Dans la partie 1 consacrée à l’ Analyse et Réinformation Cellulaire , je vous décrivais ses principes. Pour rappel, l’ A.R.C, c’est donc : un accélérateur de guérison du corps et de l’esprit, le « bras droit » du thérapeute et un « booster » de traitement !
Depuis ce premier article, nous avons été « à la pêche » aux témoignages.
En effet, rien ne vaut les informations du terrain, surtout quand il s’agit d’une pratique peu connue et/ou décriée.
Petit clin d’oeil
Avant d’aborder les cas certes lourds, mais parlants et preuves de l’efficacité redoutable de l’A.R.C., je ne résiste pas à vous faire part d’un fait rigolo me concernant.
Lors de ma première séance d’A.R.C., la praticienne m’avait prévenu d’un premier effet visible de ma « réinformation cellulaire » : j’allais prendre 1/2 à 1 pointure de plus !
Une de mes problématiques était en effet un certain manque d’ancrage dans la réalité.
Suite à la réinformation cellulaire, cette ancrage, serait, m’a-t-elle prévenu plus fort et se traduirait aussi par un pied plus grand.
Et bien, c’est vrai : comme prévu, j’ai pris 2/3 de plus, donc un peu moins d’une pointure ! Incroyable ! Et je ne vous parle pas du mieux-être dans ma vie ! Mais nous ne sommes pas là pour parler de moi…
C’était juste une anecdote humoristique, mais bien réelle relative à l’A.R.C. dont je voulais vous faire part.
Place aux autre témoignages !
Philippe
Cas n°1 – Attachement excessif à la mère et maladie auto-immune.
Michel Larroche, docteur en médecine et concepteur de l’A.R.C. décrit un « cas lourd »
Patient souffrant d’histiocytose, maladie d’Erdheim-Chester depuis 2 ans.
C’est une atteinte de la moelle osseuse des os longs ; cette maladie évolue généralement vers la sclérose (2)
Traitement : 1 fois par mois jusqu’à résolution.
Précisons d’entrée – nous le répéterons sans doute dans d’autres observations – que les séances d’Analyse et Réinformation Cellulaire ont lieu une fois par mois jusqu’à résolution éventuelle du problème.
3 semaines de stabilisation de l’information traitée.
Il faut en effet 3 semaines de stabilisation de l’information traitée, pendant lesquelles les structures physiques et psychiques « travaillent » sur cette information. Il s’agit d’une maladie tellement « orpheline » que j’avoue bien humblement n’en avoir jamais, auparavant, entendu parler… Ou alors, j’ai zappé.
Les avis sont partagés sur cette affection. Certains spécialistes pensent que c’est une maladie génétique. Dans ce cas, a priori, l’énergéticien devrait logiquement se dire incompétent : jusqu’à preuve du contraire, je ne pense pas pouvoir modifier un ADN.
Raisonnons autrement si vous le voulez bien. L’homme que j’examine ce jour-là est âgé de soixante-treize ans. La maladie s’est déclarée il y a deux ans, elle est donc restée latente pendant sept décennies.
Deux hypothèses peuvent être émises :
- Elle est compensée pendant longtemps parce que le patient, jusqu’à un certain âge, est suffisamment « costaud » pour « passer par-dessus ». La baisse de forme due à l’âge laisse libre champ à la maladie contre laquelle l’organisme ne peut plus lutter. C’est plausible.
- Elle ne devait pas a priori se manifester, mais un fait déclenchant a déstabilisé le patient, changeant un certain nombre de paramètres dans son organisme et son psychisme, et la maladie jusqu’alors latente se révèle, servant de « sonnette d’alarme » pour signaler le déséquilibre qui s’est installé à l’insu de tous.
Le patient est asthénique, se sent très faible et a dû interrompre de nombreuses activités, et il est terrassé en moyenne deux fois par jour par des poussées de forte fièvre qui le laissent sur le flanc.
Sa mère était la « cause déclenchante » : attachement excessif
Dès le premier examen, ma lecture me révèle qu’un problème avec sa mère était la cause déclenchante. Lorsque je lui pose la question, il m’apprend que la maladie s’est déclenchée six mois après le décès de cette dernière. Elle avait quatre-vingt-dix-neuf ans, mais pour lui qui lui était extrêmement attaché, ce fut un effondrement.
