Glencore, un système ultra rentable mais peu moral
Fraude fiscale massive, non respect des règles de l’ONU, pollutions répétées, exploitation salariale, trafic d’armes, … ça marche ; car Glencore pèse plus lourd que Nestlé (avec 145 milliards € de chiffre d’affaires).
Selon les accusation de 5 ONG (5), Glencore, via sa filiale Mopani est coupable d’avoir commis de nombreuses violations des principes directeurs de l’OCDE. Celles-ci soulignent les multinationales contribuent aux progrès économiques des pays dans lesquels ils opèrent, notamment « en acquittant ponctuellement les impôts dont elles sont redevables ».
En clair, il s’agit de la manipulation de ses balances comptables sur la productivité et les coûts de production. Des manoeuvres qui passent notamment par la falsification des cours de vente du cuivre, afin d’éviter d’avoir à s’acquitter des impôts sur les bénéfices réalisés en Zambie ( en vertu du principe connu de libre concurrence).
Tout est fait pour éviter de remplir ses obligations fiscales, légales, morales
Selon le site d’enquête OWNI (6), des auditeurs « ont acquis quelques certitudes ». C’est Mopani, filiale de Glencore, qui a été décortiquée par les experts qui écrivent
Mopani « est coupable d’avoir commis de nombreuses violations des principes directeurs de l’OCDE, en particulier par la manipulation de ses balances comptables sur la productivité et les coûts de production.
Des manoeuvres qui passent notamment par la falsification des cours de vente du cuivre, afin d’éviter d’avoir à s’acquitter des impôts sur les bénéfices réalisés en Zambie » ( en vertu du principe connu de libre concurrence).
La chaîne de l’évasion fiscale mondialisée
Une jungle capitaliste impénétrable
La société zambienne Mopani est un bel exemple des montages d’évasion fiscale. Elle appartient à Carlisa, sise aux Iles vierges, qui appartient à Glencore Finance, aux Bermudes, qui appartient à Glencore Suisse, dans le canton de Zoug qui est un paradis fiscal, quasiment sans impôt sur les sociétés.
La Zambie, victime préférée de Glencore
La Zambie, riche en cuivre, a été mise en coupe réglée par Glencore : la société, évidemment peu transparente, est accusée de nombreuses effractions au droit des personnes et de l’environnement.
La mine de cuivre de Mulfulira est réputé pour ses émissions de soufre (72 fois les limites légales) et de plomb (90 fois). Elle injecte de l’acide sulfurique dans les sols, polluant les nappes phréatiques, et ne protègent pas ses mineurs (tous des noirs).
Grâce à un système d’évasion fiscale élaborée, Glencore exploite à son profit quasi exclusif le cuivre des mines de Zambie. Le gouvernement zambien ne récupérant que les miettes des bénéfices ; les populations locales « bénéficiant » d’ une pollution massive de l’air et des sous-sols. (Voir : 2039, la fin du cuivre)
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La suite p.3 > La finance ferme les yeux
Que faire contre Glencore ?
Que sera le monde de demain,car un jour les richesses du sol prendront fin.
Que sont devenus les futures poursuites judiciaires à l’encontre de cette société pourrie ? Où en sont les autorités zambiennes ont-elles elles aussi reçu leur part du gâteau ? les locaux ont-ils été indemnisés ? nous sommes en 2013 – le fric, les placements , les banques, les intérêts, les prêts prévalent-ils toujours ? aider ces locaux dans la santé dans l’éducation dans l’environnement et surtout les dédommager – ils ont suffisamment donner vous ne pensez pas ???
mon pôvre MAX réveilles toi
tu vies encore au pays des bisounours
nous vivons dans une oligarcie
Les infos de cet article ne me paraissent pas sujettes à caution : après l’avoir lu, je les ai retrouvées dans d’autres sites sérieux (le Point, New York Times, Monde diplo, …) bref sans être parano, cet article nous fait découvrir une entreprise pas reluisante que le public connait peu. Moi j’ai aimé
Alors si on veut parler des méchants qui dirigent le monde, voici Le Groupe de Bilderberg, sans doute le plus puissant des réseaux d’influence. Il rassemble des personnalités de tous les pays, leaders de la politique, de l’économie, de la finance, des médias, des responsables de l’armée ou des services secrets, ainsi que quelques scientifiques et universitaires.
C’est un véritable gouvernement mondial occulte. Au cours de ses réunions, des décisions stratégiques essentielles y sont prises, hors des institutions démocratiques où ces débats devraient normalement avoir lieu. Les orientations stratégiques décidées par le Groupe de Bilderberg peuvent concerner le début d’une guerre, l’initiation d’une crise économique ou au contraire d’une phase de croissance, les fluctuations monétaires ou boursières majeures, les alternances politiques dans les « démocraties », les politiques sociales, ou encore la gestion démographique de la planète. Ces orientations conditionnent ensuite les décisions des institutions subalternes comme le G8 ou les gouvernements des états.
Les membres du Groupe de Bilderberg s’appellent eux-mêmes les « Bilderbergers ». Ils sont choisis uniquement par cooptation. Le Groupe de Bilderberg se réunit une fois par an pendant environ 4 jours. Les réunions ont lieu chaque année au printemps dans une ville différente, mais toujours dans des châteaux ou des hôtels luxueux, entourés d’un parc ou situés en pleine nature, et si possible équipés d’un golf. Les réunions sont protégées par plusieurs centaines de policiers, militaires, et membres des services spéciaux du pays d’accueil. Si la réunion a lieu dans un hôtel, celui-ci est vidé de ses occupants une semaine avant l’arrivée des Bilderbergers. Les invités sont déposés par un ballet d’hélicoptères noirs et par des limousines aux vitres fumées avec la lettre « B » sur le parre-brise.
Prochaine réunion du 9 au 12 juin en Suisse à Saint-Moritz. TIENS, ENCORE LA SUISSE ! CQFD
Je pensait en lisant ce site trouver des écrits de qualités mais je ne trouve qu’un amoncellement de critiques basées sur des informations non vérifiées. Les commentaires ne sont pas d’un plus haut niveau avec un côté parano de service qui ont peur des complots mondiaux.