À quoi Pollia condensata doit-elle sa couleur ?
Pollia condensata, elle, doit son bleu électrique à des brins de cellulose qui composent l’intérieur de sa peau et visibles à l’échelle nanoscopique. Ces brins sont disposés en couches tordues, avec des formes d’hélices arquées ; ils interagissent les uns avec les autres pour disperser la lumière en donnant l’impression d’interférences et donner au fruit cette couleur bleue si profonde.
Les scientifiques confirment que les tissus de Pollia condensata ont la couleur la plus intense de tous les tissus vivants étudiés à ce jour.
L’étonnante structure du fruit à une échelle nanoscopique vue à travers un microscope électronique : Pollia condensata reflète plus de lumière polarisée que tout autre organisme vivant naturel.
Ils réfléchissent en effet 30 % de la lumière qui les touche, tout comme un miroir d’argent. La structure en fibres empilées d’échelle nanométrique confère aux baies de P. Condensata une dose d’étrangeté en plus. En effet, ses cellules prises individuellement semblent changer de couleur, en fonction de l’angle où on les observe, car la lumière qui touche sa surface est reflétée de mille manières.
Illustration bannière : extrait vidéo Youtube
- http://www.pnas.org/content/109/39/15712[/source)], a tenté de déterminer les composantes qui expliquent ces couleurs : est-ce du à des pigments particuliers ?
Pas du tout, car pollia condensata n’a pas de pigment ! Sa couleur découle d’un phénomène appelé la coloration structurelle. Il s’agit du même mécanisme en jeu dans la couleur du paon Tailfeathers ou celle des ailes de certains papillons, pigeons, scarabées… et même des dinosaures ! Ce qui est étonnant, c’est que ce phénomène est bien connu chez les animaux mais n’était pas identifié chez les végétaux. Le magazine scientifique américain Smithsonian(2)http://www.smithsonianmag.com/science-nature/this-african-fruit-produces-the-worlds-most-intense-natural-color-30070457/
- http://www.pnas.org/content/109/39/15712[/source)], a tenté de déterminer les composantes qui expliquent ces couleurs : est-ce du à des pigments particuliers ?
Pas du tout, car pollia condensata n’a pas de pigment ! Sa couleur découle d’un phénomène appelé la coloration structurelle. Il s’agit du même mécanisme en jeu dans la couleur du paon Tailfeathers ou celle des ailes de certains papillons, pigeons, scarabées… et même des dinosaures ! Ce qui est étonnant, c’est que ce phénomène est bien connu chez les animaux mais n’était pas identifié chez les végétaux. Le magazine scientifique américain Smithsonian(2)http://www.smithsonianmag.com/science-nature/this-african-fruit-produces-the-worlds-most-intense-natural-color-30070457/
- http://www.pnas.org/content/109/39/15712[/source)], a tenté de déterminer les composantes qui expliquent ces couleurs : est-ce du à des pigments particuliers ?
Pas du tout, car pollia condensata n’a pas de pigment ! Sa couleur découle d’un phénomène appelé la coloration structurelle. Il s’agit du même mécanisme en jeu dans la couleur du paon Tailfeathers ou celle des ailes de certains papillons, pigeons, scarabées… et même des dinosaures ! Ce qui est étonnant, c’est que ce phénomène est bien connu chez les animaux mais n’était pas identifié chez les végétaux. Le magazine scientifique américain Smithsonian(2)http://www.smithsonianmag.com/science-nature/this-african-fruit-produces-the-worlds-most-intense-natural-color-30070457/
- http://www.pnas.org/content/109/39/15712[/source)], a tenté de déterminer les composantes qui expliquent ces couleurs : est-ce du à des pigments particuliers ?
Pas du tout, car pollia condensata n’a pas de pigment ! Sa couleur découle d’un phénomène appelé la coloration structurelle. Il s’agit du même mécanisme en jeu dans la couleur du paon Tailfeathers ou celle des ailes de certains papillons, pigeons, scarabées… et même des dinosaures ! Ce qui est étonnant, c’est que ce phénomène est bien connu chez les animaux mais n’était pas identifié chez les végétaux. Le magazine scientifique américain Smithsonian(2)http://www.smithsonianmag.com/science-nature/this-african-fruit-produces-the-worlds-most-intense-natural-color-30070457/
- http://www.pnas.org/content/109/39/15712[/source)], a tenté de déterminer les composantes qui expliquent ces couleurs : est-ce du à des pigments particuliers ?
Pas du tout, car pollia condensata n’a pas de pigment ! Sa couleur découle d’un phénomène appelé la coloration structurelle. Il s’agit du même mécanisme en jeu dans la couleur du paon Tailfeathers ou celle des ailes de certains papillons, pigeons, scarabées… et même des dinosaures ! Ce qui est étonnant, c’est que ce phénomène est bien connu chez les animaux mais n’était pas identifié chez les végétaux. Le magazine scientifique américain Smithsonian(2)http://www.smithsonianmag.com/science-nature/this-african-fruit-produces-the-worlds-most-intense-natural-color-30070457/
- http://www.pnas.org/content/109/39/15712[/source)], a tenté de déterminer les composantes qui expliquent ces couleurs : est-ce du à des pigments particuliers ?
Pas du tout, car pollia condensata n’a pas de pigment ! Sa couleur découle d’un phénomène appelé la coloration structurelle. Il s’agit du même mécanisme en jeu dans la couleur du paon Tailfeathers ou celle des ailes de certains papillons, pigeons, scarabées… et même des dinosaures ! Ce qui est étonnant, c’est que ce phénomène est bien connu chez les animaux mais n’était pas identifié chez les végétaux. Le magazine scientifique américain Smithsonian(2)http://www.smithsonianmag.com/science-nature/this-african-fruit-produces-the-worlds-most-intense-natural-color-30070457/
- http://www.pnas.org/content/109/39/15712[/source)], a tenté de déterminer les composantes qui expliquent ces couleurs : est-ce du à des pigments particuliers ?