Je fais d’emblée remarquer qu’un tel attachement assorti d’une telle conséquence me paraît un peu excessif : le cordon ombilical n’a manifestement pas été coupé.
La 2ème séance confirme le scénario + amélioration spectaculaire : reprise du sport !
La deuxième séance un mois plus tard confirme ce scénario, sans plus. Nous noterons que le patient mentionne une légère amélioration mais qui a peu duré après la première séance. Par contre, après la deuxième qui percute, bien entendu, plus profondément que la première avec de nouveaux éléments de compréhension, il connaîtra une amélioration très significative, avec raréfaction et allégement des épisodes fébriles et reprise d’activités sportives qui lui étaient interdites depuis deux ans.
Entre-temps, une nouvelle application de l’Analyse et Réinformation Cellulaire connaît sa mise au point finale : la possibilité d’identifier, de décrire et de corriger la genèse des schémas répétitifs transgénérationnels.
Nous n’avons, bien sûr, dans la plupart des cas et à plus forte raison lorsque le nombre de générations affectées augmente, que très rarement la possibilité de vérifier si nos conclusions sont exactes.
Mais la lecture effectuée en Analyse et Réinformation Cellulaire est extrêmement stricte.
On ne bâtit pas de roman, et nous nous efforçons comme tous les thérapeutes dignes de ce nom de ne pas inclure nos projections personnelles dans l’interprétation. Les éléments nous permettant l’analyse ont tous une signification extrêmement précise, les différentes combinaisons possibles de ces éléments nous raconteront donc une histoire bâtie sur une logique. Il n’y a pas de place pour la fantaisie.
Ce patient est donc le premier à bénéficier de ce nouvel apport technique, qui nous permet de dégager logiquement l’histoire suivante : 4 générations sont affectées d’une problématique d’attachement excessif, que nous pourrions même qualifier d’incestuel, entre les mères et les fils. Une précision pour ceux que le terme d’incestuel pourrait surprendre : « incestueux » égale passage à l’acte ; « incestuel » désigne plutôt un côté attachement, emprise, « inceste mental » sans passage à l’acte mais qui peut provoquer des dégâts au moins équivalents sinon pires puisque c’est dans les inconscients que s’incruste le fantasme.
À cette occasion, les éléments recueillis me le permettant, je fais une description des comportements maternel et filial très fine.
L’épouse du patient, présente à la séance, mentionne -en riant de bon coeur – que je viens de faire le portrait exact de la soeur de celui-ci ! Et lui, de son côté, me dit que j’ai fait également le portrait craché de son grand-père maternel.
C’est encourageant, d’autant que le résultat ne se fait pas attendre : cette fois il est spectaculaire.
Mentionnons que le patient effectue un travail personnel sur toutes les indications que je lui donne au cours des séances.
Il a donc déjà exploré et reconnu son attachement excessif à sa mère, et que ce dernier est la répétition d’une transmission transgénérationnelle.
La séance suivante, toujours par la logique interne de la lecture effectuée, nous suggère qu’à la quatrième génération ascendante il a dû y avoir inceste avéré avec passage à l’acte. Mère-fils ? Père-fille ? Je penche personnellement pour la deuxième hypothèse. Cette femme est-elle restée consciente de l’acte ? L’a-t-elle occulté, a-t-elle fait sur cet épisode de sa vie une amnésie lacunaire ? Quel que soit le cas, l’empreinte étant donnée, tout son comportement désormais en est une extrapolation, et elle devient incestuelle à l’égard de son fils. Désormais, cette empreinte ne peut que se transmettre au fil des générations, aboutissant au cas très particulier de notre patient.
Il a effectué en tout 7 séances. À l’heure actuelle, par précaution, je désire le voir trimestriellement pendant un an. On ne sait jamais, une fois la maladie signal d’alarme installée, si des récidives ne peuvent pas survenir. Puis, sur quelques années suivantes, contrôle semestriel pour la même raison.
Coût : 600 à 700€
Notes : comme il est absolument impossible de prévoir à l’avance, en raison des facteurs de complexité cas par cas, combien de séances seront nécessaires, la question du coût ne peut appeler de vraies réponses. Pour ceux qui trouvent les tarifs excessifs en raison du non-remboursement, je demanderai simplement s’ils veulent être remboursés ou guéris ».
