Pour les enfants, la montagne est un lieu d’aventure aussi mystérieux que difficile à comprendre. Un milieu naturel est si vaste et si sauvage qu’il est difficile de croire qu’il peut être en danger. Mais comme tout les autres milieux naturels, il est cependant à respecter et à protéger.
Découvrez 5 écogestes à la montagne à partager avec vos enfants
Loin d’être exhaustive, cette liste vous donnera des pistes pour sensibiliser les enfants aux écogestes à la montagne dès le plus jeune âge !
#1 – Je reste sur les sentiers
La montagne est un milieu en constante évolution dont la caractéristique première est qu’elle n’est pas plate. Et puisqu’elle n’est pas plate, les choses ont tendance à en descendre, à en rouler, à en tomber ce qui contribue en réalité à son vieillissement.
Sortir des sentiers balisés, c’est accentuer ce phénomène de vieillissement en « cassant » un équilibre fragile entre fine couche de terre et pente soumise à la pluie.
Des milliers voir des centaines de milliers de pas de côté peuvent accélérer le phénomène d’érosion et détruire des écosystèmes montagnards entiers !
#2 – Je respecte les zones de quiétude
Réserves naturelles, zones protégées ou encore programmes de conservation d’espèces peuvent amener les autorités à créer des zones de quiétude qui peuvent être accessibles (ou non) mais dans lesquelles il est interdit de déranger la faune sauvage ou faire du bruit sous peine d’amende.
La montagne est suffisamment vaste pour ne pas les respecter !
#3 – J’évite tous les déchets
À la montagne, on peut être tenté de laisser des déchets organiques derrière soit en se disant que la Nature y trouvera bien son intérêt. En réalité c’est une mauvaise idée aussi, mettez TOUS vos déchets dans une petite boîte et emmenez-les avec vous. Il en va de même pour tous les déchets, y compris les mouchoirs en papier ou le papier toilettes.
De manière générale il ne faut pas nourrir la faune sauvage (même d’un trognon de pomme) pour ne pas la rendre dépendante ou favoriser une espèce plutôt qu’une autre au risque de briser un équilibre.
Au-delà de cela, de tels déchets peuvent paraître anodins mais amener à des quantités telles que nous sommes des centaines de milliers de touristes de la montagne, nous ne savons absolument pas ce que des résidus de pesticides par exemple, pourraient avoir comme impact sur la montagne.
#4 – Je tiens mon chien en laisse
Car un chien qui n’est pas tenu en laisse va vouloir « jouer », mais ce qui est un jeu pour lui ne le sera en aucun cas pour la faune sauvage alentour. Un chien cherche, fouille, dérange et ne va pas se gêner de déranger une couvée, de faire peur à une portée, de surcreuser un terrier ou de détruire une fourmilière.
À ceci se rajoutent ses aboiements et ses marquages d’odeurs qui peuvent avoir le même résultat désastreux sur les animaux sauvages.
Alors en montagne, on se balade toujours avec son fidèle compagnon bien tenu en laisse !
5# – Je ne crie pas
En règle générale, crier en montagne est une mauvaise idée pour la faune sauvage qui est déjà soumise au bruit des avions, des autoroutes même lointaines, des trains, etc.
La Nature n’a pas besoin de pollution sonore et certains oiseaux comme le Tétra lyre peuvent même tellement dérangé qu’il ne pourra pas se reproduire si vous en faites trop.
Quand on sait que le Mont Blanc et l’Everest sont devenus des VRAIES POUBELLES ces articles ne servent absolument à rien, IL FAUT SANCTIONNER les pollueurs, et les obliger à aller nettoyer, c’est tout !!!!!
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