Pallier la décomposition naturelle plus lente
Quelles que soient les causes freinant la décomposition, il faut en tout cas trouver des solutions pratiques.
Faire circuler l’air
Dans le sol, par exemple avec de nouveaux caveaux : des cercueils entreposés dans un sarcophage de béton pour faire diminuer le temps de décomposition à douze ans avant que le caveau ne soit réutilisé.
Cette idée ne plaît forcément pas à tous, impliquant le partage d’un caveau par plusieurs générations.
Employer des cercueils en pin
…qui se décomposent plus rapidement que les bières en chêne. Certains cimetières allemands envisagent même d’inhumer des corps dans des sacs de toile. Certains cimetières « bio », en pleine nature, voient le jour dans certains Länder allemands.
Creuser des tombes plus profondes
Une solution adoptée dans plusieurs cimetières allemands et autrichiens.
Accélérer le processus chimique
Une solution proposée par une entreprise norvégienne qui propose d’injecter des produits chimiques pour accélérer la décomposition. Et rendre les sols encore plus pollués ?…
Augmenter les incinérations
Cette solution ne plaît pas non plus à tous.
Technique encore interdite en France, l’humusation fait son chemin dans certains pays du monde : aussi appelée recomposition, elle vise à transformer le corps mort en compost humain, en utilisant des micro-organismes… comme au jardin !
Revoir la thanatopraxie
Des études, notamment en Amérique du Nord, ont montré qu’elle serait en effet en partie responsable du problème de décomposition. Les produits utilisés pour embaumer les corps comportent des composants toxiques (formaldéhyde, paraformaldéhyde, fongicides, bactéricides, virucides, biocides, …) dont certains pourraient directement ralentir la décomposition du corps.
Qu’est ce que la thanatopraxie ?
Il s’agit, selon le Larousse, de la « méthode permettant de retarder le plus longtemps possible la décomposition des cadavres par des techniques d’embaumement ».
Les produits utilisés pour l’embaumement ou la thanatopraxie, visant à rendre présentables les corps avant la mise en bière (donc à le conserver, même si cette conservation est supposée être limitée dans le temps), posent un problème environnemental, y compris en cas d’incinération puisque les installations pouvant filtrer les toxiques – comme le plomb ou le mercure – sont rares.
Funérailles écologiques – pour des obsèques respectueuses de l’homme et de la planète – guide de survie en milieu funéraire, de Laetitia Royant et Brigitte Lapouge
Lorsque nous sommes confrontés à la mort d’un proche, mille questions se posent aussi bien pour l’organisation des obsèques que pour les choix à faire, en particulier si l’on est dans une approche respectueuse de l’environnement.
Article republié
Aujourd’hui, la plupart des corps patientent au funerarium. « On ne veut plus etre confronte a la degradation d’un cadavre. Soit on l’incinere vite, pour garder l’image de la personne vivante, soit on cree cette illusion d’un vivant qui dormirait. Cela illustre peut-etre les difficultes de la societe a accepter la mort. » Hormis les rares demandes de la justice dans le cadre d’une enquete, les exhumations sont effectuees soit au terme de la duree des concessions non-renouvelees par la famille, soit a la demande de cette derniere. On recupere alors les restes (ossements) pour les rassembler dans un caveau familial ou dans une fosse commune, afin de liberer des emplacements dans les cimetieres. Si le corps est encore « en bon etat », la loi impose de refermer le cercueil pour cinq ans .
Et personne ne peut mourir qu’avec la permission de Dieu, au moment et à l’endroit, fixés préalablement. v. 145 s 3 : “ Il n’appartient à aucun être vivant de mourir qu’avec la permission de Dieu, selon un délai écrit fixé à l’avance ” v. 34 s 31 : “ Et personne ne sait ce qu’elle acquerra demain, et personne ne sait dans quelle terre elle moura ”. Dalida a échoué à ses trois tentatives de suicide ; ce n’est qu’à la quatrième fois qu’elle est morte. Lors de l’accident de Lady Diana, seul son garde corps a échappé à la mort, car, pour lui, le temps du mourir n’était pas encore sonné.
4Si nous sommes en vie, aujourd’hui, c’est que Dieu a voulu nous laisser vivre, dans le temps qui nous est imparti, pour que nous puissions réaliser ce que nous devons faire. Ainsi, nous devons donner du sens et du bon sens, à notre vie actuelle.
c’est quoi le rapport
Et des cercueils en carton pour les cremations
Un corps ne pollue pas ,regardé les arabes ,ils enterrent leurs mort dans un linge à meme a terre ,et le corps se décompose extrêmement vite , stop au cercueil qui sont des Tupperware,voilà pourquoi les corps ne se décompose plus
Oui à la crémation comme mesure d’hygiène et de salubrité.Maladies et souillures auxquelles l’humanité est sujette se trouvent dans le sol.Lorsque la crémation deviendra universelle,on constatera une nette amélioration des maladies.Nous sommes faits de plusieurs corps:physique,éthérique,astral et mental.A la mort on se retire des 2 premiers corps.Après enterrement le corps éthérique peut errer sur le « champ d’émanation »et persister jusqu’à désintégration du corps dense.Je plains tous les momifiés.Quitter au plus vite, tel est le but, le plan de la matière-physique et éthérique-pour accéder au plan astral ou mental, selon votre degré d’évolution spirituelle.
Spirituel ne veut pas dire religieux!Si nous pouvions voir le monde éthérique, nous serions témoins d’une grande activité s’y poursuivant sans cesse!La crémation nous permet d’atteindre rapidement la vie qui se perpétue dans la jeunesse retrouvée, toutes maladies inexistantes…!
La mort est une grande illusion;essayons de quitter ce plan de la matière le plus proprement possible, sans polluer !
PFFF! Si, en plus, vous croyez à ces conneries…
Didier, PFFF! Si, en plus, vous n’y croyez pas…