Publi-communiqué
Un moteur électrique présente de nombreux avantages, mais rencontre des limites, notamment une autonomie limitée liée à la capacité des batteries embarquées, qui sont difficiles à résoudre. Pour faire simple, plus la capacité de la batterie est grande, plus l’est également l’autonomie, mais plus le coût, l’encombrement et le poids des batteries augmente. La solution ? Le moteur hybride.
La firme de voiture électrique américaine Tesla suit avec succès la voie 100 % électrique en équipant ses véhicules de nombreuses batteries, et en proposant des modèles très haut de gamme, très performants et disposant d’une grande autonomie, sans aucune émission à l’usage et avec des recharges très peu chères. Néanmoins, la recharge reste contraignante, encore relativement longue et tributaire d’un réseau certes en grande progression dans son développement, mais insuffisant pour prendre la route sans se préoccuper de planifier sa recharge sur le parcours à venir. La voiture hybride permet de surmonter ces difficultés.
Les deux principales familles de moteur hybride
On distingue deux familles principales de moteurs hybrides : l’hybride dit « série » et l’hybride dit « parallèle« .
- Pour le premier, c’est le seul moteur électrique qui fait avancer le véhicule, le moteur thermique servant de générateur pour recharger les batteries.
- Le moteur « hybride parallèle » associe quant à lui la puissance fournie par les deux types de moteurs pour propulser le véhicule.
On distinguera aussi les versions hybrides rechargeables (dites « plug-in hybrid electric vehicles » ou PHEV, en anglais) qui offrent la possibilité de recharger le moteur électrique à la prise, contrairement aux voitures hybrides qui ne le rechargent que par le moteur thermique.
Dans de nombreux cas, toutefois, votre véhicule mélange ces différentes solutions selon les phases de conduite et la gestion électronique de l’ensemble.
Existe-t-il des moteurs hybrides Diesel ?
En théorie, le mariage du Diesel et de l’électrique serait bénéfique pour la consommation de carburant. Certains constructeurs, notamment le groupe PSA, ont tenté l’hybridation de moteurs Diesel. En pratique, cela s’avère compliqué à réaliser techniquement et n’offre pas le même agrément d’usage.
Les voitures hybrides les plus connues, telle que la Toyota Prius dans sa version standard, ne demandent qu’un plein d’essence pour rouler. Mais il existe aussi des hybrides rechargeables, dont on fait les pleins d’essence et d’électricité, telle que la Volkswagen Golf GTE. Cela permet l’usage de plus grosses batteries qui offrent une plus grande autonomie en 100 % électrique, généralement jusqu’à une cinquantaine de kilomètres. Objectif : moins de consommation d’essence, moins d’émissions.
La force de traction du moteur (dit « grand couple »), supérieure sur un moteur électrique, complète à idéalement celle du moteur thermique, notamment pour les accélérations en ville ou les reprises sur route. Cela vous paraît abstrait ? Très concrètement, cela veut dire que les ingénieurs peuvent opter pour des moteurs thermiques essence plus petits, favorisant ainsi la consommation. Le gain est notamment visible en ville, avec des gains de consommation allant jusqu’à 25 %. Et donc des réductions d’émission de CO2 et un bilan carbone nettement amélioré.
De plus, le système profite du freinage pour recharger les batteries. La plupart des modèles hybrides permettent de voir en temps réel le système fonctionner sur votre tableau de bord.
Moteur hybride ou électrique : votre coeur balance ?
La propulsion électrique pure semble vouée à un bel avenir. Toutefois, comme évoqué, les technologies actuelles de batteries en limitent le potentiel à ce jour. Quant aux voitures à hydrogène, fonctionnant grâce à une pile à combustible, elles sont une solution envisageable, mais nécessitent une recharge en hydrogène, ce qui pose encore aujourd’hui la question de l’approvisionnement.
Le moteur hybride représente donc à ce jour une excellente solution de transition, qu’il soit en hybride classique ou, encore mieux, rechargeable. Car sur route, à vitesse stabilisée et pour de longs parcours, un moteur thermique reste très efficace et bien entendu, facile et rapide à alimenter à la pompe. Avec un vrai plaisir de conduite en plus. Rouler en hybride est une solution intelligente au vu des technologies et infrastructures actuelles.
