Une nouvelle étude réalisée sur les 69 espèces de poissons d’eau douce en France métropolitaine révèle que 15 sont menacées de disparition, en raison principalement de la dégradation des milieux naturels et malgré une pêche réglementée.
Cette nouvelle « liste rouge« , publiée par l’UICN et le Muséum national d’Histoire naturelle, montre notamment que 6 espèces de poisson sont « en danger » (EN) ou, plus grave, en « danger critique d’extinction » (CR)… donc à éviter de pêcher ou de mettre (trop) dans nos assiettes :
Le Chabot du Lez (CR)
Découvert en 1964, le Chabot du Lez (Cottus petiti) vit dans les zones courantes turbulentes de la rivière Lez (Hérault), présent seulement dans les 5 premiers km en aval de la source.
Son aire de répartition est ainsi extrêment limitée, à la merci de toute polltion accidentelle :
- ce petit poisson endémique de 6 cm de long est sensible aux polluants chimiques d’origine agricole (herbicides, engrais, pesticides) qui affectent sa fécondité, et entraînent même sa mort.
- Il est également menacé par les captages pour l’alimentation en eau potable de l’agglomération de Montpellier qui réduisent le débit du cours d’eau.
autre problème que le silure les cormorans ou l’on en voie souvent avec des anguilles dans le bec dans les étangs des landes des colonies de cormorans à l’année qui détruise tout au lieu de les protéger on ferais mieux de les régulés mais cela est peut être trop demander au écolos de toute sorte qui à mon humble avis pense plus à leurs pub qu’a la vrais protection de la nature ,je suis pour la protection de la nature(réfléchie) mais la vrais .
Même le milieu de la pêche et les écolos deviennent politiquement corrects.
Aucune constatation des raisons des disparitions ci-dessus ne fait état de l’introduction « imbécile » du silure en France, par des « pêcheurs »!
Evidemment cela gêne les dits « pêcheurs » et surtout les vendeurs de matériels spécialisés.
En effet, les silures qui se multiplient à vitesse grand V en France,(car rejetés vivants)font de gros dégâts sur les populations de poissons locaux, et notamment des brochets.
Aujourd’hui c’est foutu, le mal est fait et dans 20ans(ou avant) on ne pêchera que des silures dans nos fleuves. Bravo les écolos!!!!
n’importe quoi… alors comment le sandre arrive à vivre avec le silure ? si le brochet devait disparaître à cause du silure, cela aurait eu lieu depuis longtemps….le silure va ce nourrir avant tout de poisson blanc, d’un autre silure également s’il le peut, de sandre ou brochet également mais faut pas déconner non plus, il faut proportion garder
Même le milieu de la pêche et les écolos deviennent politiquement corrects.
Aucune constatation des raisons des disparitions ci-dessus ne fait état de l’introduction « imbécile » du silure en France, par des pêcheurs!
Evidemment cela gêne les pêcheurs et surtout les vendeurs de matériels spécialisés.
En effet, les silures qui se multiplient à vitesse grand V en France,(car rejetés vivants)fait de gros dégâts sur les populations de poissons locaux, et notamment des brochets.
Aujourd’hui c’est foutu, le mal est fait et dans 20ans(ou avant) on ne pêchera que des silures dans nos fleuves. Bravo les écolos!!!!
A vendre faire offre
D.P. BARBELLION
TRUITES, MOUCHES, DEVONS,
Librairie Maloine , Paris , 1948 , fort in 4 relié ltoile verte éditeur , XII – 1181 pp . Cette étude d’ ensemble analyse l’ anatomie , l’ élevage , les maladies , les instincts … de la truite . Elle aborde de façon détaillée les différentes mouches , leurs origines , le matériel de pêche au ver , à l’ insecte , le lancer leger , extra léger , et ultra léger . La derniere partie est consacrée à l’ équipement , à l’ eau , la théorie solunaire . –
nombreuses illustrations : 567 figures , 50 h.t. , 2 planches couleurs . Exemplaire en bon etat , toile un peu frottée .