Vagues de chaleur, température moyenne, gels printaniers, fonte des glaciers, inondations, émissions de CO2 et de méthane… : tous les indicateurs ont été au rouge pour notre planète en 2021.
Des températures extrêmes aux quatre coins du globe
Les experts ne cessent de le répéter : le climat est actuellement déréglé comme il ne l’a jamais été depuis les débuts de la civilisation. Les sept dernières années ont été les plus chaudes de l’histoire (même si 2021 a été la moins chaude d’entre elles), révèle aujourd’hui le Service européen Copernicus sur le changement climatique (C3S), qui dépend du Centre européen de prévision météorologique à moyen terme. Dans le nord-est du Canada et au Groenland, les températures ont même été supérieures de 2°C à la moyenne. Quant aux moyennes sur l’année 2021, les températures les plus élevées ont été enregistrées sur le pourtour de la mer Noire, au sud-est de l’Europe et dans l’ouest de la Russie.
L’été 2021 a été le plus chaud de l’histoire, avec des températures supérieures de 1°C à la moyenne. Ces températures extrêmes ont occasionné des incendies de forêt. Au total, 800.000 hectares de forêts ont brûlé, ce qui fait de l’été 2021 l’une des saisons d’incendies de forêt les plus intenses depuis 1991. En revanche, les printemps ont été plus frais que d’habitude, avec des températures moyennes inférieures de 0,5°C par rapport aux moyennes longues.
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Les glaciers ont continué à fondre, les inondations se sont multipliées
En mer aussi, ça chauffe. En 2021, la température moyenne des mers a été la 6e ou 7e plus élevée depuis 1850. Pire, des températures record ont été enregistrées en mers Baltique et Méditerranée : +5°C par rapport à la moyenne. Il n’est alors pas étonnant si les glaciers ont fondu à la vitesse Grand V : au cours de la seule année 2021, le niveau des mers s’est élevé d’un millimètre.
L’important volume d’eau dans les fleuves et rivières a d’ailleurs occasionné d’importantes inondations en Belgique, Allemagne et France en juillet 2021. Cela, alors même que, le reste de l’année (hormis février 2021), ce volume avait été moins important par rapport à la moyenne des décennies précédentes.
Illustration bannière : Shutterstock.
A lire absolument
totalement d’accord pour dire que ce n’est que des mensonges, pour nous préparer à d’énormes restrictions et encore plus avec l’énorme flambée des énergies à cause de la guerre en Ukraine. Mais on va en lire encore des tonnes d’informations catastrophiques sur le climat pour nous préparer mentalement à aux pénuries PREPAREES qui viennent !!
Ridicule, moissons en SEPTEMBRE en Normandie tant le printemps et l’été ont été froids et humides!
Assez de mensonges