Les potagers urbains conquièrent nos villes petit à petit. Véritable bouts de nature, ils permettent aux citadins de cultiver sur des espaces verts délaissés. Mais, même si cette initiative a plusieurs avantages et effets bénéfiques, la question de la pollution pose problème. Alors, quels risques pour les potagers urbains ?
Potagers urbains, une bouffée d’oxygène pour la ville
Les potagers urbains ont plusieurs objectifs : récupérer les espèces verts des villes, améliorer la qualité de l’air, lutter contre le bétonnage.
Mais surtout, assurer une production d’aliments éco-compatibles, nourrissants, sains et économiques.
Ainsi, nombreux sont ceux qui développent les potagers urbains pour faire pousser salades, choux, carottes et autres pommes de terre, ou pour remplacer les plantes décoratives des balcons par de la sauge, de la menthe ou encore de la ciboulette.
Potagers urbains : un succès collectif
Les potagers urbains pullulent ci et là, en particulier dans les grandes villes, où pollution et ciment asphyxient l’environnement. A Paris, par exemple, les potagers sont en augmentation de 50 % chaque année.
Le potager urbain se place ainsi comme une solution privilégiée pour faire face à des projections démographiques inquiétantes. En effet, avec l’augmentation de l’urbanisation qui prévoit 3,5 milliards d’êtres humains dans les villes d’ici à 2025, le potager urbain risque d’être salvateur.
Autre avantage de ces espaces verts : ils garantissent des produits sains, améliorent les conditions de santé et pourraient parfois contrebalancer les déséquilibres climatiques.
Potagers urbains : le revers de la médaille
Malgré les effets bénéfiques du potager urbain, il semble que certaines limites soient en train de se dresser sur le chemin de ces espaces de verdure.
D’après une recherche effectuée par le Département Ecologique de l’Université technique de Berlin*, une étude montre que des métaux ont été retrouvés dans les potagers cultivés à proximité des voies empruntées par les automobiles.
bah raison de plus pour développer le vélo en ville et améliorer la gestion/réduction des déchets, d’autant qu’il n’y a pas que ces légumes qui grandissent dans cet environnement urbain pollué : il y a nous aussi…
Cet été j’ai pu manger de notre jardin minuscule 4 ou 5 figues succulentes chaque matin au petit déjeuner pendant plus d’un mois (en Picardie) Est-ce pire que de manger un fruit sans aucun goût à part celui des piqûres de leurs saletés de conservateur et qui sont importés ? Et les petites tomates que l’on récolte je peux vous dire que le goût n’a rien à voir. Autre chose! Le lait du matin vous pensez qu’il a le goût du lait, qu’il soit entier, 1/2 écrémé etc…Ce n’est que de la flotte, car on lui a extrait tout ce qui lui donne sa saveur pour revendre la crème à part X fois le prix de revient. Et ce ne sont pas les producteurs qui en profitent !
Cet été j’ai pu manger de notre jardin minuscule 4 ou 5 figues succulentes chaque matin au petit déjeuner pendant plus d’un mois (en Picardie) Est-ce pire que de manger un fruit sans aucun goût à part celui des piqûres de leurs saletés de conservateur et qui sont importés ? Et les petites tomates que l’on récolte je peux vous dire que le goût n’a rien à voir. Autre chose! Le lait du matin vous pensez qu’il a le goût du lait, qu’il soit entier, 1/2 écrémé etc…Ce n’est que de la flotte, car on lui a extrait tout ce qui lui donne sa saveur pour revendre la crème X à part X fois le prix de revient. Et ce ne sont pas les producteurs qui en profitent !
Bonjour
Je suis un peu hors sujet on nous parle des légumes bio mais quand on ouvre les serres pour la pluie les nuages viennent de loin et transportent des cochonneries
et l’eau de pluie dans les bidons on arrose avec on le voit des fois un parc d’haricots verts par exemple suite à une pluie acide devient la moitié jaune et l’autre est intact il est temps de se tracasser il fallait le faire avant
C’est malheureusement vrai…cultiver au bord de routes très fréquentées, c’est pas le top. En revanche, est-ce qu’on sait ce qu’il en est des légumes cultivés en hauteur, sur les toitures, comme à New York ou dans d’autres grandes villes ? L’air y est sans doute pollué, mais on parle de métaux lourds…et s’ils sont lourds, ils devraient rester en bas, non ? Y a-t-il des études qui ont été menées sur cette question ? Si quelqu’un a des réponses, merci d’avance…
C’est trop comique : cela fait des décennies que l’industrie agro-alimentaire nous empoisonne avec des végétaux (légumes et fruits) bourrés de pesticides, insecticides, herbicides et autres -cides, et on veut nous faire peur avec les légumes cultivés sur son balcon SANS produit phyto-sanitaire et parfois arrosés avec de l’eau de récupération. Faut-il rire ou pleurer ?
il faut surtout continuer ce magnifique projet de jardin pour tous partout en utilisant tous les espaces verts possibles à la ville et dans nos campagnes. Arrêtons le béton! La pollution est partout mais quand nos dirigeants comprendront ils qu’il y a urgence à ouvrir les yeux et à prendre les bonnes résolutions ? C EST UNE QUESTION DE SURVIE MONDIALE