Comment reconnaître un Agame barbu en bonne santé
Le meilleur moyen de reconnaître un Agame en bonne santé consiste surtout et avant tout à l’observer régulièrement… De préférence tous les jours quand vous faites les soins et que vous le nourrissez. À force de vous en occuper, vous vous apercevrez par vous-même si quelque chose cloche ou non.
En règle générale, ces animaux sont très rustiques et résistants, c’est d’ailleurs ce qui a fait leur succès de NAC.
Si leur nourriture est équilibrée et leur lieu de vie propre, vous avez peu de chances de les voir autrement qu’en bonne santé.
Cependant, si votre ou vos Agames barbus commençaient à avoir un comportement apathique, qu’ils n’arrivaient pas à compléter leur mue, qu’ils présentent des blessures ou qu’ils soient atteints de parasites comme les acariens ou les puces, soyez vigilant et suivez l’évolution de près : n’hésitez pas à consulter un vétérinaire spécialisé reptiles.
Un vétérinaire NAC aura besoin d’informations pour pouvoir bien diagnostiquer et traiter l’éventuelle maladie : âge et sexe, date d’apparition des symptômes, depuis quand l’agame ne mange ou ne boit plus si c’est le cas…
Comment prendre soin de votre Agame malade
Hormis les préconisations de votre vétérinaire vous pouvez aussi agir pour soigner vos Agames barbus ou tout du moins suivre leur état de santé.
Apportez un soin tout particulier à l’alimentation durant cette période en faisant en sorte qu’il consomme des produits bien variés et sains (notamment sans pesticides car les lézards y sont très sensibles), que l’apport en vitamine B3 ne soit in trop faible ni trop important…
En cas de mycoses, veillez à diminuer le taux d’humidité en dessous de 60 % et en cas d’éternuements, changez le terrarium de place, c’est qu’il a été positionné dans un endroit trop soumis aux courants d’air.
Et s’il n’est plus possible de le garder
La vie est ainsi faite qu’il y a parfois des aléas qui peuvent vous amener à devoir vous séparer de vos Agames même si leur durée de vie n’excède pas les 2 ou 4 ans.
Ne les relâchez en aucun cas dans la nature, ils n’ont rien à y faire, ne sont même pas de ces écosystèmes, ne vivraient pas longtemps et auraient probablement une fin tragique.
Parlez-en avec votre vétérinaire qui pourrait vous aider, essayez de le donner via des connaissances dignes de confiance… Faites fonctionner vos réseaux ! En dernier recours, vous pouvez tenter auprès d’un éleveur passionné, voire demander à une école ou un zoo près de chez vous s’il ne pourrait pas lui trouver une petite place confortable !