Des labo de l’université de Olavide (Séville, Espagne) travaillent à l’amélioration du rendement des cellules solaires photo-électrochimiques, pour remplacer les cellules de silicium utilisées traditionnellement. Le but est de fortement baisser le coût des installations. Les semi-conducteurs utilisés dans la plupart des cellules photovoltaïques sont en silicium.
Des alternatives à étudier
En dépit d’un excellent rendement, le silicium est un matériau dont le coût de production reste fort. Les cellules solaires photo-électrochimiques (dites DSSC – dye sensitised solar cells) seraient une alternative au silicium. Nouveauté, elles utilisent du dioxyde de titane, moins cher et utilisé traditionnellement en photographie.
Selon les sources espagnoles, le défaut majeur des cellules à dioxyde de titane est qu’elles absorbent uniquement les radiations ultraviolettes, qui ne représentent qu’une toute petite partie des radiations solaires. Pour remédier à ce défaut, on ajoute un colorant au semi-conducteur, ce qui améliore grandement le rendement de la cellule.
Source : Cette information est un extrait du BE Espagne numéro 52 du 9/05/2006 rédigé par l’Ambassade de France en Espagne. Les Bulletins Electroniques (BE) sont un service ADIT et sont accessibles gratuitement.
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Bonjour,
Etant fabricant de modules photovoltaic, je pense ce qui peu marcher pour les modules c’est d’avoir des cellules a haut rendement avec des puissances de 4,5w voir plus de 5w, pour permettre de faires des modules plus petit et avec moins de cellules pour un prix moins cher.