Le Football plus sensible au développement durable ?

Trier ses déchets : une nécessité

Deux tonnes, c’est le poids des déchets collectés après chaque match au stade de Valenciennes. C’est dire que les soirs de matchs sont générateurs d’ordures !

Bouteilles d’eau, gobelets, fanions, emballages alimentaires… Certains stades font peur lorsque le coup de sifflet final retenti et que la foule quitte une enceinte sportive.

Heureusement, le tri sélectif s’impose petit à petit dans les structures sportives et 40 % des acteurs du football expliquent réduire et valoriser leurs déchets.

De plus en plus de clubs amateurs s’équipent également de systèmes de tri sélectif par le biais des collectivités locales.

Quand les clubs gèrent les emballages et les déchets

De plus, plus de 6 clubs amateurs sur 10 font désormais l’acquisition de produits locaux ou à emballage réduit pour limiter leur empreinte carbone et les déchets générés par leur structure sportive.

Une bonne nouvelle pour Bixente Lizarazu que l’on sait être une star écolo (voir son portrait dans le Baromètre écolo des stars) : « Préserver et protéger la nature est l’un des enjeux majeurs de notre époque. En s’appuyant sur la popularité absolue du football pour faire passer les bons messages, le potentiel de personnes sensibilisées à cette évolution de notre société est énorme. C’est pourquoi je suis heureux de voir le monde du football amateur et professionnel s’impliquer toujours davantage dans cette démarche« .

Bien sur, le parallèle entre football et développement durable est parfois difficile à comprendre lorsque l’on voit les grandes stars de ce sport se balader en gros 4×4 pollueur et autres voitures de sport gourmandes en énergie. Pourtant, face aux impératifs environnementaux de notre monde, le développement durable semble s’imposer de plus en plus dans ce sport : il ne reste plus qu’à agir plus concrètement !

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Sur le football et le sport 

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