce qui est bon ou mauvais pour la planète, ce qui est bon ou mauvais pour la personne qui les consomme, il vaudrait mieux virer directement les produits nocifs, les graisses et sucres en trop, les colorants… plus de questions à se poser, de temps perdu à lire les emballages, moins de surface d’emballage et d’encre qui nous renseigne de quel façon on va mourir en avalant toute leur m…e !!!
L’impact environnemental, c’est mieux que rien, quand on parle d’eau et d’air, mais quand parlera-t-on de l’environnement humain, des gens (les enfants qui récoltent de cacao, le fait que l’huile de palme est un poison qui pourrit lentement tous les filtres du corps, alors qu’elle est présente dans TOUS les laits maternisés vendus en supermarchés, assurant ainsi une clientèle fidèle et perenne aux laboratoires pharmaceutiques, etc…)? Informer qu’un produit ait tel « impact carbone » ou qu’il faille tant l’eau pour le produire ne suffit pas à donner la dimension nuisible d’un mode de production. Si on nous dit par exemple l’impact carbone d’une saucisse industrielle faite avec du porc breton, nous dit-on aussi combien on dépense pour assainir les plages pourries d’algues vertes? Combien on dépense d’énergie et d’encre pour protester? Et dans le même temps on donne des permis d’agrandissement de cette industrie très polluante… C’est assez folklorique et on n’y croit guère, vraiment.
L’affichage environnemental, moi je trouve que c’est une bonne idée si ça reste facile à lire, à comprendre et que ça ne donne pas un prétexte à augmenter les prix des produits bien notés du point de vue environnement