Alimentation : les protéines du futur
Alors, qu’allons-nous voir arriver dans nos assiettes ?
Les protéines de la mer : les micro-algues
Les micro-algues offrent des perspectives intéressantes car elles sont d’excellentes sources de protéines. La spiruline, par exemple, en contient jusqu’à 70 %.
Les chercheurs restent optimistes. De petites structures se développent dans la culture et l’exploitation des algues. Les ressources maritimes retiennent particulièrement leur intérêt, dans le sens qu’elles n’utilisent pas de surfaces agricoles qui risquent bientôt de ne plus être assez nombreuses pour nourrir toute la population.
Que le consommateur se rassure, ces « légumes de la mer » seront intégrés dans de la farine, pour en faire des pâtes, des céréales et des boissons, et pas à consommer tels quels !
Où trouver de la spiruline naturelle et de qualité ? Sur la boutique consoGlobe.
Déjà très appréciées : les matières protéiques végétales (MPV)
Issues de céréales et de légumineuses très riches en protéines comme le soja ou le lupin (comportant chacun 40 % de protéines), les MPV présentent de nombreux avantages. Elles confèrent aux produits :
- une meilleure qualité nutritionnelle ;
- des propriétés organoleptiques élevées ;
- un faible impact environnemental.
On comprend ainsi facilement que les MPV, déjà très prisées, le seront plus encore à l’avenir, notamment par l’utilisation de certaines plantes très riches en protéines capables de pousser en Afrique ou en Inde, comme la moringa.
L’atout santé : les mycoprotéines des champignons
Extraites d’une espèce de champignon bien spécifique, le Fusarium venenatum, les mycoprotéines font leur apparition en 1995 en Grande-Bretagne. C’est une société anglaise, Quorn, spécialisée dans les substituts de viande, qui a réussi à obtenir 40 à 85 % de protéines de qualité supérieure à partir de ce champignon.
Le haché de Quorn, par exemple, est très riche en protéines et ne contient quasiment pas de cholestérol tout en étant très pauvre en matières grasses. De vrais bienfaits pour la santé !
Lire page suivante : les insectes, un met d’avenir auquel il va falloir s’habituer
Je suis désolé, mais on sera au alentour de 11 milliards non pas en 2100 mais en 2050 ce qui sera un problème incroyable. On a tout de même besoin de consommer de la viande ce qui, contrairement a ce qu’il y a de marquer, n’a pas chuter, tout au contraire. Les plantes, sauf moringa olifeira produise bien des protéines, mais pas avec la totalité des vingts acides aminée. Les algues sont très bien, mais pour les acides gras insaturer pas pour les protéines. Le lait matèrnèlle contient peut de protéines, mais ce son les bactéries qui les produise (flore intestinale de maman). Les solutions, les insectes sont facile à èlevé, mais les vers de terre et les gastéropodes encore plus avec des rendements plus èlevé.
Stop, il faut arrêter avec le mythe des protéines, on en consomme tous beaucoup trop (vegan, canivores etc), on a pas besoin d’autant protéines!
Ce que l’on a besoin c’est de micro nutriments d’une nourriture physiolgique donc 100% végétale et crue car au dessus de 42 degrés cela tue les enzymes!
Si vous mangez de la mort vous donnerez de la mort à votre corps, la viande acidifie tellement le sang qu’elle est responsable des rhumatismes et de la goutte (et d’autres millards de maladies)!
Quand l’humain comprendra qu’il faut manger une nourriture fraîche, végétale, biologique?
a koparanian ,c’est vrai qu on mange trop de viande , et pour le restaurant
végétarien , je me suis souvent poser la question mais ou est le restaurant végétarien car ici c’est la campagne il n y a pas ! c’est dommage et a l exterieur de restaurant , ce serai bien de mettre un titre cuisine végétarien au mur de restaurant car il faut chercher les restos , sinon lire les menus a l affiche ok mais une pancarte est mieux et visible , je pense qu on trouve surtout dans les grandes villes …. et il faut connaitre les endroits ……
moi non plus je n aimerai pas manger des insectes et encore moins des araignes bbrrrrr
Laissez les animaux tranquilles (dont les insectes bien sûr) et associez légumineuses et céréales dans votre alimentation. Cela suffit largement pour l’apport de protéines nécessaires.