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La suite p.2> Cas n°2 : traitement des chevaux – lutte efficace contre le stress
Je ne peux que féliciter le dr Larroche car par l une de ses praticienne m’a
guérie ma thyroïde celle ci a refonctionné et plus de médicament dosé a 80 mgr !!
Et bien d’autres soucis je recommande cette méthode absolument.
Martine DELCROS
Philippe : « Vider les poches » dans votre paragraphe d’intro était peut-être un peu fort et pouvait choquer certaines sensibilités, mais je vous soutiens dans votre revendication du droit à la provoc, à l’humour, à l’expression qui frappe les habitudes trop enrouillées dans le quotidien de croyances prises pour des certitudes ! Dites, « Marchand », vous qui savez si bien ce qui est prouvé et ce qui ne l’est pas : quelle est votre définition de « démontré » ? Sans précisions à ce sujet, votre argument est sans objet.
Deux remarques sur les chevaux : d’abord, ils sont loin d’être bêtes, je les trouve même beaucoup plus intelligents que les humains en général. Je ne développerai pas plus ici, ce serait trop long.
Ensuite, la remarque concernant le fait « qu’ils se reproduisent plus vite que nous », me laisse perplexe, quand on sait que la durée de gestation est de onze mois, voire un peu plus. Il est vrai qu’ils vivent moins longtemps que les humains, mais leur cycle de reproduction est tout de même plus long.
Ceci dit, je partage l’avis de Marchand, car cet article n’apparaît pas comme une simple information, mais comme une publicité.
L' »inventeur » de cette méthode s’attache tout simplement aux maux psychosomatiques, qui sont fort courants en effet.
M. Jourdain parlait en prose sans le savoir…..
Bonjour Lulu,
Bien lu ce que vous nous avez pondu !
A part le fait que je vous conseillerais de lire et relire un texte avant d’y répondre pour être sûre d’en avoir saisi le sens au lieu de rester sur un niveau de compréhension tronquée, puis-je attirer votre attention sur le ton évidemment ironique de Michel Larroche ? D’autant plus que notre ami chroniqueur averti Philippe, pour éviter tout malentendu, avait pris soin d’ajouter qu’il s’agissait là, bien évidemment, d’humour au deuxième degré. En pareil cas, rien de tel qu’une trithérapie : Grosses Têtes, Philippe Geluck et Patrick Sébastien, ça décoince les cas les plus graves tant qu’ils sont récupérables !
Mais sérieusement parlant, votre confusion ne m’inspire guère l’envie de faire dans le littéraire. Laissons donc Molière de côté et considérons de simples faits et chiffres :
Effectivement, vous avez raison, une jument porte plus longtemps qu’une femme. La gestation, encore plus longue que ce que vous dites, approche les onze mois et demi ou douze mois lunaires. Mais tant que nous y sommes, pourquoi ne pas aller jusqu’à comparer la durée statistique de l’acte reproducteur ? Chez le cheval environ 10 secondes. Je pense que la plupart des hommes seront d’accord pour dire que c’est nettement plus rapide que dans la pratique humaine. Et toc : un partout. Plaisanterie à part – vous risquez encore d’y prendre offense en la prenant, par erreur, au premier degré – il ne faut pas confondre durée de gestation, ou durée d’un acte avec celle des cycles de reproduction vus dans leur ensemble et, dans le contexte donné, sur plusieurs générations.
Comparons ce qui est comparable, tout en nous appuyant sur des chiffres non de ce qui serait biologiquement possible, mais de ce qui est raisonnablement de mise. Une jeune jument peut être mère à 5 ans, grand-mère à dix, et ainsi de suite. Une jument poulinière de 20 ans peut très bien avoir produit une demi douzaine de poulains et pouliches voire plus et trois à quatre générations de reproducteurs. Une femme de vingt ans, dans des conditions aussi raisonnables, aura juste pondu son premier bambin. Ceci sans dire que les jeunes chevaux mâles reproducteurs produiront « normalement » dans la première génération une voire plusieurs dizaines de poulains avec autant de juments différentes, et ceci ensuite tous les ans, ce qui est loin d’être le cas des humains, même dans des civilisations favorisant ce genre de productivité.
