Comme tous les ans, le World Energy Council scrute les politiques énergétiques des différents pays de la planète et les évalue. 129 pays sont ainsi passés au crible pour aboutir à un classement mondial des nations qui sont les plus ou les moins performantes en matière de performance énergétique.
L’indice de durabilité énergétique
La Performance énergétique d’après le Conseil mondial de l’énergie est un critère qui prend en compte plusieurs critères : « efficacité énergétique », « impact sur l’environnement » ainsi que « coût et accès à l’énergie ».
Le trilemne de l’énergie
Le WEC veut promouvoir les énergies « douces » et renouvelables comparant la capacité des différentes nations à fournir à leurs citoyens une énergie respectueuse de l’environnement, en quantité suffisante et à un coût compétitif.
Ce 5ème palmarès souligne quels sont les pays les plus aptes à relever ce qu’il appelle le « trilemne de l’énergie« , c’est à dire l’articulation délicate de 3 dimensions des politiques énergétiques :
- la sécurité énergétique
- l’équité énergétique
- la dimension durable et environnementale
Les pays les plus performants sur dans cet exercice et sur cette échelle de durabilité sont :
– la Suisse, le Danemark et la Suède
La Suisse obtient la note AAA, grâce une production électrique « décarbonée » : en effet, la production d’électricité en Suisse en à 55 % hydroélectrique et à 39 % nucléaire.
Ces deux sources d’énergie sont les moins chères et ont le bon goût d’émettre très peu (nucléaire) ou pas du tout (hydroélectricité) de CO2.
La Suisse a prévu de réduire de 20 % ses émissions de gaz à effet de serre de 1990 à 2020.
Le Royaume-Uni et le Canada se placent en 4ème et 5ème position
Suite > la position de la France et des USA
La France va investir 30 milliards d’euros dans un centre de stockage des déchets de centrale atomique, s’agit-il de déchets propres?
Auparavant ces déchets finissaient au fond des océans, dans des zones désertiques ou dans des décharges illégales gérées par des systèmes mafieux.
Le mensonge d’état au sujet du cout réel de l’électricité nucléaire a été partiellement révélé par l’étude de la cour des comptes, dissimulant les couts cachés: absence de provision pour démantèlement, sous-investissement de l’ordre de 70 milliards d’euros. Ajoutons à cela la dissimulation des alertes de sécurités…
Le coût réel de l’électricité nucléaire est le double de celui qui nous est facturé, il faudra payé un jour!
bonjour,
Le nucléaire est une énergie propre?
Une fois l’uranium sur le territoire?
Mais quand est-il de l’extraction, du transport, et du stockage, si on prend en compte tout ça nous sommes dernier!
cordialement
désolé une petite faute de frappe sur le lien je le remet:
http:/ /lapagedolga.zici.fr/energie/nucleaire/nucleaire.html
Il n’est pas non plus tenu compte des dégâts causés par les barrages hydroélectriques: le barrage d’Assouan et la disparition progressive du delta du Nil et les populations ruinées qui vont peupler les bidonvilles…
Les barrages sur les fleuves africains et les modifications du profil de la cote dans le golf de Guinée= les populations ruinées qui vont peupler les bidonvilles, et les plus hardis vont sombrer en Méditerranée…
Les barrages en Amazonie et les populations ruinées qui vont peupler et porter leur désespoirs dans les favelas… il y a de quoi remplir des carnets entiers de désastres humains…Où est le bilan social, politique et économique et humain… Ce type de développement n’est régulé que par la catastrophe…
ces études ne considèrent pas l’impact environnemental du nucléaire: les risques et le cout du démantèlement des centrales nucléaires, il faut arrêter de nous faire croire que c’est de l’énergie « propre »