Temporaires, éphémères, ou semi-permanents , attention à ces décorations : les appellations utilisées pour les tatouages peuvent s’avérer rassurants car ils rappellent les décalcomanies de l’enfance innocente. Méthodes, encres utilisées, à quel professionnel s’adresser, de nombreux éléments sont à considérer avec attention.
Tatouages temporaires : savoir à quoi on s’engage
Il peut y avoir des risques purement sanitaires lors de la réalisation d’un tatouage, qui, s’ils sont la plupart du temps écartés par le savoir-faire d’un professionnel, peuvent être inhérents à une réaction de défense de l’épiderme, ou une mauvaise réaction face à ce qui reste tout de même une effraction de la barrière cutanée. Cette remarque ne vise pas a décourager ceux qui voudrait arborer un tatouage, mais plutôt à amener la suivante, à savoir :
> il en va de même pour les tatouages temporaires que pour les tatouages permanents.
Selon l’Ifop de 2010, un Français sur dix serait tatoué (10 %) avec une forte variation selon l’âge, certaines générations étant beaucoup plus concernées. Un jeune sur cinq âgé de 25 à 34 ans déclare ainsi posséder un tatouage, soit une proportion deux fois supérieure à la moyenne(1).
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