On n’en parle pas suffisamment. Pourtant, l’aluminium est un vrai danger pour la santé : on le respire, on l’ingère, on le met sur la peau. Ces effets délétères et mortifères sont aujourd’hui démontrés scientifiquement. Les chercheurs tirent la sonnette d’alarme.
L’aluminium est partout
« Nous sommes indubitablement dans l’âge de l’aluminium. Il s’agit de ne plus ignorer ses effets dans notre vie, sur notre santé et sur l’environnement. Notre exposition est quotidienne, large et inépuisable et elle touche tout le monde, dans tous les pays », insiste d’emblée le Prof. Christopher Exley, chercheur à l’Université de Keele en Grande-Bretagne, spécialiste mondial de l’aluminium, au cours d’un congrès mondial qui vient de se tenir à Lille (1).
Des effets multiples sur la santé
On sait déjà que l’aluminium participe aux risques sur certains cancers (celui du sein en particulier, à cause des déodorants et anti-transpirants) et de la sclérose en plaques.
On connaît aussi ceux sur les maladies du tube digestif (Maladie de Crohn, rectocolite hémorragique, colopathies). Mais il faut encore creuser le sujet et continuer les recherches, en lien avec celle sur l’axe intestin/cerveau et celles sur le microbiote.
Quant à ceux sur les maladies du cerveau, ils étaient soupçonnés et controversés. Ils viennent d’être confirmés pour la maladie d’Alzheimer et pour l’autisme chez les enfants, confirme le Prof. Christopher Exley.
« L’aluminium est un contaminant chronique. On y est exposé à très petites doses, pendant de longues années. Il faut parfois attendre 20 à 40 ans pour en voir les effets négatifs sur la santé. Il participe à déclencher ces pathologies, mais n’en est pas la cause directe. Et tout dépend de la susceptibilité de chacun à répondre à ces effets », explique-t-il encore.
Les 4 voies d’exposition
Le gros problème de l’aluminium est qu‘il est partout dans notre environnement, et que son utilisation est quotidienne et multiple : « L’aluminium est utilisé au quotidien, de vos lieux de vie à vos transports en passant par l’emballage et les produits de la vie courante ! », lit-on sur le portail web de l’aluminium en France. Effectivement…
Les voies d’exposition sont donc démultipliées.
« Selon la voie d’entrée, les effets seront différents sur le corps », souligne le Prof. Christopher Exley.
1. La voie orale
C’est le fait d’ingérer des aliments ou des boissons contenant de l’aluminium.
On en ingère en moyenne 1 mg/jour/kilo !
En 1989, l’OMS, jusqu’en 2006, avait ainsi fixé une dose d’aluminium journalière tolérable (DJT) de 1 mg par kilogramme de poids corporel. Depuis 2006, la dose d’aluminium hebdomadaire tolérable a été modifiée par le JECFA(OMS) à 1 mg / kg par semaine soit pour une personne de 50 kg une dose hebdomadaire de 50mg/semaine soit 7.1mg par jour.
2- La voie cutanée
C’est le fait de mettre sur la peau (perméable à l’aluminium) des produits contenant de l’aluminium : les cosmétiques et surtout les déodorants et les anti-transpirants.
3- La voie respiratoire
C’est le fait de respirer, par le nez et la bouche, des produits contenant de l’aluminium : les aérosols.
« C’est la voie la plus dangereuse, car les poumons ne peuvent pas filtrer, comme le fait le foie quand on ingère un aliment. Ici, l’aluminium passe directement dans le sang », explique le spécialiste.
4- La voie intradermique et intramusculaire
Ce sont les injections des vaccins et de certains médicaments.
Il est possible d’éliminer l’aluminium de notre corps !
Il existe 2 voies d’excrétion :
- les urines
- la transpiration et la sueur. « C’est l’autre avantage de l’acticité physique », souligne le spécialiste.
Les lieux de stockage dans le corps
Les recherches sont en cours sur le sujet. Deux pistes s’annoncent sérieuses :
– le tube digestif
« On pensait avant qu’il n’y avait que très peu d’aluminium stocké dans le tube digestif. On s’est aperçu qu’il pouvait en fait y en avoir de 40 à 50 % qui reste stocké ! », précise le Prof Christopher Exley.
– le sperme (c’est nouveau !)
> Suite : Aluminium : des solutions pour moins s’empoisonner ?
L aluminium est une substance dans les effets sanitaires font l objet de preoccupations croissantes. Ces preoccupations sont liees a sa toxicite et a sa presence frequente dans l environnement du quotidien. Lorsque du « papier aluminium » se trouve au contact de matieres acides, de l aluminium peut etre transfere vers l aliment. Ce transfert est accru par la chaleur. Typiquement, il est deconseille de cuire du saumon en papillote avec du citron.
L’aluminium est une altération de la création de Dieu.
Et on se rend compte encore pour la mille et unième fois que toute altération de la création est néfaste.
C’est le démon qui pousse l’homme à vouloir « améliorer » la création de Dieu.
« [Le diable dit :] Certes, je ne manquerai pas de les égarer, je leur donnerai de faux espoirs, je leur commanderai, et ils fendront les oreilles aux bestiaux ; je leur commanderai, et ils altéreront la création de Dieu. Et quiconque prend le diable pour allié au lieu de Dieu, sera, certes, voué à une perte évidente. » (Coran 4:119)
Il n’a pas fallu attendre longtemps en 2016 pour voir le commentaire le plus débile de l’année.
