Parmi les animaux, 41 % des amphibiens, 13 % des oiseaux et 25 % des mammifères sont menacés d’extinction au niveau mondial. C’est également le cas pour 31 % des requins et raies, et 33 % des coraux constructeurs de récifs, qui risquent de venir grossir la liste des espèces disparues.
Au niveau européen, l’IUCN souligne que 7,5 % des espèces marines sont menacées et 40 % des requins, raies et chimères présentent un risque élevé d’extinction. La France figure parmi les 10 pays hébergeant le plus grand nombre d’espèces menacées. Au total, 1.118 espèces menacées au niveau mondial sont présentes sur le territoire français, en métropole et en outre-mer.
La liste rouge de l’IUCN inclut pour cette année 2016, 79.837 espèces, dont 23.250 présentent un risque d’extinction sévère. Dans cette liste rouge, consoGlobe.com a recensé celles nécessitant une action urgente pour éviter leur disparition définitive cette année.
Cette liste peut paraître très pessimiste et même décourageante, mais le but est de prendre conscience et de réfléchir aux actions que chacun de nous peut entreprendre pour aider à préserver la biodiversité de la planète. Pour cela, l’IUCN fait un appel aux dons et beaucoup d’autres structures telles que le Fonds Mondial pour la Nature (WWF) font des pétitions pour sauver ces animaux qui ne nécessitent que des « clics » pour avoir du succès.
La panthère de l’Amour (Pantheras pardus orientalis)
La panthère de l’Amour est classifiée comme espèce en danger critique d’extinction depuis 1996. Mais cette année le risque est vraiment grave, car seuls une quarantaine de spécimens sauvages ont été recensés dans le monde.
La panthère de l’Amour est également appelée panthère de Chine, car elle est originaire de la province de Jilin située au Nord-Est de la Chine, et de la région du Promorié située au Sud-Est de la Russie. La principale menace pour cette espèce est le braconnage pour le trafic de sa peau.
Pour soutenir la panthère de l’Amour, on peut joindre le défi félin de WWF.
Lire page suivante : L’éléphant de Sumatra
les pauvre
ce n,est vraiment pas drole
Mais ces titres sont pénibles : si je n’ai pas le temps de tout lire je veux aller à l’essentiel et savoir quelles sont LES 10 ESPECES MENACEES DE DISPARAÎTRE. lE cONSOgLOBE nécessite de passer ses journées devant l’écran et là par contre il n’édite pas d’article sur le lien entre Internet et écologie
lol
j’adore vos informations elle donne beaucoup de précision sur chaque animaux instruits par vos numéro dans l’ordre (1’2’3’4’5’6 etx )
j’aPPELERAI LES REGIONS SI J4ETAIT AVEC VOUS
merci beaucoup pour toute vos informations je suis un peu sensible a se que vous avez mit je suis contente de l’affection que vous avez pour protéger les animaux j’adore votre site je suis tout les jour sur l’ordinateur en trin de chercher des tas de chose impressionnantes et malheureuses sur les animaux comme pour le rhinocéros car on veut sa corne et impressionnantes car on dit que l’eléphant a de puissantes défences
Après quelques recherches sur le Saola, que j’ai découvert dans votre article et qui a immédiatement aiguisé ma curiosité, je me rend compte que votre reportage contient une énormité puisque le Saola ne possède pas une corne unique mais deux comme beaucoup d’espèce. Je ne peux dire si son surnom de licorne est réel ou pas mais s’il l’est ce n’est pas rapport à ses cornes.
J’apprécie beaucoup votre site et respecte le travail fournit par vos rédacteurs mais une telle erreur apporte le discrédit sur l’ensemble du site. D’autant que récemment j’ai déjà constaté que vous aviez mis en ligne le tract de Villejuif comme étant une étude sérieuse sur les additifs alimentaires.
Dommage…..
Merci beaucoup pour vos précisions. En effet, il s’agit d’un erreur de langue qui a déjà été corrigé. On appelait le saola « licorne » parce que, jusqu’à sa découverte par les scientifiques en 1992, certains croyaient qu’il avait qu’un long corne unique au milieu de la tête. Dans certaines photos ça peut bien s’apprécier; vu de loin, ses longs cornes très proches semblent être qu’un seul.
Je m’excuse personnellement de ne pas avoir accompli vos attentes, j’espère que vous comprendrez qu’il s’agissait plutôt d’une faute de langue.
Précisons que le WWF est contre l’interdiction de la chasse à l’ours polaire, il y a sans doute d’autres organisations qui mériteront d’avoir du soutien. ( Et pas chez Greenpeace non plus qui soutient la chasse aux phoques)