L’OR est-il éthique ?

Les grands de l’or passent à l’or responsable

En 2004 était née l’Alliance for Responsible mining. En 2006, l’ONG Oxfam avait mené une campagne « No dirty gold » pour pousser les bijoutiers à s’engager, même si il n’y a pas eu de vedette pour la soutenir comme L. Di Caprio a soutenue la promotion des diamants éthiques.

Parmi les bijoutiers qui se sont engagés, Boucheron, Cartier, Chopard ou Piaget s’efforcent de veiller à la provenance du métal d’or qu’ils emploient.  Ces joaillers, réunis dans l’association professionnelle Responsible Jewellery Council, ont signé une charte en 117 points qu’ils veulent imposer à leurs propres fournisseurs. A noter que Rolex ne fait pas encore partie de ce groupement.

Wall Mart considère que pour être sûr de la provenance de l’or, il faut s’approvisionner directement à la mine. Le géant américain a ainsi référencé 2 mines d’or et lancé une collection de bijoux éthiques, appelée « Love Earth ».

La marque Tiffanys achète son or à une mine « responsable » située en Utah.

Des petites marques de créateurs jouent sur le registre de l’or éthique, qui pourtant, laisse certains sceptiques : acheter des bijoux en or éthique serait « un luxe de riche bien-pensant. »

• La marque JEL, Jewellery ethical luxury, créée  par Erwan le Louer, propose des bijoux de luxe en s’assurant de la traçabilité de l’or utilisé (le projet Oro Verde en Colombie) ou de préférence de l’or recyclé.
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• La marque April a lancé une collection de bijoux éthiques pour enfants et mamans.

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