A force d’avoir le nez plongé dans les livres religieux, on oublie de lire quelques manuels scientifiques, vous devriez vous y plonger, vous y découvrirez quelques notions qui ne sollicite aucun acte de foi…
Cet article est approximatif. Pourquoi ne pas avoir dit que l’aluminium n’était pas seulement un produit industriel mais également le 3ème élément de la crôute terrestre et qu’il entre dans la composition naturelle de tous les sols, les plantes et les tissus animaux ? Donc, nous y sommes tous exposés peu ou prou. J’espère que les lecteurs ont bien saisi la face cachée marketing : une pub pour une eau minérale et une pour un deo sans sels d’aluminium mais certainement avec des sels d’alun qui ne sont autres que de l’aluminium naturel.
+1000
Remarquez, dans ConsoGlobe, il y a « conso » (et avant Globe)…
De plus, l’aluminium dont il est question dans l’article n’est absolument pas de l’aluminium pur mais des alliages ou des sels d’aluminium.
Enfin, ce genre de phrase « Quant à ceux sur les maladies du cerveau, ils étaient soupçonnés et controversés. Ils viennent d’être confirmés pour la maladie d’Alzheimer et pour l’autisme chez les enfants, confirme le Prof. Christopher Exley. ». Faut arrêter, ce n’est pas parce qu’un scientifique appuie une thèse et en fait un papier que c’est confirmé médicalement.
Relisez vous et soyez un peu critique de vos sources.
Bref, un article de surface, des sources uniques, bof bof!
3 eme élément c’est vrai, mais ça n’en fait en rien un allié pour notre santé ! L’eau de mer est beaucoup plus présente que l’eau douce et pourtant elle est mortelle si un naufragé ne boit que ça! L’arsenic, le plomb, le cyanure, le mercur, l’amiante et même l’uranium sont des éléments ou composés parfaitement naturels et pourtant mortels! Le fait que notre bonne vieille Terre contienne de l’alu ne fait pas qu’il soit sans danger. Quand il est métabolisé par des plantes c’est sous une forme qui n’est pas ou peu toxique puisque en assez faible quantité et neutralisé par la plante, or là, on ajoute de l’alu pur sous sa forme pure, non liée à d’autres éléments ou neutrlalisé par quoi que ce soit, elle a donc tout loisir de passer en nous et de faire tous les ravages possibles en se liant à tout ce qui nous compose. Dans les contrées d’Amérique du Sud où se trouve de grandes usines d’extraction d’alu, plus RIEN ne pousse là où sont rejetés les restes. L’aluminium est STRICTEMENT INTERDIT dans les solutions de dialyse à l’hôpital pas la moindre trace sous peine de mort pour le patient, il est interdit pour les aquariums contenant des poissons fragiles ou tropicaux parce qu’il les fait crever, il est prouvé qu’il donne le cancer dans les déodorants, crèmes solaires, pommades, des médicaments contre les brûlures d’estomac… que les plaques amyloïdes des alzheimers et des scléroses en plaques en contiennent en grande quantité.
La courbe d’augmentation de l’utilisation d’alu suit parfaitement la courbe du nombre de cancers, du nombre d’enfants allergiques à tout (année 70-80 quasiment aucun gamin allergique et aujourd’hui ?) l’alu à commencé à être utilisé en masse dans les années 50-60 et Alzheimer est arrivé en masse dans les années 70…
Comme dit Morpheus dans Matrix (en gros), il est difficile d’ouvrir les yeux et d’accepter la vérité. C’est la plus difficile étape dans les prises de conscience collectives.
Vous pouvez regarder des documentaires édifiants sur YouTube par exemple aluminium notre poison quotidien.
Je suis très désagréablement étonnée que vous ne citiez pas dans l’aluminium alimentaire, les capsules de café / thé des machines à café qui prolifèrent.
Ces capsules sont chauffées fortement et les consommateurs de café et de thé en utilisent plusieurs fois par jour et tous les jours. Et là vous n’en parlez pas ? C’est décevant et inadmissible. Comment faire confiance à votre site…
Merci pour cet article. Que dire du système de filtration de l’eau du robinet à l’aluminium qui empoisonne notre eau du robinet! Il existe pourtant une alternative, les pouvoirs publics devraient investir dans le changement de mode de filtration des stations d’épuration.
L’aluminium naturel est naturellement présent dans les ressources naturelles en eau (voir plus eau mon commentaire). La présence de traces d’aluminum peut être liée à l’utilisation de sels d’aluminium pour faire coaguler les matières organiques. Il existe effectivement une alternative, les sels ferreux mais qui ne peuvent être utilisés que si la ressource utilisée est d’un faible Ph, ce qui est loin d’être le cas partout. L’eau ne représente que 10 % de l’apport quotidien alimentaire.Dans un rapport commandé par les pouvoirs publics aux experts scientifiques, l’eau n’est pas retenue comme lien causal dans la survenue d’une maladie d’Alzheimer. La norme pour l’eau est de 200 microgrammes par litre soit 0,2 mg, à comparer avec tous les autres apports calculés en milligrammes.
vous confondez, je pense, l’eau du robinet pour laquelle je ne connais pas d’usage impliquant de l’aluminium, et l’épuration de l’eau pour laquelle en effet on utilise parfois des sels d’aluminium, surtout lorsque les stations d’épurations font fasse à des pics de volume par exemple en cas d’orage. La solution ? on peux bien sur attendre que les pouvoirs publics changent +- « spontanément », on peux aussi agir à notre niveau pour diminuer ces pics : citerne d’eau de pluie, reporter la « production » d’eau polluée en cas d’orage (décaler lave-vaisselle et lave-linge), passer à une épuration style eautarcie, toilette sèche, mais aussi de manière générale tout les déchets vu qu’ils nécessitent de l’eau pour leur fabrication