Mise en cause notamment lors de l’enquête de Greenpeace intitulée Dirty Laundry 2 (Linge Sale 2), elle utilisait toujours des substances chimiques toxiques (et notamment des NPE… lesquels atteignent l’humain et les nappes phréatiques.
Et pourtant en 2011, la marque a annoncé s’engager dans le projet Detox de Greenpeace en éliminant les produits chimiques dangereux de chaque étape de la production. Chaque année, elle publie un rapport pour montrer l’évolution de ses démarches. Une marque pas complètement clean, mais qui progresse.
Des millions de jeans en plastique ?
Enfin se pose la question de la durée d’un tel projet : passé l’effet de mode, le plastique continuera-t-il d’être recyclé pour produire des jeans ? Quelle quantité sera finalement produite pour quel impact environnemental réel ?
En attendant, ne négligeons pas un élément : l’impact le plus notable est probablement sur la sensibilisation. Avoir amené la question du recyclage du plastique à la Fashion Week et en reparler régulièrement de par la présence des produits. Spécifiquement auprès d’un public de spécialistes de la mode et d’un grand public pas forcément très au clair sur ce type de préoccupations pourtant essentielles. Rappelons que 90 % des déchets flottants sont constitués de plastique.
*
bonjour je m’appelle jean je ne suis point d’accord avec votre commentaire jeune homme
« une ONG maritime pas spécialement connue pour mettre de l’eau dans son vin. » non mais sérieux, le gouvernement est venu lier les mains sur votre façon de faire les articles (si oui dites le franchement) sinon il faudrait revoir vos journaliste car pour dire :
« une ONG maritime pas spécialement connue pour mettre de l’eau dans son vin. » c’est assez honteux, car Sea Shepherd est la seule ONG maritime qui fait bouger les choses car les lois ne sont pas respecter notamment contre la chasse aux baleines. Donc sous entendre que cette Ong doit mettre de l’eau dans son vin. Plutôt que de dire : « cette ONG très éthique » c’est plus que regrettable…
Bonjour,
je ne comprends pas votre remarque. A aucun moment justement l’article ne dit qu’elle *doit* mettre de l’eau dans son vin. Dire « une ONG maritime pas spécialement connue pour mettre de l’eau dans son vin » sous-entend au contraire que l’ONG ne s’engagera *que* dans des projets 100% éthiques, ça n’était pas une critique, au contraire.
Et nous n’avons rien à voir avec le gouvernement (nous ne recevons d’ailleurs aucune subvention d’aucune sorte).