Paris Design Week : l’agence Fritsch et associés allie design et écologie

Showrooms, galeries d’art, institutions, restaurants … dans la continuité du célèbre Maison&Objet, les Salons Français et Internationaux (SAFI) inaugurent la première édition de la Paris Design Week du 12 au 18 septembre : 1 semaine, 1 parcours, 6 grands quartiers parisiens.
Cet événement est l’occasion de découvrir des objets qui savent marier design et écologie. C’est le cas de « Spline » et « T20 » deux projets très design du cabinet Fritsch et associés, basés sur l’utilisation de fibres naturelles. consoGlobe souhaitait vous faire découvrir ces jolis objets, juste pour le plaisir des yeux.
Spline : le rotin revisité
Spline est une ligne de mobilier élaborée à partir de fibres naturelles : le rotin
L’agence Fritsch et associés a donc su créer un objet aux lignes naturelles donnant une impression de pureté aérienne en utilisant une matière à privilégier pour freiner le phénomène de déforestation
Le rotin a bien des qualités : flexible et résistant, il est en plus imputrescible et convient aussi bien à un usage intérieur qu’extérieur
T20 : la trottinette en bambou
Aujourd’hui, du bambou, on en trouve partout : dans les vêtements, les arts de la table, les matériaux de construction … Il fait donc tout naturellement son entrée dans l’écomobilité. On connaissait déjà l’utilisation du bambou pour remplacer le titane ou le carbone du cadre des vélos
- Voir l’article les vélos coup de bambou
L’agence Fritsch et associés propose la trottinette en bambou T20 qui s’inscrit donc dans une volonté de changer les comportements pour faire du bien à la planète.
La structure de cette trottinette électrique est entièrement élaborée à base de cette fibre naturelle. De quoi se déplacer proprement et avec élégance en ville. De plus, le bambou présentant d’excellentes capacités d’absorption des vibrations, il rend la balade d’autant plus confortable
- découvrez les vélos de la boutique
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Oui le bambou est un matériau résistant, mais économiquement il ne résistera pas à la crise à venir, quand surexploité, affaibli génétiquement, les hommes modernes se rendront compte qu’il n’en maîtrisent plus les savoirs faire leur permettant de l’utiliser localement pour vivre sans détruire leur environnement.