Pour finir, si une jument prend presque douze mois pour mettre au monde son petit, dans dix-huit mois après la saillie les parents voient leur bambin vivre sa vie indépendamment. Combien de temps faut il au minimum pour que les petits humains soient en mesure de se débrouiller ? … Histoire de rigoler encore un peu : je n’ai encore jamais vu un bébé chanter à la naissance. Les poulains, oui. Tous. Les bébés, quand ils sont hyper-doués, courent dès sept mois. Les poulains les moins doués dès sept minutes. Les poulains passent leur crise d’adolescence entre dix mois et quatre ans, les humains commencent bien plus tard et certains n’en finissent jamais. Les poulains sont poilus à la naissance, les jeunes hommes doivent attendre l’adolescence et certaines femmes la ménopause pour voir pousser leur première barbe …
Comme dit si bien Philippe : Prenez soin de vous …
Claudéa Vossbeck-L’Hoëst
equi-energie.com
Bonjour, monsieur ou madame Lulu.
C’est agaçant cet anonymat qui efface les sexes et permet de s’attaquer sans risque aux gens sur qui vous présentez des jugements à l’emporte-pièce sans réflexion préalable. Enfin, il faut de tout pour faire un monde…
Bonjour, Lulu.
Je constate dans votre intéressante réponse que nous disons exactement la même chose : les chevaux sont les animaux les plus intelligents du monde, je le proclame et le professe et je vous engage donc à relire l’article, car manifestement vous êtes passé(e) complètement à côté. Veuillez, s’il vous plaît, relire le texte où je pratiquais ce que l’on appelle de l’humour au second degré en reprenant les arguments des abrutis qui dénient aux chevaux toute intelligence et tout sentiment.
Je crois que vous n’avez pas très bien compris non plus que lorsque je dis que les chevaux se reproduisent plus vite que nous, je fais allusion, entre autres, au fait que mon étalon, qui à l’heure actuelle a vingt et un ans, a dû faire au bas mot quinze saisons de reproduction, et a la détestable habitude d’être « polyfidèle », ce qui, vous me direz, est bien ce que beaucoup de femmes reprochent aux hommes, et signifie, puisqu’il faut tout vous expliquer, qu’il s’en tape au bas mot sept ou huit par printemps, ce qui, approximativement, doit nous faire cent vingt poulains dont une bonne dizaine sont devenus à leur tour étalons, je vous laisse faire le calcul ou à tout le moins l’estimation du nombre de chevaux étudiables à partir d’un seul géniteur. Personnellement et malgré toute ma bonne volonté de bien faire, je n’arriverais pas à en faire autant.
Donc je persiste et signe : ils se reproduisent plus vite que nous.
Enfin, vous partagez l’avis de Marchand. Libre à vous. Je vous engage, afin de m’éviter des discours que je n’ai aucune envie de vous faire, à lire la réponse que je lui ai adressée. Je n’ai aucune besoin de pub d’aucune sorte, étant donné que je n’exerce plus mais interviens bénévolement au profit de l’association afin qu’elle puisse non seulement poursuivre formations et recherches, mais aussi …. sauver des chevaux, entre autres. Si vous aviez consulté le site mis en lien dans l’article de Philippe Cuttat, peut-être auriez vous compris.
Vous êtes donc deux, me semble-t-il, à n’avoir strictement rien compris et avoir des jugements de valeur qui vous tiennent lieu d’intelligence.
M. Jourdain parlait en prose sans le savoir, je vous engage à apprendre à utiliser votre cerveau, le jour où ça arrivera on le saura.
Michel Larroche
Je suis déçu par votre site, autant l’analyse des impacts et causes écologiques des activités humaines me paraissent nobles, autant des articles vantant les principes d’une méthode qui n’a jamais été démontrée me laisse pantois. Après quand je lis dans l’article originel que les médecins « font les poches » de leurs patients, pour lire ensuite qu’untel a déboursé 700€ pour sa thérapie, je suis abasourdi. Quel dommage. Vous avez au moins gagné ma desinscription.
Bonjour « Marchand » !
Merci pour votre commentaire qui me donne l’occasion de préciser ma position et ma démarche.
En lisant « entre les lignes » ma rubrique « Santé Préventive », vous aurez sans doute perçu mon style souvent humoristique, simplificateur et, je le reconnais bien volontiers, un brin provocateur.
Même parfois, simpliste, pourquoi pas, je vous le concède aussi.
En revanche, loin de moi de penser avec sérieux que les médecins « font les poches » de leurs patients. C’était du second degré.
