Le régime alimentaire de la population mondiale est en train de s’uniformiser, et ce n’est pas pour le bien de notre planète. Plus de viande, des glucides et trop de gras, trop de produits transformés… L’appétit des humains pour ces aliments pèse lourd sur leur bilan carbone. Voici les aliments qui ont un fort impact sur l’environnement.
Quel impact de l’alimentation sur l’environnement ?
L’alimentation est le quatrième poste d’émissions de CO2 d’un foyer français(1). Il est pourtant possible d’agir au quotidien pour changer ses menus. Mais quels sont les aliments les plus nocifs pour notre planète, à éviter ?
La viande, aliment le plus impactant sur l’environnement
La viande est sans conteste l’aliment qui possède l’impact le plus fort sur l’environnement. Déforestation pour le pâturage, besoins en eau, émissions de gaz à effet de serre, transports des animaux… Adopter un régime moins carné est à coup sûr le meilleur éco-geste que l’on peut réaliser au quotidien.
Le sucre, mauvais pour la planète
La production de sucre est très problématique pour l’environnement. La culture de la canne à sucre provoque une érosion accélérée des sols des pays tropicaux, tandis que celle de la betterave demande une utilisation massive de pesticides.
Et pourtant, la demande en sucre explose dans l’ensemble des pays du globe. On peut diminuer ses doses journalières de sucre, un geste positif à la fois pour l’environnement mais aussi pour notre santé.
L’huile de palme : son impact sur l’environnement
L’huile de palme est, à raison, l’un des aliments les plus décriés par les écologistes. Même si on en trouve rarement à l’état brut dans nos cuisines, elle est partout : biscuits, confiseries, pâtes à tartiner… Et pourtant, elle provoque des dégâts massifs dans les forêts tropicales, qui sont rasées pour y implanter des monocultures de palmier à huile. Ce au détriment de la faune qui y vite, les orang-outangs notamment. Pour en consommer moins, évitons les produits transformés et préférons le fait-maison !
L’avocat contribue à la déforestation
L’avocat, la star des régimes healthy et des Instagrammeuses, est pourtant un mauvais élève au niveau environnemental. La demande en forte hausse ces dernières années, a conduit à une hausse de la déforestation dans les pays producteurs, notamment au Mexique. Sans compter l’impact carbone des transports pour acheminer ce précieux fruit jusque dans nos cuisines. Vous ne pouvez pas vous passer d’avocat ? Préférez-les bio, et produits plus proches de chez nous : les avocats d’Espagne par exemple.
Le chocolat, lourd impact sur la planète
Aïe aïe aïe ! Mauvaise nouvelle pour les amateurs de chocolat. Sa production contribue à la déforestation, surtout dans les pays africains. Sans parler des lourds tributs payés par les producteurs : la production de cacao a par exemple recours au travail des enfants ! Vous souhaitez manger du chocolat sans faire partie de ce désastre ? Préférez le chocolat bio et issu du commerce équitable !
Vous ne citez que le Mexique pour les avocats, or, en France du moins, ils viennent plus souvent d’Israël ou d’Afrique du Sud.
En ce qui concerne les piments, ils se cultivent très bien en Bretagne en pleine terre et sans serre, puisque mon père cultive les siens en Loire-Atlantique.
Enfin, à moins de retourner à un mode de vie « pré-néolithique », il est difficile de ne pas cultiver la terre pour se nourrir. Déjà, en mangeant les produits de saison, nous ferions un grand pas. Ensuite, tous ces pays dont proviennent les épices, pour ne citer qu’eux, ne sont-ils pas heureux de pouvoir gagner leur vie grâce à leur agriculture ? Dites-leur d’arrêter et de renvoyer les ouvriers aux joies de la vie en forêt, que deviendront-ils ? Quant à vous, de quoi vous nourrissez-vous ?
Très fort, incroyable, écrit pour desl’Enarques, qui parlent avec des slogans naftalinés. Vous pouvez creuser plus profondément, la débilité est infinie!
O’u En est on avec le gaz des vaches? Elles se sont civilisées?!
Article intéressant, à part les réserves déjà remarquées sur les forêts primaires. Celles-ci existent bien, mais au Sud-Est du Mexique et du Michoacan. Par contre, pourriez-vous explicitez ce que vous entendez par « contrebandiers agricoles » (au sujet des épices) ?
@ Valeye :
Quelles forêts primaire?
Une forêt primaire serait une forêt que l’Homme n’aurait jamais visité-utilisé-chassé-exploité depuis des millénaires.
Il n’en existe aucune.
Vous avez besoin d’un comité de lecture qui analyse les projets de publications avant de vous ridiculiser en les diffusant.
« 4 millions à 24 millions »
de quoi?
têtes, kilos, tonnes?
« dont la culture implique une déforestation constante des régions concernées »
Ce qui est vrai pour toute culture depuis de l’Homme est passé de chasseur-cueilleur à éleveur-cultivateur il y a plus de 15 000 ans.
C’est donc l’Homme qu’il faudrait supprimer (comme le pense M. Yves Paqualet), le problème est de savoir par qui commencer.
Je suis très surpris que Consoglobe produise un article aussi débile ! La nature est bien faite pour se nourrir ! Dans le même sens que l’article on pourrait dire que le blé, le maïs, le colza, les betteraves sont des menaces ! Vraiment c’est nul !
Sauf que, dans des cas comme l’avocat,ou l’huile de palme, il s’agit de productions industrielle, à grande échelle et avec force produits chimiques, que produisent quelques pays,pour alimenter la planète entière tout en massacrant des forêts primaires, avec des denrées dont on pourrait, contrairement au blé par exemple,parfaitement se passer!