Une belle et louable expérience est actuellement tentée par la Fondation Frédéric Gaillanne, première école d’éducation de chiens guides en Europe exclusivement destinée aux enfants aveugles et malvoyants ou atteints d’autres formes de handicap, auprès de huit familles. Chacune d’elle va bénéficier de la présence d’un chien spécifiquement formé à cohabiter avec les tout-petits.
Enfants malvoyants : le chien pourrait être un « catalyseur social » efficace
Ici, il n’est pas question de chien-guide comme pour les adultes, mais simplement d’une présence auprès de l’enfant qui apprend auprès de son patient compagnon à quatre pattes à découvrir l’espace qui l’entoure.
Par le toucher notamment, l’enfant et le chien se vont se découvrir mutuellement et apprendre à vivre ensemble. Les parents filmeeont quelques séquences afin de permettre un suivi mensuel des progrès psychomoteurs de leur bébé.
Selon une psychologue de l’Université Lyon 2 impliquée dans le projet, en parallèle d’un suivi médico-social approprié, le chien pourrait jouer un véritable rôle de « catalyseur social ». En effet, l’animal, par sa simple présence, serait susceptible de provoquer des interactions entre le tout jeune enfant et son contexte familier, mais aussi dans des situations moins habituelles pour lui, comme une promenade à l’extérieur, riche de multiples stimuli sensoriels.
Les premiers résultats sont attendus pour 2018 et les données compilées jusqu’en 2020 permettront de conclure sur la réussite de la démarche.
Illustration bannière © Cylonphoto – Shutterstock
Je suis contre l’exploitation et contre l’utilisation des chiens ou de tout autre animal « juste pour le confort ou les besoins d’humains » car que fait on pour protéger et défendre les animaux déjà rien qu’en France ? rien…..
Les animaux eux, ne peuvent pas compter sur les humains pour vivre mieux, pour être reconnus et considérés et pour être respectés alors qu’ils sont tous des êtres vivants sensibles intelligent et ils ont des émotions tout comme nous et tout ce qu’ils demandent est de vivre en paix, dans la tranquillité et dans le respect le plus total et non pas obligés d’être « éduqués, d’être enfermés, d’être privés de leur liberté, de leur indépendance et de tout ce qui fait la vie d’un chien ou d’un autre animal. Laissons une fois pour toute les animaux en paix et cessons de les « utiliser comme du matériel ou des objets » alors qu’ils sont comme nous et aspirent aux mêmes choses que nous. (une grande amie, une grande militante de toujours pour la défense et la protection des animaux dans tous domaines et à tous niveaux)