Avec un peu de recul, vous l’auriez compris. Je précise d’ailleurs immédiatement une ligne plus bas que c’est précisément de la provocation.
C’était un simple raccourci pour mettre le doigt sur les limites d’un système de santé qui est économiquement « à bout de souffle » (« je souffre d’un mal. Je ne me pose pas de question et ne me remets pas en cause : je consulte, c’est tout ; je n’y connais rien. « Eux », ont fait des études : ils savent tout ; moi, je n’ai rien à apprendre en matière de santé ou de prévention ; c’est uniquement l’affaire des spécialistes, pas la mienne« ).
Un système de santé qui ne fait pas assez confiance « aux forces régénératrices de notre corps qui l’aident à retrouver son équilibre quand il en a besoin. Cette fonction étant assurée par le cerveau dont la mission première est de nous maintenir en vie »(http://lejour-et-lanuit.over-blog.com/article-quand-l-esprit-guerit-le-corps-arte-90492327.html => documentaire allemand diffusé sur Arte le 22 novembre 2011).
Il ne s’agit pas d’opposer une chapelle à une autre, mais bien de les réunir, de les faire travailler ensemble pour le bien de tous et pour la réduction des dépenses de santé.
Chacune a ses forces et ses limites. Chacune a ses représentants honnêtes et ses charlatans.
A ce propos, n’hésitez pas à lire « Profession : charlatan » http://www.editions-tredaniel.com/profession-charlatan-p-3594.html, c’est édifiant !
Si donc le thérapeute (médecin, infirmier, psychiatre,…) peut aussi être le conseiller de ses patients pour les aider à développer le plus possible leurs capacités d’auto guérison, tout le monde y sera gagnant. En tout cas, les 2 praticiennes en Analyse et Reinformation Cellulaire que j’ai rencontrées ont cette fibre.
Si plus de 200 praticiens (dont une bonne partie de médecins) ont consacré du temps et de l’argent à se former et à pratiquer l’Analyse et de la Réinformation Cellulaire, c’est que son efficacité est bien réelle.
Mais vous savez comme moi que bon nombre de personnes ont tout intérêt aussi à n’avoir qu’une vision tronquée de ce qu’est une « méthode démontrée ».
Parlez de l’Analyse et Réinformation Cellulaire aux physiciens quantiques : vous constaterez qu’ils sont pour la plus part en accord avec les fondements de l’Analyse et Réinformation Cellulaire.
Pour finir, 700€ pour guérir -parce que le patient en question est guéri !- d’une maladie auto-immune qui n’intéresse pas la Science et les labos qui n’ont certainement -mais à vérifier- rien à y gagner (178 cas en France : à quoi bon !), je vous laisse répondre vous-même à la question de savoir si ça vaut la peine ou non. Le patient, lui, y a répondu…
Quand j’ai lu votre remarque à ce propos, m’est venu à l’esprit ce qu’un handicapé répond à quelqu’un de valide qui vient se garer sur un emplacement réservé aux handicapés : « si vous prenez ma place, prenez aussi mon handicap« : juste le temps de la réflexion, mettez-vous à sa place : la médecine traditionnelle, comme on dit, ne lui propose rien, que lui proposez-vous ? CQFD.
Je vous comprends néanmoins : on a souvent peur de ce que l’on ne connait pas ; on est souvent dubitatif face à ce qu’on ignore… J’étais un peu comme vous il y a quelques années. Depuis, la vie m’a appris à être modeste et réaliste (St Thomas avait du bon !); à me poser la question « comment ça marche ? » ou « comment puis-je l’appliquer ? » plutôt que « pouvez-vous me démontrer que et comment ça marche ?« .
Issu du monde de l’entreprise, je suis devenu par expérience plus soucieux de résultats concrets que de trop d’explications qui sont certes intéressantes intellectuellement, mais qui au final, font perdre pas mal d’énergie, de temps et/ou d’argent.
Comportement typiquement français : quand quelque chose fonctionne ailleurs, avant de l’appliquer, nous passons des années à « retester » avec nos « méthodes à nous » (parce que nous savons mieux que tout le monde !) : fierté franco-française et/ou trop d’intérêts en jeu, bien entendu… Entre prudence et excès de zèle, il y a peut-être l’honnêteté, la saine curiosité et le juste milieu.
