Alcoa fait un pas de plus pour respecter d’avantage l’environnement. En effet, les bonus distribués aux managers dépendent des efforts fournis en matière d’environnement et d’écologie.
Chez Alcoa, l’écologie dicte le versement des bonus
L’entreprise américaine se démarque par ses efforts concrets en matières d’écologie. En effet, il n’est pas toujours évident pour un géant de la métallurgie de développer un tel secteur tout en prenant garde à environnement. Depuis 2014, les dirigeants de l’entreprise sont mis à contribution.
L’écologie est devenue plus un simple voeux pieux. En effet, les managers voient leur salaire diminuer s’ils ne respectent pas les objectifs fixés par l’entreprise en matière d’écologie. Les bonus dépendent de 20 % des efforts fournis dans ce domaine. Parmi eux, 5 % sont versés en fonction de la réduction de CO2. En 2014, seuls 2,5 % ont été distribués faute de résultats suffisants.
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Les bonnes résolutions de la COP21
Même si des efforts avaient déjà commencé auparavant, on peut affirmer que la COP21 et l’Accord de Paris qui ont suivis ont été le déclencheur pour de nombreuses entreprises américaines. Ces accords ont permis d’amorcer le virage du développement durable. Il faut désormais passer à l’action.
Aujourd’hui près de 25 % des entreprises américaines récompensent les efforts des patrons en fonction des avancées écologiques. Quand Alcoa vise à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 50 % par rapport aux données de 2005, Bank of America s’engage à utiliser 100 % d’électricité renouvelable en 2020 et à atteindre la neutralité carbone.
Illustration bannière : Alcoa – © dennizn Shutterstock
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C’est juste plus ECONOMIQUE. Le CO2 n’est pas le polluant le plus dangeureux. D’autant plus, QU’IL SE RECYCLE TRES FACILEMENT. Tout l’inverse de certains éléments que rejète ces industries. Même si dans certains sol on peut utiliser des plantes calaminaire, pour la mer il n’en est rien. Imaginer les mines d’orpaillage dire on est écolo, on roule à l’électrique (après avoir déverser de l’arsenic et du mercure dans les eaux de l’amazone). A rappeler qu’après une élévation logarythmique de la température et avec la progréssion de la végétation, il nous sortirons que l’on manque de CO2. Pour en donné un bon exemple on a cas tout simplement regarder notre printemp, bien plus chaud que les normale (même si on a aucune raison de sans plaindre), après un phénomène annuèlle appeler débourage on voit une diminution de la température. Pendant l’hiver les arbres sans feuille n’absorbe pas le CO2, puis ils déboure et les feuilles son en pleine étiolement (c’est la qu’ils comsomme une grande quantité d’oxygène), la température rèste chaude, puis quand les feuilles sont formé, la température baisse de 5 à 10°c. Ils comsomme massivement d’énormes quantites de CO2.