Manger du poisson en été : 10 espèces qui ne sont pas menacées

Les poissons et les fruits de mer sont des mets appréciés, notamment en été. Cependant, la surexploitation de nombreuses espèces nous oblige à veiller à ne consommer que les espèces de poisson et de fruits de mer qui ne sont pas menacées de disparition.

Rédigé par Elodie, le 17 Aug 2015, à 14 h 11 min
Manger du poisson en été : 10 espèces qui ne sont pas menacées
Précédent
Suivant

La moule

shutter-stock-poisson-moule-ete-mer-ocean-peche

La moule, star chez les ch’tis © Shutterstock

La moule est riche également en vitamine B12, qui aide à la cicatrisation des blessures, ainsi qu’en manganèse, qui permet au système immunitaire de se protéger de certaines bactéries. On la rencontre en mer Baltique, en mer du Nord et de l’Océan Atlantique jusqu’aux côtes méditerranéennes. Même si on peut la trouver en été, elle sera la star au mois de septembre, surtout auprès des chtimis lors de la braderie de Lille où elle est le met principal dans les assiettes. Pour choisir de bonnes moules, allez chez votre poissonnier où les moules sont encore vivantes. Si elles sont fraîches, elles sont ou fermées ou bien se referment dès qu’on les touche.  Il est à noter aussi que la moule de Bouchot sont certifiées AOP.

Lire page suivante : la langoustine

Pour vous c'est un clic, pour nous c'est beaucoup !
consoGlobe vous recommande aussi...



Optimiste (un peu trop parfois), je suis une éternelle rêveuse qui collectionne les Petit Prince dans toutes les langues étrangères. A part la lecture, je...

2 commentaires Donnez votre avis
  1. En tant que poissonnier je me dois de préciser certaines exactitudes sur cet article, tout d’abord ce n’est pas de la dorade grise mais de la dorade royale sur la photo la dorade royale a une couronne dorée entre les deux yeux d’ou son nom, ensuite les photos du merlan et du maquereau sont échangées et pour finir l’été ce sera surtout la saison du Thon Rouge nettement meilleur en gout texture et qualité pour tous vos sushis… bises

  2. Un article voisin de celui-ci constate que le prix du poisson bat tous les records. En mixant les deux articles, on obtient un petit miracle : on trouve des poissons qui ne sont pas ou plus menacés de disparition, qui coûtent parfois moins cher que les légumes prévus pour les accompagner, et qui (cerise sur le gâteau si j’ose dire) vont régaler la tablée. Je recommande particulièrement le maquereau. Bien frais, il ne réclame comme recette qu’un trait d’huile d’olive dans la poêle ou sur le gril, tant il est naturellement savoureux. Comme j’habite sur le littoral atlantique, j’en achète pêchés du jour à 3 euros le kg chez le poissonnier.

Moi aussi je donne mon avis