Huit Français sur dix mangent régulièrement des pâtes. Mais pourquoi rencontrent-elles un tel succès ?
Encore plus de pâtes pendant la pandémie
Selon une étude récemment publiée par YouGov, sept Français sur dix mangent des pâtes au moins une fois par semaine (70 %). 36 % disent même en consommer plus d’une fois par semaine. Et cette passion n’est pas prête de s’éroder : près de la moitié des Millenials (49 %) en mange même plusieurs fois par semaine.
Certes, le confinement est aussi passé par là, pour le plus grand bonheur des fabricants de pâtes : 28 % des Français déclarent avoir consommé plus de pâtes que d’habitude pendant cette période. Une solution simple et pratique, qui permet de ne pas revenir trop souvent au supermarché le plus proche durant la pandémie.
Spaghetti : la forme de pâtes préférée des Français © YouGov
Les spaghettis, stars des assiettes
Selon les statistiques publiées l’an passé par Statista, 80 % des Français consomment régulièrement des pâtes. Un chiffre à rapprocher du pays qui est le premier consommateur au monde, l’Italie (83 %). Si l’on en croit l’étude réalisée par YouGov, 41 % des Français ont davantage opté pour les pâtes afin de limiter leurs dépenses.
Il faut dire que leur prix relativement sage en fait un repas de choix pour dépenser moins chez les 18-34 ans, budget serré oblige. Mais quelles pâtes mange-t-on le plus ? À chacun sa forme préférée. La forme préféré dans l’Hexagone : les spaghettis, loin devant les penne, les fusilli, les tagliatelles et les farfalle. Il faut dire que les pâtes se marient avec (presque) toutes les recettes.
Le marché des pâtes « sans gluten »
La demande de produits sans gluten est de plus en plus forte, l’offre de pâtes sans gluten reste insuffisante selon 28 % de la population (35 % des Millennials). D’ailleurs, 75 % des Français déclarent n’avoir jamais mangé de pâtes sans gluten. Si 1 personne sur 2 n’en voit pas l’intérêt, 30 % des Français n’ont simplement jamais eu l’occasion d’en consommer et 12 % redoutent le goût des pâtes sans gluten, et 12 % considèrent que leur prix est trop élevé.
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