Utiliser un moteur de recherche, cela a un coût pour l’environnement : chaque requête génère une consommation d’énergie, certes infime. Mais pourtant, dans notre quotidien, poser une question à Google, Qwant ou Bing est un acte banal, aussi bien à la maison qu’au travail. Et si on vous disait qu’on pouvait aussi bien en profiter pour faire d’une pierre deux coups : faire une recherche internet et compenser par une bonne action au passage en surfant sur Ecosia !
Ecosia, le moteur de recherche qui plante !
Ecosia est un outil qui plante … véritablement : c’est à dire qui plante des arbres pour compenser l’impact écologique des requêtes des internautes.
Moteurs de recherche – Le saviez-vous ?
Selon l’Ademe en 2011, la recherche d’information via un moteur de recherche représente au final 9,9 kg équivalent CO2 par an et par internaute.
Selon Google, effectuer une recherche sur son moteur de recherche émet 0,2 grammes de C02 tandis qu’il faut consommer 0.0003 kWh d’énergie pour faire une requête soit 1 kilojoule.
Découvrez les émissions de CO2 de Google en temps réel
La résolution
Plutôt que de toujours utiliser le même moteur de recherche (bien établi et très puissant), je change mes habitudes.
J’utilise un moteur de recherche alternatif
Je teste par exemple, le moteurs de recherche français qwant.com pour le respect de mes données privées, ecosia.org qui plante des arbres pour préserver l’environnement ou encore lilo.org pour financer des projets sociaux et environnementaux.
Ecosia mène une politique 0 taux de carbone. « Nous cherchons à neutraliser les émissions de CO2 de toute l’entreprise. Cela inclus les émissions causé par les recherches de nos utilisateurs », explique Christian Kroll son dirigeant.
Chaque requête fait fonctionner tout un tas de serveurs nécessitant de l’électricité : Une recherche Google, c’est combien de CO2 ?)
Pour compenser tout cela, Ecosia fait appel à Myclimate possédant un programme de compensation de carbone.