Les versions hybrides rechargeables ont l’avantage de permettre de traverser les centres villes en mode zéro émission, ce qui se montrera utile lorsque certaines municipalités finiront par interdire l’accès aux motorisations classiques.
il faut profiter de l’aventure électrique maintenant, car on trouvera bientôt un moyen d’obliger à se fournir en électricité à des lieux spécifiques: si on le fait « à la maison », on prive l’état de taxes de 70% du prix du carburant, et ce ne sera pas tolérable à long terme!donc, tant qu’on cherche, il laisse faire, mais quand ça aura bien pris, le coup tombera! le Paris – Lyon à 8,50€ redeviendra classique, à 50€, avec les taxes!
très beau publireportage vw .
chez Toyota toute la game est proposée en hybride .
lu sur un autoplus il faut multiplier les consommations d’essence par 2 pour etre dans la vrai vie
L’intention de parler cette technologie est louable. Mais, avec tous ces commentaires élogieux ou méprisants, on ne sait pas combien coûte ce véhicule de luxe de rouler « propre » : un gars qui gagne le SMIC devra économiser combien de mois de salaires pour ce payer ce jou-jou technologique et quelle sera la fiabilité de l’engin à l’horizon de 10 ans ? Allez …on se met au vélo ?
vous n’économiserez pas un rond, le surcout bouffe le gain en consommation! sauf si elle dure très longtemps, ce qui n’est pas certain!
Pourquoi aucun constructeur ne va dans le sens de la Pile à combustible qui avait été innové par Tesla (oui je sais elle est beaucoup trop autonome et cela ne les intéresse pas) mais l’autonomie est l’avenir en relation avec la planète, pas de pollution ni de carbone ajouté?
stockage de l’hydrogène explosif! très dangereux!
La pub pour les moteurs hybrides est faite par les pro-nucléaire
On n’entend plus parler de l’air comprimé, et très peu de l’hydrogène, qu’en est-il réellement de ces technologies qui ont l’air respectables ?
Quel bel acte de publicité (gratuite ?) pour VW !!
Donner un avis tranché sur l’hybride sans distinguer les différents usages d’utilisation des véhicules, bel exemple d’article ‘orienté »
Le 100 % électrique est adapté à un usage quotidien dans un rayon d’action limité autour de son point départ, soit 90 % de l’usage d’un véhicule familial. Les cas ou l’hybride s’avére utile sont pour les trajets plus longs
Vous êtes payés pour casser l’électrique ?
L’hybride est une voiture à pétrole, pas une électrique !
Lorsqu’on annonce 50km en mode électrique il faut comprendre qu’en réalité on n’en fera qu’une vingtaine. Au bout de quelques semaines on en a assez de sortir le câble pour seulement 20 km et c’en est fini du mode rechargeable !
Bien sur voiture à pétrole mais l’électricité fourni par EDF vient des
centrales nucléaire produisant des déchets que l’on ne sait pas recycler Alors quelle est la « meilleure pollution » quand on
n’habite pas en ville que les moyens de transports sont quasi
inexistants et que l’on ne peut pas se passer de véhicule pour
travailler(aide à la personne)???????
‘électrique est aussi une voiture à pétrole, simplement la pollution se fait « à la campagne », loin du lieu de consommation! et elle est très centralisée, donc plus dangereuse, et nous condamne à augmenter le parc nucléaire!
Surtout : « Certains constructeurs, notamment le groupe PSA, ont tenté l’hybridation de moteurs Diesel. En pratique, cela s’avère compliqué à réaliser techniquement et n’offre pas le même agrément d’usage. »
En conclusion : hybride VW c’est bien, hybride PSA c’est nul.
Je ne vois pas pourquoi un moteur essence est moins compliqué à coupler à un alternateur qu’un moteur diesel ??? Au contraire, le fort couple et un bon rendement à régime optimum d’un diesel est mieux adapté à mon avis… Pendant longtemps, les diesels on révélé une pollution inférieure aux moteurs essence. A part les particules évidemment, mais jusque dans les années 90, on ne les considérait pas dans les émissions polluantes.
Je pense que l’article a été copié d’un dépliant publicitaire. Mais bon, je ne suis pas motoriste non plus, on ne peut pas lui jeter la pierre, journaliste impartial, c’est un métier.
Mais au fait, ce n’est pas VW qui magouille ses résultats d’émissions polluantes ? Du coup qu’en est-il des chiffres annoncés pour l’hybride ? Il faut rajouter 20%, 30% ? Donc finalement, ça consomme et pollue plus, non ? Ben oui, c’est normal que ça consomme et pollue plus, il faut le tirer le poids des moteurs électrique et des batteries (fabriquées par des industries méga polluantes et pas encore recyclées). C’est un peu comme un voilier qui fabrique son propre vent avec des ventilateurs pour avancer…
quel beau publireportage.. VW vous a payé combien?