Eco-volontariat. Tour du monde pour défendre la cause animale

Rédigé par Aurore, le 15 Jun 2012, à 16 h 52 min
Eco-volontariat. Tour du monde pour défendre la cause animale
Précédent
Suivant
Cet article a été sponsorisé, mais nous gardons
notre liberté éditoriale et y avons écrit ce que nous pensons.

Savez-vous aujourd’hui quelles espèces animales vous allez rencontrer, aider ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Itinéraire prévu

 

 

 

 

 

 

 

 

Audrey : Les associations dans lesquelles je vais me rendre en tant qu’écovolontaire soignent et relâchent des grizzlis (Canada – Région Colombie Britannique) , pélicans (USA – Californie), tortues marines (Costa Rica), singes laineux (Pérou), koalas et kangourous (Australie), éléphants (Thaïlande) … et j’en passe !

Avez-vous réuni la somme nécessaire pour partir ? Comment imaginez-vous votre voyage ?

Audrey : J’ai réuni avec toutes mes économies de ces dernières années ainsi que la vente de ma voiture environ 75 % de la somme. J’ai mis en place sur mon site (sur la page « soutenir ») un système de collecte pour les personnes qui souhaitent me donner un coup de pouce.

Ce n’est pas évident de se faire sponsoriser, je me suis démenée mais je crois que la cause que je défends n’est pas prioritaire. Du coup, à l’heure actuelle, ce voyage est totalement autofinancé.

J’imagine mon voyage tout en sachant que la réalité sera sûrement tout à fait différente. Je redoute beaucoup les pépins (vol ou disparition du sac, perte des papiers, difficulté pour trouver une chambre pour la nuit, problèmes de santé…) mais ce sera difficile en un an de ne pas en vivre au moins un ! J’essaye de ne pas trop anticiper les situations positives ou négatives dans lesquelles je pourrais me retrouver, il faut seulement être bien informé pour sa propre sécurité … Le reste, je laisse la vie s’en occuper.

Qu’espérez-vous changer avec votre voyage ? Pensez-vous pouvoir convaincre quelques Français de tenter l’aventure de l’écovolontariat ?

Audrey : J’espère que je serais utile et que mon voyage permettra à d’autres personnes de s’engager comme éco-volontaire. Ce que je souhaite changer, c’est le manque d’information (d’où mon site internet) sur les associations qui ont vraiment besoin de volontaires et qui sont tout à fait sérieuses. Souvent petites et disposant de peu de moyens de communication, elles ne touchent pas le grand public.

Le problème vient du fait que des grosses structures proposent des séjours éco-touristiques déguisés en éco-volontariat pour des sommes anormalement élevées, qui ne correspondent pas au coût réel du séjour. De plus, les éco-volontaires sur place ne sont pas forcément utiles. Bref, il y a à l’heure actuelle une grosse confusion des genres entre toutes ces formes de tourisme, dans lesquelles se noie le futur éco-volontaire.

Celui qui souhaite vraiment aider sans passer par ces gros organismes doit faire un travail parfois fastidieux de débroussaillage sur Internet. Heureusement, il existe des associations exceptionnelles qui sont aujourd’hui connues pour leur accueil tout comme leurs actions de terrain réellement efficaces.

Personnellement, je souhaitais réaliser un projet alliant voyage utile et faune sauvage, en cohérence avec mes valeurs et ce que je suis, tout simplement.

Comment aider Audrey à réussir son pari ?

Aujourd’hui, pour pouvoir partir dans les meilleurs conditions, Audrey a fait tout ce qu’elle pouvait.

Elle a économisé, vendu sa voiture, monté des dossiers de sponsoring… Dans l’idéal, 3.000€ supplémentaires seraient nécessaires pour boucler un budget correct. Pour espérer réunir cette somme, Audrey démarche toujours des sponsors éventuels et s’est inscrite sur une plateforme de Crowdfunding appelant les particulier à donner pour soutenir son projet.

Le crowdfunding : quand des inconnus financent votre projet

*

Je réagis

Découvrir le dossier Ecotourisme en France :


Pour vous c'est un clic, pour nous c'est beaucoup !
consoGlobe vous recommande aussi...



Entre magazines, romans et presse générale, je suis une passionnée de l'information, qu'elle soit sérieuse ou décalée ! Consommer durable n'est pas qu'un...

Aucun commentaire, soyez le premier à réagir Donnez votre avis

Moi aussi je donne mon avis