La mode pour tous, à tout prix et à tout âge. L’Herbe Rouge est une histoire de mode, définitivement. Autour de la marque, une idée de mieux vivre, mieux être, mieux produire transpire. Cela se concrétise avec des vêtements de qualité pour lesquels le respect de « l’humain » et de la biodiversité prime.
L’Herbe Rouge, le meilleur du textile bio
À l’origine de L’Herbe Rouge, il y a Jocelyn Pillon, modéliste, David Brasquies, ingénieur, et Thibaud Decroo, directeur de collection. Fort de plus de 15 ans d’expérience dans le monde de la mode, ce dernier souhaite lancer une nouvelle mode, plus respectueuse de l’humain, du savoir-faire et de l’environnement. L’Herbe Rouge voit le jour en 2008 et remporte alors le prix « Ecologie, Economie et Entreprendre pour Demain« .
La même année, Thibaud Decroo est lauréat du Réseau Entreprendre et un an plus tard, la marque obtient le Prix Jeunes Pousses du Développement Durable de La Poste.
En 2010, alors que L’Herbe Rouge installe son show room à Paris, Arielle Levy entre dans la société en tant que spécialiste du développement des entreprises dans la mode. consoGlobe l’a rencontrée afin d’en savoir un peu plus sur cette marque encore peu connue, mais qui se fait doucement une place au soleil sur le marché de la mode éthique et durable.
De belles matières au service d’une autre mode
Qualité et respect pourraient être les maîtres mots de la marque. Qualité des tissus puisque L’Herbe Rouge ne souhaite travailler qu’avec les meilleures matières, et respect de l’humain, de celui qui a cultivé la plante à l’origine du tissu, à celui qui a fabriqué la matière jusqu’à celui qui la consomme.
Arielle Levy nous explique que la marque travaille uniquement sur l’axe Europe-Afrique car « pour demain mieux consommer, il faut produire proche de chez soi« . Pour la responsable développement et marketing de la marque, L’Herbe Rouge n’est pas qu’une marque, mais « une plateforme d’échange autour de la mode proposant de nouvelles manières de consommer en prenant en compte des thématiques durables« .
Les valeurs L’Herbe Rouge
L’Herbe Rouge défend certaines valeurs, qui font l’ADN de la marque :
- Qualité et Prix Justes
- Design et Bien-Être
- Matières écologiques
- Production responsable
- Qualité des matières et finitions
- Consommation d’eau et d’énergie réduite
- Impact CO2 réduit
Sur chaque étiquette de vêtement, l’empreinte écologique de la matière utilisée figure avec un classement allant de A à E selon le même principe que l’étiquette énergie des appareils électroménagers.
Les matières sont classées par BWE (Brown and Wilmanns Environnemental) qui étudie 5 critères :
- Toxicité pour l’Homme
- Dégradation Environnement
- Dégagement CO2
- Consommation énergie
- Consommation Eau
Toutes les matières utilisées par L’Herbe Rouge sont classées A ou B.
Chez l’Herbe Rouge, on ne parle pas de « fournisseurs », mais plutôt de partenaires, des partenaires que la marque choisit avec soin, ne souhaitant que le meilleur pour ses vêtements. Arielle expose l’idée de Thomas Decroo : motiver et former les partenaires aux métiers de la mode, le tout en conservant les savoir-faire pour qu’ils ne puissent pas disparaître.
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La suite p.2> L’Herbe Rouge : matières certifiées, marque pour tous
C est produit sont peu être de bonne qualite mes peu de style et pas assez travaillé pour le prix exiger .que veux dire bio aujourd’hui .encore un slogan stratégique pour vendre .coton naturelle serais plus adapte.damart,et la redoute,ont des produit identique au votre à des prix bien plus raisonnable.
C est produit sont peu être de bonne qualite mes peu de style et pas assez travaillé pour le prix exiger .que veux dire bio aujourd’hui .encore un slogan stratégique pour vendre .coton naturelle serais plus adapte
Bonjour,
Je suis très interessée par vos produits .
Peut-on avoir accès au catalogue des articles vendus par « herbe rouge » ?
Peut-on acheter sur internet ?
Merci .
Cordialement .
Ca paraît compliqué mais si on veut aller au bout de son raisonnement ENVIRONNEMENTAL il faudrait acheter moins mais mieux !
Il est vrai que 79 € c’est cher pour un short, mais actuellement il est difficile de trouver les matières 1ère bio à prix compétitifs…d’où le coût réel d’un vêtement « bio ».
Donc si l’on est vraiment impliqué dans une démarche fondée aujourd’hui, on a le choix d’acheter un seul short, une seule robe…mais confectionné beaucoup plus respectueusement !
…beaucoup plus facile à dire qu’à faire …
entierement d’accord avec Flore, on ne bougera rien à ce niveau là, si on ne remet pas en cause notre mode de fonctionnement.
mais il est vrai que ce n’est pas aussi simple…mais pourtant cela semble la seule voie possible pour arreter ce cycle infernale de notre consommation…
Tout à fait d’accord avec Béatrice.
Je viens d’aller voir le site de « l’herbe rouge » et j’ai cliqué au hasard, Short… 79euros.
Il me semble que ce n’est pas vraiment une « mode accessible », comme le dit Arielle Levy, qui a sans doute une idée erronée du budget moyen des français en matière d’habillement.
Dommage, le concept est forcément intéressant mais réservé à une élite.
Ça a l’air formidable, mais comme je le craignais, c’est hors de prix, forcément, puisqu’il est question de qualité, en plus en bio ! C’est bon pour la planète, bon pour le contact avec la peau, mais très très mauvais pour les budgets modestes ! Alors ce sont peut-être des vêtements qui durent longtemps, à condition de ne pas avoir d’accident avec (taches indélébiles, déchirure, etc) car sinon, à plus de 100 euros le vêtement c’est aussi très mauvais pour le moral.