notre liberté éditoriale et y avons écrit ce que nous pensons.
Installé dans le sud de la France, le laboratoire propose plus de 80 compléments alimentaires naturels, réputés les plus purs du marché, sans excipient ni additif chimique. De l’approvisionnement des matières premières à l’expédition, en passant par la formulation et la fabrication des produits, Dynveo applique de hauts critères d’exigence sur toute sa chaine de valeur. Et va bien au-delà encore… Maëlys Garnier, responsable marketing et communication, répond à nos questions.
consoGlobe – Maëlys, présentez-nous Dynveo en quelques mots
Maëlys Garnier : 3 mots qui sont qualité, pureté, innovation…
Pour vous en dire un peu plus, l’aventure a commencé en 2010 avec Thomas André, passionné des processus biochimiques et du vieillissement cellulaire, dans l’optique de développer des formules naturelles favorisant la santé et le bien-être : en résumé, des nutraceutiques pour soutenir et préserver le capital santé de chacun durablement.
L’idée est de mettre à profit notre culture scientifique pour créer des compléments alimentaires qui protègent contre les agressions de l’environnement et n’ont que des effets bénéfiques sur la santé.
Pour concevoir ce genre de produits, impossible de recourir à des procédés polluants, voire toxiques : pourquoi avaler une gélule qui risque de produire d’autres effets que ceux escomptés, et qui pourraient même s’avérer nocifs ?
C’est là qu’il a fallu innover pour concilier pureté, exigence technique et naturalité sur l’ensemble du processus. Plus de 10 ans plus tard, de nombreux défis ont été relevés et d’autres nous attendent encore. Car chez Dynveo, nous sommes convaincus que santé et environnement sont intimement liés et que nous avons notre part à faire.
consoGlobe – Pouvez-vous nous expliquer la démarche Dynveo pas à pas ?
Maëlys Garnier : Tout part toujours de données scientifiques ou d’études cliniques afin de déterminer les principes actifs et leurs effets dans le but de développer des produits qui répondent de manière optimale à ce qu’on leur demande de faire. Cela requiert évidemment une grande compréhension des mécanismes de l’organisme.
Une fois l’ingrédient principal identifié, l’étape suivante est de le sourcer : nous nous attachons chez Dynveo à ne nous fournir qu’avec des produits actifs qui ont pu croitre dans des conditions favorables à l’humain et à l’environnement. La matière première est ensuite récoltée au moment optimal de maturité de la plante, permettant de garantir une richesse en actifs. Les cultures sont responsables, certifiées bio quand c’est possible, le cycle de prélèvements des ressources est respecté et les méthodes d’extraction sont respectueuses de l’environnement et des molécules actives, c’est essentiel.
Extraire le meilleur pour des produits purs autant au niveau de la production que du produit fini – © Rhodiola rosea
consoGlobe – Avez-vous des exemples précis à nous dévoiler ?
Maëlys Garnier : Bien-sûr, je peux vous parler de notre Rhodiola rosea, cette plante adaptogène connue pour ses propriétés stimulantes sur les performances physiques et mentales, qui est cultivée dans les montagnes de l’Altaï en Russie de manière éthique et durable.
Pour préserver les écosystèmes fragiles de cette région de Sibérie, les récoltes se font sur des cycles de 3 à 5 ans, en ne prélevant jamais plus de la moitié des racines des plantes disponibles en une fois. Une façon d’assurer le renouvellement naturel et de partager avec la faune locale !
Sur place, les producteurs locaux sont également formés aux techniques de cueillette de rhodiole sauvage, ce qui assure un produit de haute qualité, sans détérioration, ou pire, pillage de la ressource.
Tous nos fournisseurs à travers la France, l’Europe et le monde font l’objet d’une sélection rigoureuse concernant aussi bien la qualité de l’ingrédient fourni, que les pratiques de culture et de récolte.
consoGlobe – Une fois les ingrédients actifs sourcés, comment obtient-on des nutraceutiques Dynveo ?
Maëlys Garnier : Après la récolte, les ingrédients doivent être séchés avant d’en extraire les principes actifs : cela se fait avec des méthodes les plus douces et sobres possibles.
Concernant la phase d’extraction, nous excluons tous solvants organiques controversés, dont l’ajout permet habituellement de faciliter l’opération. Nous utilisons soit de l’eau soit de l’alcool : c’est ce qu’on appelle la « green extraction ». Ces méthodes nous permettent de garantir des produits naturels et responsables qui ne nuisent ni à l’environnement ni à la santé.
Chaque molécule active est ensuite proposée dans une forme galénique qui a été conçue pour offrir un maximum de biodisponibilité, sans ajout d’excipient. Et le dosage est étudié pour un bénéfice optimal pour la santé.