Pas du tout, car pollia condensata n’a pas de pigment ! Sa couleur découle d’un phénomène appelé la coloration structurelle. Il s’agit du même mécanisme en jeu dans la couleur du paon Tailfeathers ou celle des ailes de certains papillons, pigeons, scarabées… et même des dinosaures ! Ce qui est étonnant, c’est que ce phénomène est bien connu chez les animaux mais n’était pas identifié chez les végétaux. Le magazine scientifique américain Smithsonian(2)http://www.smithsonianmag.com/science-nature/this-african-fruit-produces-the-worlds-most-intense-natural-color-30070457/
- http://www.pnas.org/content/109/39/15712[/source)], a tenté de déterminer les composantes qui expliquent ces couleurs : est-ce du à des pigments particuliers ?
Pas du tout, car pollia condensata n’a pas de pigment ! Sa couleur découle d’un phénomène appelé la coloration structurelle. Il s’agit du même mécanisme en jeu dans la couleur du paon Tailfeathers ou celle des ailes de certains papillons, pigeons, scarabées… et même des dinosaures ! Ce qui est étonnant, c’est que ce phénomène est bien connu chez les animaux mais n’était pas identifié chez les végétaux. Le magazine scientifique américain Smithsonian(2)http://www.smithsonianmag.com/science-nature/this-african-fruit-produces-the-worlds-most-intense-natural-color-30070457/
- http://www.pnas.org/content/109/39/15712[/source)], a tenté de déterminer les composantes qui expliquent ces couleurs : est-ce du à des pigments particuliers ?
Pas du tout, car pollia condensata n’a pas de pigment ! Sa couleur découle d’un phénomène appelé la coloration structurelle. Il s’agit du même mécanisme en jeu dans la couleur du paon Tailfeathers ou celle des ailes de certains papillons, pigeons, scarabées… et même des dinosaures ! Ce qui est étonnant, c’est que ce phénomène est bien connu chez les animaux mais n’était pas identifié chez les végétaux. Le magazine scientifique américain Smithsonian(2)http://www.smithsonianmag.com/science-nature/this-african-fruit-produces-the-worlds-most-intense-natural-color-30070457/
- http://www.pnas.org/content/109/39/15712[/source)], a tenté de déterminer les composantes qui expliquent ces couleurs : est-ce du à des pigments particuliers ?
Pas du tout, car pollia condensata n’a pas de pigment ! Sa couleur découle d’un phénomène appelé la coloration structurelle. Il s’agit du même mécanisme en jeu dans la couleur du paon Tailfeathers ou celle des ailes de certains papillons, pigeons, scarabées… et même des dinosaures ! Ce qui est étonnant, c’est que ce phénomène est bien connu chez les animaux mais n’était pas identifié chez les végétaux. Le magazine scientifique américain Smithsonian(2)http://www.smithsonianmag.com/science-nature/this-african-fruit-produces-the-worlds-most-intense-natural-color-30070457/
- http://www.pnas.org/content/109/39/15712[/source)], a tenté de déterminer les composantes qui expliquent ces couleurs : est-ce du à des pigments particuliers ?
Pas du tout, car pollia condensata n’a pas de pigment ! Sa couleur découle d’un phénomène appelé la coloration structurelle. Il s’agit du même mécanisme en jeu dans la couleur du paon Tailfeathers ou celle des ailes de certains papillons, pigeons, scarabées… et même des dinosaures ! Ce qui est étonnant, c’est que ce phénomène est bien connu chez les animaux mais n’était pas identifié chez les végétaux. Le magazine scientifique américain Smithsonian(2)http://www.smithsonianmag.com/science-nature/this-african-fruit-produces-the-worlds-most-intense-natural-color-30070457/
- http://www.pnas.org/content/109/39/15712[/source)], a tenté de déterminer les composantes qui expliquent ces couleurs : est-ce du à des pigments particuliers ?
Pas du tout, car pollia condensata n’a pas de pigment ! Sa couleur découle d’un phénomène appelé la coloration structurelle. Il s’agit du même mécanisme en jeu dans la couleur du paon Tailfeathers ou celle des ailes de certains papillons, pigeons, scarabées… et même des dinosaures ! Ce qui est étonnant, c’est que ce phénomène est bien connu chez les animaux mais n’était pas identifié chez les végétaux. Le magazine scientifique américain Smithsonian(2)http://www.smithsonianmag.com/science-nature/this-african-fruit-produces-the-worlds-most-intense-natural-color-30070457/
- http://www.pnas.org/content/109/39/15712[/source)], a tenté de déterminer les composantes qui expliquent ces couleurs : est-ce du à des pigments particuliers ?
Pas du tout, car pollia condensata n’a pas de pigment ! Sa couleur découle d’un phénomène appelé la coloration structurelle. Il s’agit du même mécanisme en jeu dans la couleur du paon Tailfeathers ou celle des ailes de certains papillons, pigeons, scarabées… et même des dinosaures ! Ce qui est étonnant, c’est que ce phénomène est bien connu chez les animaux mais n’était pas identifié chez les végétaux. Le magazine scientifique américain Smithsonian(2)http://www.smithsonianmag.com/science-nature/this-african-fruit-produces-the-worlds-most-intense-natural-color-30070457/
mais ou trouver les graines
Superbe couleur! Ainsi la fibre de cellulose a des vertus cachées! Oui, cela rappelle tout à fait les beaux scarabées. Merveilleuse Nature!