Prendre soin de ses perruches ondulées
Comment reconnaître une perruche ondulée en bonne santé
Le meilleur moyen de reconnaître une perruche ondulée en bonne santé consiste surtout et avant tout à l’observer régulièrement. À force de vous en occuper au quotidien vous vous apercevrez par vous-même si quelque chose cloche ou non.
Les perruches ondulées sont des animaux constants. Ils ont toujours la même activité en prenant même de petites habitudes qui vous feront vous attacher à elles. Elles ferment rarement les yeux, restent toujours aux côtés de leurs congénères et ont un appétit régulier.
Si une de vos perruches ondulées venait à avoir des comportements à l’inverse, c’est très certainement que quelque chose ne va pas pour elle.
Ainsi, si son état commence à se dégrader, soyez vigilant et suivez son évolution. Un vétérinaire NAC aura besoin d’informations pour pouvoir bien comprendre et traiter l’éventuelle maladie : date d’apparition des symptômes, depuis quand votre oiseau n’a plus bu ou mangé si c’est le cas, son âge et son sexe.
Un vétérinaire spécialisé sera votre meilleur allié © Abrym
Comment prendre soin de vos perruches ondulées
Hormis les préconisations de votre vétérinaire vous pouvez aussi agir pour soigner vos perruches ondulées ou tout du moins suivre leur état de santé.
Certaines maladies assez courantes chez les perruches ondulées comme la gale, la salmonellose ou les mycoses, nécessitent des analyses préalables de votre vétérinaire NAC et des traitements antibiotiques qui vont fatiguer vos oiseaux.
Si vous en avez la possibilité, mettez les oiseaux malades en quarantaine mais quoi qu’il en soit faites en sorte que la volière soit placée dans un endroit calme, à l’abri des courants d’air mais aussi de tous bruits intempestifs (portes qui claquent, etc.).
Et s’il n’est plus possible de garder vos perruches
La vie est ainsi faite qu’il y a parfois des aléas qui peuvent vous amener à devoir vous séparer de vos perruches ondulées. Ne les relâchez en aucun cas dans la nature, elles n’ont rien à y faire, ne sont même pas de ces écosystèmes, et ne survivraient pas longtemps.
Proposez-les à des amis en dépeignant bien leur comportement et les contraintes pour leur épanouissement. Parlez-en avec votre vétérinaire qui pourrait vous aider, essayez de le donner via des connaissances dignes de confiance… Faites fonctionner vos réseaux !
En dernier recours, vous pouvez tenter auprès d’un éleveur passionné, les proposer à une école avec des enseignants compétents et motivés, ou à une école vétérinaire voire à un zoo près de chez vous s’il ne pourrait pas lui trouver une petite place confortable !