Prenons l’exemple de notre mélatonine végétale et 100 % naturelle, extraite du millepertuis (sans ajout de synthèse) : elle est disponible en 2 dosages. En 0,3 mg qui est le dosage idéal pour une utilisation quotidienne pour favoriser l’endormissement. En 1,9 mg qui est la dose optimale pour synchroniser rapidement son horloge biologique après un fort décalage horaire par exemple. Des quantités optimales ajustées en fonction des besoins et de l’effet recherché, sans sous-dosage ni sur-dosage !
consoGlobe – Dynveo est connu comme le premier laboratoire en France à garantir des produits purs, sans additifs et sans excipients – créant même une nouvelle norme. Comment avez-vous relevé ce challenge ?
Maëlys Garnier : Notre philosophie est d’offrir à nos clients les produits les plus purs possible : l’idée est de trouver les formules les plus justes, pour ne proposer que ce qui est bénéfique pour la santé : le ‘juste nécessaire’, ni plus ni moins…
Ainsi, notre charbon végétal est issu de châtaigniers bio cultivés en Dordogne (PEFC) et valorise les chutes de scieries et les rebuts de bois, dans une politique zéro déchet. Il est activé de façon physique – plus fastidieuse et coûteuse que l’activation chimique – afin de n’entrainer que la fabrication de micropores qui retiennent mieux les gaz – et ont donc un réel intérêt en termes de bienfaits – et d’éviter l’utilisation de produits chimiques.
La plupart des compléments alimentaires Dynveo sont encapsulés dans gélules végétales – © JPC-PROD
Découvrez notre avis sur Dynveo et les compléments alimentaires de la marque entièrement fabriqués en France, selon les normes en vigueur et certifiés Bio par le Bureau Veritas (Qualité France).
Cela se retrouve aussi dans nos galéniques, autrement dit la façon dont on va conditionner un principe actif pour le rendre administrable (comprimés, capsules, gélules…).
Dans cette nouvelle étape de préparation encore, Dynveo a fait le pari de pousser plus loin que les autres, sans avoir recours à des additifs ou à des excipients. Les formes galéniques sont ainsi développées afin d’optimiser la proportion du principe actif qui atteint la circulation sanguine. Formes liposomales ou encore gélules gastrorésistantes, elles doivent pouvoir protéger le principe actif pour l’apporter là où il sera le plus efficace et dans la concentration optimale.
Hormis les formules marines, qui sont encapsulées dans de la gélatine de poissons, toutes les gélules Dynveo sont végétales (à base de tapioca ou d’hypromellose de pin) et garanties sans traces de solvants, de métaux lourds et d’OGM.
Dans la plus grande transparence, tous les ingrédients sont listés sur les étiquettes et les fiches des produits, au-delà même de ce que la réglementation européenne demande !
consoGlobe – Vous avez abordé plus tôt une démarche zéro déchet… Quels autres leviers écoresponsables le laboratoire Dynveo a-t-il réussi à activer ?
Maëlys Garnier : Une avancée dont nous sommes particulièrement fiers concerne les emballages dans lesquels nous conditionnons les compléments alimentaires naturels Dynveo : ils sont à présent recyclables à l’infini ! Fabriqués à partir de matières biosourcées d’origine végétale (canne à sucre) et garantis sans perturbateur endocrinien, nos emballages Dynveo sont compostables, répondant à la norme NF EN 13432.
Et pour toujours plus de cohérence, les flacons ne sont pas sur-emballés dans une boite en carton : c’est une fois de plus le juste nécessaire qui guide notre vision.
Par ailleurs, que ce soit chez nos producteurs ou dans notre laboratoire et usine de conditionnement dans l’Hérault – autonome énergétiquement grâce à des panneaux solaires -, nous cherchons à minimiser toujours plus notre impact environnemental et agissons pour la préservation de la biodiversité.
Pour cela, nous avons choisi d’unir nos forces avec plusieurs ONG qui luttent pour la préservation locale ou globale des écosystèmes : dans les Cévennes, un coup de pouce aux pollinisatrices – si nécessaires à l’oeuvre de Dynveo – avec Un Toit pour les Abeilles, avec deux objectifs : la sauvegarde de l’abeille noire et le soutien d’un apiculteur.
Beaucoup plus loin de nous, nous tenons à participer aux efforts de restauration de la mangrove sur l’île de Sumatra, en Indonésie, en finançant la plantation de 2.000 arbres avec l’aide de Reforest’action. Pourquoi la mangrove spécialement ? Car cet écosystème est précieux pour notre avenir : non seulement c’est un puits de carbone exceptionnel, retenant 3 à 5 fois plus de CO2 que la forêt tropicale, mais il abrite une grande variété de biodiversité et sert de rempart contre l’érosion des littoraux…
Animés par la conviction que l’humain et son environnement forment un tout indissociable, nous pensons vraiment chez Dynveo que c’est en adoptant une approche globale des écosystèmes que nous contribuerons à la santé des générations actuelles et futures.
