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La consommation collaborative s’est bien développée ces dernières années : dons, échanges, et bien sûr la vente d’objets d’occasion. L’un des problèmes majeurs rencontré est le colis mais des solutions apparaissent : il est maintenant possible de comparer les prix des entreprises de transport et même de bénéficier de réductions sur Internet.
Occasion et partage passent aussi par le colis
Le coli : une étape souvent nécessaire, mais toujours contraignante
La consommation collaborative s’est développée à grande vitesse sur Internet. La consommation collaborative fait partie des moyens de restaurer le lien social, par les rencontres ou la convivialité. Néanmoins, quand la distance est plus importante, pour échanger des objets ou vendre des objets d’occasion, cela passe par l’envoi, ce qui peut constituer un frein si les frais grimpent.
Sur digitroc on constate parfois que la limite des échanges est celle du coût du transport postal. Les échanges entre particuliers sont gênés par cette contrainte de poids et de coût d’envoi des colis avec la conséquence de limiter les transactions à des zones de chalandises restreintes.
Autre domaine qui souffre des prix trop élevés des envois postaux, le e-commerce et notamment les tous petits sites marchands qui ne peuvent, comme les grands, bénéficier de tarifs avantageux.
Packlink, comparer et expédier
Consommation collaborative rime aussi avec économies : il faut donc chercher à envoyer mieux et moins cher. Pour cela, il est possible de comparer les tarifs pour envoyer un colis. On a ainsi testé le service en ligne Packlink.fr. Le site est un comparateur en ligne totalement gratuit et vous propose aussi de bénéficier de tarifs préférentiels, que vous soyez un simple particulier ou une petite entreprise.
Et le service est malin puisqu’il fonctionne aussi bien pour la France métropolitaine que la Corse, les DOM-TOM et l’étranger. Beaucoup plus rapide que de comparer à la main chaque service, sans compter qu’on ne les connaît pas forcément tous.
J’ai ainsi essayé d’envoyer un colis de 3kg à Londres : je rentre juste la ville d’origine, le code postal d’arrivée, le poids du colis et ses dimensions.
J’obtiens alors une liste de résultats facile à lire, m’indiquant très clairement le temps de transit, le prix, le mode de dépôt de colis. Selon mes contraintes, il est possible de se décider rapidement. L’offre évolue en fonction du nombre de colis et l’enlèvement peut se faire dès le jour-même.
Côté tarifs, on bénéficie d’offres d’ordinaire réservées aux professionnels, en économisant jusqu’à 70 % sur les tarifs publics.
Un service complet avec les avantages d’un grand groupe
L’utilisation du service permet également :
- De bénéficier de l’assurance gratuite incluse voire d’en ajouter une si besoin particulier
- De suivre la commande directement en ligne gratuitement
- De payer en ligne de manière sécurisée par carte bancaire ou Paypal
Packlink.fr, un projet franco-espagnol
L’entreprise est née de l’imagination d’un Français et d’un Espagnol, afin de permettre aux particuliers et aux petites entreprises d’expédier des colis moins cher et d’avoir une vue claire rapidement sur les offres. PackLink présente à présent un réseau multi-transporteurs important tout en garantissant un service client très impliqué.
Lisez aussi sur la consommation collaborative :
Laposte a bien changé est est devenue une rente à fric pour cadres supdecom déphasés et en sureffectif, mettant sous pression de résultat commercial son petit personnel et sous traitant dorénavant avec des free lance peu fiables et exploités.
L’ouverture à la concurrence devrait lui faire payer très cher ses errements de gestion et sa cupidité à la tgv.
D’autres comparateurs de tarifs en ligne existent et proposent le meilleur prix en fonction de vos critères.
Article sponsorisé ??? Oui…pub, quoi ! Je suis déçue…je ne m’attendais pas à ça chez vous ! D’autant que pour la consommation collaborative, l’intérêt c’est aussi le lien social…il faut changer d’échelle, relocaliser les échanges entre voisins ou personnes habitant sur la même zone, sinon ça n’a pas d’intérêt…! Bref, je suis surprise de trouver ce genre d’article dans vos colonnes…surprise et déçue, je le répète…!
Juste pour information:
des collègues et moi commandons parfois des produits divers venant d’un peu partout dans le monde… Oui je sais, ce n’est pas très écologique vu tous les transports effectués.
L’information est = il semble qu’un groupe ou réseau de détourneurs voleurs de lettres non plates, paquets, colis, etc. sévit dans la région parisienne.
En effet, le numéro de suivi d’un colis ne sert qu’à suivre sa position pendant son trajet. Mais ce numéro n’enregistre pas le destinataire original!
De ce que j’ai pu lire sur quelques sites, les malfaiteurs utilisent une technique très simple = coller leurs adresses ou celles de leurs complices par dessus l’adresse du destinataire! Les salopards! Probablement que certains travaillent dans les centres de tris et plateformes des courriers.
Quand moi et mes collègues –aucun de nous n’habite en région parisienne– nous vérifions sur .csuivi.courrier.laposte.fr/suivi , et que nous avions vu colis réceptionné dans le 91 ou le 93 ou 94, erreurs, horreurs, voleurs!
Prudence!
Pour ma part, je privilégie la Poste, qui est Le prestataire du « service universel postal », celui qui nous garantit le respect des obligations de service public, c’est-à-dire : égalité de traitement et d’accès pour tous les usagers, aménagement du territoire, services de levée et distribution assurés chaque jour ouvrable, avec des normes de qualité pré-déterminées. Attention, ce service pourrait disparaitre au profit d’entreprises privées qui, elles, ne connaissent pas ce mot « Service » (avec sa finalité sociale, égalitaire, bref humaine) mais seulement celui de « Profit ».
Il me semble que dans l’esprit de la consommation collaborative, il y a une notion écologique dans le sens de recycler ses objets ou mutualiser les objets… Quand est-il de l’impact carbone lie aux transports, relocaliser les échanges n’est-il un mieux. Rencontrer les gens avec qui l’on échange les objets ne permet-il pas de remettre un peu d’humanité dans nos échanges ?
oui, nos « entrepreneurs » et nos » dirigeants « , se soumettent volontairement à cette débile mode de tout renommer ou baptiser pompeusement en rosbif, en langue » du commerce ».
sans doute ici le français et l’espagnol n’ont pas pu trouver un terme franco espagnol…
et ils veulent conquérir le monde, devenir très riches.
lamentable……
Un site Français que j’utiles avec satisfaction depuis plus d’un an :
envoimoinscher.com/ propose les mêmes services.
pourquoi un service avec un nom amerloque ? pourquoi pas en français ??
ça veut dire quoi cette colonisation ?
par ailleurs vous parlez d' »entreprises de transport » mais la la Poste ? les PTT ?
« article sponsorisé »
C’est le nouveau terme pour Publi-Information ?
Si c’est le cas, il serait mieux de le mettre en haut de la page et non pas à la fin quand on a fini de lire.