L’info provient d’Interpol. L’organisation internationale a annoncé la mise en place d’un vaste plan mondial visant à lutter contre la pêche illicite, et ce à travers le monde.
Interpol combat la surpêche
La première conférence internationale d’Interpol sur l’application des lois relatives à la pêche se tenait à Lyon, dans le sud-est de la France, où elle a réuni des représentants de 55 pays membres, des spécialistes du renseignement, des experts internationaux de la pêche et des juristes.
Durant cette conférence, un constat a été rappelé. La pêche illicite, comprendre non déclarée, donc non réglementée, représente 20 % de la pêche mondiale, et jusqu’à 40 % dans des zones particulièrement touchées comme l’Afrique subsaharienne.
Repères* : de 20 à 70 % des poissons blancs capturés dans le monde sont issus de la pêche illégale et non déclarée.
Les recettes des pavillons de complaisance issues de la pêche illégale sont de 10 à 23,5 milliards de US$ par an, un montant comparable au commerce mondial des bois illégaux.
Entre 11 et 26 millions de tonnes de produits de la mer proviennent des captures illégales : à comparer aux 60 millions t. des débarquements officiels.
Interpol combat la pêche illicite
Le rapport entre Interpol et la pêche n’est pas forcément évident, et pourtant il s’agit bien de réseaux criminels. B
- ien entendu, il y a les dommages environnementaux et les problèmes liés à la surpêche, mais aussi les problèmes liés aux autochtones, puisque dans certains cas la pêche entrave l’activité de pêcheurs artisanaux.
- Ces réseaux entraînent des pertes financières colossales pour l’économie mondiale, qu’on estime à environ 18 milliards d’euros1. La pêche illégale est en outre souvent liée à d’autres formes de criminalité internationale, comme le trafic de drogue, d’armes ou d’êtres humains.
Pêche illégale : des formes variées
La surpêche est l’une des formes les plus courantes et dévastatrices, mais d’autres formes de pêche illicite font des ravages : pêche sans autorisation, non-déclaration des captures, techniques de pêche interdites (notamment la pêche en eaux profondes qui ravage les littoraux et fonds maritimes).
> Suite : Scale, combattre la pêche illicite de manière radicale
Enfin,il était temps
Tout à fait d’accord avec clement, il faut anéantir leurs outils de braconnage, plus une peine de prison longue, automatique à chaque délit
constaté.
vous y croyez ! Etant donné les trafics en tout genre : faux médocs, faux boeuf, produits dégelés au micro onde et qualifiés » maison », le foie gras provenant de Hongrie transformé en France et portant la mention Sud Ouest, les farines roumaine, pleines de pesticides et certifiées BIO par la mafia ayant innondé l’Europe,……
Et pour couronner le tout la suppression des agents de la concurrence au nom des économies budgétaires.
Que j’aimerais avoir votre optimisme !
On ne va pas faire la fine bouche, même si l’ampleur est titanesque et qu’il reste impossible de quadriller les océans… ça bouge !!!
Comme d’habitude, il est dommage qu’il faille toujours en passer par des catastrophes pour qu’on se décide à réagir !
Espérons que cela va être efficace et qu’il ne soit pas déjà trop tard…
il faut capturer ces bateaux les vider de leur cargaison carburants huilles et les envoyer par le fond comme cela cela ferat des recifs artificiels et moins de pilleurs des mer qui si ont leur laissent leur bateaux ils recommenceront