Les couloirs du métro parisien ne sont pas des endroits où il fait bon vivre. La pollution de l’air y est considérable et une solution végétale s’impose.
Des espaces verts pour les couloirs du métro parisien
« Il paraît que la qualité de l’air qui circule dans le métro parisien est plus qu’irrespirable : pourquoi ne pas investir dans les plantes dépolluantes ? En plus d’être utiles, elles mettront un peu de couleurs dans les stations ». L’idée, lancée par Suzanna F. lors de la consultation citoyenne de la RATP an novembre 2016 a été retenue.
Améliorer la qualité de l’air ne ferait pas de mal lorsque l’on sait que le taux de pollution des couloirs souterrains est deux fois supérieur à celui de l’air extérieur. De plus, lors du freinage, les rames produisent des particules métalliques extrêmement nocives. Les plantes vertes ne feront pas de miracle, mais pourraient absorber une partie de cette pollution. Cependant les problèmes de lumière, d’eau, d’air, de logistique et d’entretien sont considérables.
Une expérience a déjà été menée dans le métro New-york
La RATP commencera sans doute la végétalisation de ses installations par les stations aériennes en lien étroits avec des associations et des écoles d’horticultures. La station Gare de Lyon possède déjà un espace végétal logé derrière un mur de verre mais son entretien est difficile. La poussière accumulée sur les plantes est très importante et celles-ci souffrent.
À New-York, un expérience est en cours depuis 2015 dans une station abandonnée du quartier de Lower East Side dans l’arrondissement de Manhattan. La lumière du jour est emmagasinée grâce à des capteurs et redistribuée aux plantes grâce à des tubes et une voûte permettant de diriger la luminosité vers les plantes. Un projet qui pourrait inspirer la RATP pour transformer nos tristes stations grises en jardins luxuriants !
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Effectivement, après avoir revérifier, l’intenssité lumineuse est bien infèrieur a l’éclairage des tunnels ou même des supermarchers. La première chose que l’on peut demandé à une plante c’est de produire de l’oxygène. Les molécules de types dioxyne ce dépose simplement sur la limbe de la feuille, à savoir que c’est la composition de l’agent orange défoliant, balancer au viet-nam et produit par monsanto. La solution est le filtre à charbon.
Tout les murs et les plafons de métros son végétalisable. Le meilleur milieu pour filtré l’air c’est encore le milieu tropicale.
A la gare de lyon on peut dire que leur instalation a été faite n’importe comment. Les murs son noir, hors dans un phytotron on a tout intérèt a avoir un mur blanc ou a forte révèrbération. Pour les lampes, on utilise JAMAIS d’halogène. Elle consomme trop d’élèctricité pour leur rendemment en photon (lumen) très faible, le tout part en énèrgie calorifique. Les HPS avec ballast élèctronique on à puissance égale 20 à 30 fois plus de photons. De plus alors qu’il n’y a pas assez de lumière, on tourne entre 200 et 430 nm totalement mal fait. Pour la poussière, un brumisateur pour crée un brouillar, il faut faire monté le degré d’humidité à 90 pour 100. Il me semble aussi que les plantes son alligné comme au supermarché. C’est une idée géniale, mais pour l’énergie ce n’ait absolument pas un problème
A la gare de lyon ils on fait n’importe quoi. Les murs son noir alors qu’il faut soit des miroirs, soit des murs blanc (l’albédo est important). Les lampes son des halogènes, en indoor on utilise jamais ces lampes, elles consomme trop et non pas un rendement en photon intéréssant elle chauffe trop les électrons se perde en chaleur. En plus la puissance est beaucoup trop faible et, alors que les plantes son dans l’ombre le spèctre lumineux est de 200 430 nm. Dans l’ombre on ne reçois jamais les UV. Les plantes son instalé comme au supermarché et non comme dans une jungle. Pour la poussière, il faut un brumisateur. Quand à la quantité d’électricité, je suis sur qu’on peut faire plus avec beaucoup moin. L’idée rèste exèlente.