Les différentes formes d’ampoules à économie d’énergie
Formes d’ampoule | Applications |
Bulbe (globe) / cylindrique |
Formes classiques pour tous les usages possibles aussi bien fonctionnel que décoratif : lampe de table/lampadaire, applique murale, suspension ouverte, lampe de lecture. |
Torsade (hélitron) / Stick | Formes pour tous les usages possibles aussi bien fonctionnel que décoratif : lampe de table/lampadaire, applique murale, suspension ouverte, lampe de lecture. |
Mini-globe / mini-stick | Formes très compactes qui peuvent être utilisées dans les petits luminaires (chandeliers, lampes de chevet…) |
Flamme (bougie) | Forme particulièrement adaptée aux luminaires type « Bougie », applique murale, lampe de lecture, et lampadaire d’extérieur (fermé). |
Réflecteur / spot | Formes adaptées aux plafonniers, spots ou luminaires encastrés pour un éclairage général / suspension ouverte pour une lumière directionnelle. |
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Ampoules basse conso : les autres critères de choix
L’indice de rendu de couleur (IRC)
Paramètre qui caractérise l’aptitude de l’ampoule à restituer les couleurs naturelles, comme en plein jour. L’IRC indique ainsi la capacité de l’ampoule à ne pas déformer la vision des couleurs ; il varie de 0 à 100 et son symbole est Ra.
- Il est jugé bon au-delà de 80 et excellent au-delà de 90.
- L’IRC d’une lampe à incandescence ou halogène est de 100, alors que les fluocompactes (+/- 85) et lampes à LED (70-80) ont des IRC encore inférieurs.
La température de couleur
La couleur d’une ampoule est déterminée par sa température de couleur, exprimée en kelvins (K). Cette dernière qualifie ainsi la « teinte » de la lumière. Cette caractéristique est souvent évoquée sur les emballages et sera obligatoire à partir du 1er septembre 2010. Les ampoules peuvent ainsi produire une lumière « blanc chaud » ou « blanc froid » :
- Plus cette température de couleur est basse, plus la lumière correspondra à du « blanc chaud » ; la teinte de la lumière est dite « blanc chaud » jusqu’à 3 300 K, « blanc neutre » ou « intermédiaire » entre 3 300 et 5 000 K. Au-delà, elle est dite « blanc froid ».
- Une lumière froide correspond à la lumière du jour (à midi). Une lumière chaude a une ambiance plus feutrée, plus chaleureuse (lumière du matin ou du soir).
- La majorité des ampoules économiques vendues sur la boutique consoGlobe diffusent une lumière « blanc chaud » (2700 K), c’est-à-dire similaire à celle des ampoules classiques à incandescence.
Aurelie tu ne crois pas que c’est nous
Wesh la banane !
goudou goudou goudou goudaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
bonsoir
Bonjour,
Je me permets de vous faire connaître une découverte, c’est un produit en cours de lancement par des jeunes diplômés canadiens, une ampoule qui optimise le rendement des Leds, et aui n’a jamais consommé aussi peu. Je vais en acheter une pour ma part:
kickstarter.com/projects/619878070/nanolight-the-worlds-most-energy-efficient-lightbu
Bonsoir,
Juste une question :
D’aprés l’oms la concentration du mercure dans l’eau ne doit pas dépasser 0.5 microgrammes par litre.
et je vois que dans une ampoule basse consommation il y en à ‘quelques » milligrammes de mercure, ce qui fait « quelques » milliers de microgrammes de mercure,
mais alors mille ampoules, ça fait « quelques » millions de microgrammes ainsi de suite alors les déchets quand elle sont grillées?
Bien sûr comme c’est pas du tout surveillé je suppose que, discipliné,chacun ramène son ampoule et que les gens qui les déchets d’ampoule ne perdent rien en route parce que le mercure d’une ampoule dans un litre d’eau ça fait quand même « quelques milliers de fois plus que la norme de potabilité.Il faut surtout pas la perdre.
Je suppose que c’est pas le même mercure ?
Les objectifs de cette décision, qui constitue par ailleurs un engagement du Grenelle de l’environnement, sont tout d’abord d’ordre écologique : le remplacement programmé devrait permettre d’économiser 8 térawatts-heure (8 milliards de kWh) par an à l’horizon 2016, soit deux fois la consommation électrique de Paris. « Il évitera par ailleurs l’émission de près de 1 million de tonnes de CO2 chaque année », selon Bruno Lafitte, ingénieur à l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe).
Car côté efficacité énergétique, les lampes basse consommation (LBC) affichent des performances à faire pâlir de jalousie leurs voisines à incandescence : elles convertissent en lumière 40 % de l’énergie électrique qu’elles consomment, contre 5 % pour les lampes à filament. En moyenne, les fluocompactes de 12 W possèdent ainsi le même flux lumineux, de 740 lumens, que des incandescence de 60 W. Résultat : elles affichent 80 % d’économies d’énergie au compteur.
Je viens de découvrir cette info : 3,8 millions de ménages consacrent plus de 10% de leurs ressources à leurs factures d’énergie … vive les ampoules basse conso !