Pourquoi voulez-vous toujours manger du cadavre ?
Je ne mangerai jamais d’insectes! Pour moi, c’est l’horreur absolue
Mais je veux bien essayer la spiruline. Peut-on s’en procurer ailleurs que sur internet? On en consomme sous quelle forme? Les algues ne me tentent pas.
Je ne veux pas renoncer complètement aux protéines animales (un bon couscous, ou un poulet rôti, mmm) mais aimerais en diminuer la consommation.
Où pourrai-je consulter votre réponse dont je vous remercie d’avance?
Cordialement.
Bonjour Monique,
Et merci pour votre commentaire sur Consoglobe !
Voici un article très complet sur la spiruline : http://www.consoglobe.com/spiruline-algue-100-bienfaits-3079-cg/2
Comme vous le verrez, on la trouve sur Internet. Essayez peut-être de demander aux boutiques bio près de chez vous ? Sait-on jamais.
A bientôt sur le site !
Sandrine.
On y arrivera jamais le français est trop en retard sur tout et je pense qu il se fout du respect de la planète je sais de quoi je parle j ai vingt ans de restauration à mon actif en salle moi ça fait 15 ans que je ne mange plus de viande ni volaille rien et pourtant je ne suis pas morte et il n y a pas assez de restaurant végétarien c est triste pour la France
Le lait maternel contenant 1,5 à 2% de protéines, doit-on vraiment en manger en grande quantité ? Et tous les légumes qui contiennent des protéines, pourquoi ne sont-ils pas mentionnés dans l’article ?
Bonjour Laurence,
Merci pour votre commentaire sur le site. Notre article concernait les protéines du futur, voici un article plus global sur les sources (et quantités) de protéines : http://www.consoglobe.com/un-jour-sans-viande-ou-sont-les-autres-sources-de-proteines-cg
A bientôt,
Sandrine.
Ca fait quelques années que nous consommons très peu de viande (2 ou 3 fois l’an) nous mangeons toutes sortes de protéine : pois-chiches, lentilles, haricots, des protéines de soja, tofu, tempeh, natto… qui permettent des recettes délicieuses et variées. De même la consommation d’algues permet de nombreuses préparations, dans les soupes, pour faciliter la cuisson et la digestion des haricots, pour faire des makis… le kg de soja jaune bio coûte environ 3,50 € et 500 gr permettent de faire 750 gr de tofu…
Faisons confiance au bio français car le label n’est pas facile à obtenir et les contrôles sont fréquents.
Ayant vécu dans les iles du pacifique, j ai souvent remplacé le poisson par les vers de cocotiers… un vrai regal, une fois l’idée de la bête dépassée… ! Mais si leur « culture » actuelle totalement naturelle permet d’avoir une protéine de qualité au gout de coco… que deviendrait ce gout et la qualité du vers élevé industriellement ? Je me demande si on arriverait pas dans les mêmes travers que le boeuf ou le poulet….
On parle de soja, d algue etc… mais leur environnement de culture est il réellement protégé?
Quand on parle de bio, on oublie que les parcelles sont souvent peu éloignées des non bio… qui contrôle et empêche le ruissellement des eaux des parcelles non bio vers les bio, des pluies chargées de pollution , des toxines et autres déchets dans la mer ou l on élève du poisson bio etc…
J aimerais bien pourtant avoir une alimentation en accord avec mes valeurs… mais j ai encore des doutes et suis pas certaine que cela va s améliorer….
Economie oblige!
je pense qu’il faut privilégier la sauvegarde de l’agriculture et des aliments naturels et bio et préserver la faune et la flore de façon à ce que nous n’ayons pas à manger de telles horreurs.
En effet ! En espérant que cela sera suffisant pour nourrir tout le monde…