Microbilles de plastique et cosmétique : une mobilisation grandissante
De nombreux scientifiques, dont le Dr Murray Gregory en Nouvelle Zélande, se mobilisent pour dénoncer les dangers de l’utilisation des microbilles dans les produits de beauté et les produits ménagers et sensibiliser les industriels sur cette nouvelle catastrophe écologique. La « Plastic Soup Foundation », organisme néerlandais, a rédigé une pétition et incite les responsables politiques se prononcer et à légiférer pour interdire la vente de produits contenant du plastique, cette fondation souhaite sensibiliser les consommateurs et mobiliser le plus grand nombre.
Traquer les produits synthétiques
L’annonce par le géant Unilever de l’arrêt de l’utilisation des microbilles est un bon début, mais c’est au quotidien qu’il faut traquer les produits de synthèse. Ils sont présents partout : cosmétiques, détergents, produits pharmaceutiques. Ensemble, changeons nos habitudes pour les générations futures !
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Je suis bien d’accord avec Brunet pour une pétition !
Pour répondre à Gino : « où est-ce qu’on en trouve ? » :
– dans les gommages pour le visage ou pour le corps (que ta chérie utilise peut-être sans savoir)ou aussi dans le genre (existent même pour homme) gel-douche exfoliant.
– récemment (sur la photo on le voit bien), la nouvelle manucure « fashion », c’est de se mettre (je ne sais guère comment ça peut bien tenir par contre) des micro-billes sur le vernis à ongles.
Ca fait plutôt granuleux (perso, ça me fait penser aux granulats de béton, mais bon, j’ai pas les mêmes valeurs sur le plan esthétique, hi hi hi !)
– et il est fort possible qu’il y en ait aussi dans certains produits de nettoyage des mains pour mécanos ou maçons (type « Pâte Arma » améliorée, pour bien décoller le cambouis ou le ciment) si tu vois le genre d’utilisations possibles…
Et je suis sûrement en-dessous de l’imagination des fabricants, il y a certainement des tas d’autres applications (hélas…)
Vous oubliez le principal : quel est leurs noms pour qu’on les reconnaisse dans la composition des produits concernés ?
Pourquoi ne pas lancer une cyber-pétition pour arrêter ce mouvement qui n’est pas, et de loin, un progrès ?
Nous avons tendance à nous laisser devenir des objets au lieu de demeurer des sujets.