Merci cependant pour votre franchise qui, je le répète, m’a donné l’occasion de préciser ma vision.
Je dis « ma vision » qui n’est pas nécessairement toujours celle de Consoglobe qui m’offre -je l’en remercie encore au passage- l’occasion d’exprimer une position en laquelle je crois non pas par simple conviction, mais surtout et avant tout par expérience.
Prenez soin de vous.
Cordialement.
Philippe.
Philippe : « Vider les poches » dans votre paragraphe d’intro était peut-être un peu fort et pouvait choquer certaines sensibilités, mais je vous soutiens dans votre revendication du droit à la provoc, à l’humour, à l’expression qui frappe les habitudes trop enrouillées dans le quotidien de croyances prises pour des certitudes ! Dites, « Marchand », vous qui savez si bien ce qui est prouvé et ce qui ne l’est pas : quelle est votre définition de « démontré » ? Sans précisions à ce sujet, votre argument est sans objet.
Bonjour, « Marchand ».
Qui vous a dit que ma méthode n’avait jamais été démontrée ? Si vous me disiez, plutôt, que vous ne la connaissez pas, c’est fort possible.
En effet, cela ne fait que quarante ans que j’ai commencé à en entrevoir le principe, trente-cinq ans que j’ai la maîtrise des bases indispensables pour l’élaborer, et trente ans qu’elle est au point nonobstant les perfectionnements ultérieurs indispensables pour la rendre plus pratique, précise et rapide dans ses résultats.
C’est un laps de temps que je n’ai pas forcément mis à profit pour la répandre comme il aurait fallu. Cependant, plus de deux cents praticiens, médecins, vétérinaires, psychothérapeutes, ostéopathes, naturopathes, etc…, je dois bien oublier une ou deux spécialités au passage, et même, tenez-vous bien, quatre pharmaciens qui avaient envie de se reconvertir et d’être utiles, m’ont fait l’honneur de la trouver valable et utilisable, et de me respecter en prime. Je ne doute pas une seconde qu’ils étaient certainement beaucoup moins intelligents et savants que vous, et que leur esprit critique était vraisemblablement beaucoup moins affûté, peut-être même avaient-ils trouvé leurs diplômes dans une pochette surprise et étaient-ils, par conséquent, pratiquement privés de discernement. Cependant, ils semblent tous sans exception très heureux de pratiquer cette technique, certains même depuis maintenant au bas mot vingt ans si ce n’est plus dans un certain nombre de cas.
Je pense donc, voyez-vous, qu’à travers eux la méthode est démontrée, si cela vous intéresse – mais ça m’étonnerait, vous avez déjà souverainement jugé sans connaître- il vous est possible de les interroger. Méfiez-vous cependant de vos idées arrêtées et de votre suffisance évidente, ils n’ont pas tous mon bon caractère ni mon sens de l’humour. Car, voyez-vous, ils travaillent très dur et doivent chaque jour se battre pour faire au mieux et démontrer, en plus, leur valeur face à des fâcheux qui ne se fient pas aux résultats patents et évidents mais aux idées toutes faites.
Quant à moi, j’ai travaillé très dur pour élaborer cette technique. Je n’ai cherché à en retirer ni gloire, ni pouvoir, et en ce qui concerne l’argent, je pense avoir simplement gagné honnêtement ma vie en m’offrant le luxe d’avoir le temps de vivre.
Au moment où je vous écris cette réponse, je suis à la retraite, j’ai soixante-cinq ans, je ne dois rien à personne, j’ai simplement accepté de répondre aux questions de quelqu’un qui, lui, est allé honnêtement et sans préjugé y mettre le nez pour se rendre compte sur pièces et sur résultats et non pas sur formatage mental préalable, je n’ai donc aucun besoin de me faire de la pub, je donnais une simple indication de prix total après rémission sérieuse et constatée sur une maladie jusqu’alors incurable qui avait coûté au bas mot dix fois plus cher à la sécurité sociale, sans résultat.
Voilà, me semble-t-il, cher Monsieur Marchand, ce qu’il aurait fallu comprendre. Je me garderai de dire, en ce qui concerne, que chacun fait ce qu’il peut, il me semble par contre que vous ne comprenez que ce que vous voulez. Et je pense dans ces conditions que votre désinscription est ce qui pouvait arriver de mieux à ce site.
Bien à vous, Monsieur Marchand.
Michel Larroche