Même chez soi, l’air est pollué
Une autre source de pollution est pointée du doigt par le rapport EPI, dans un autre lieu. La pollution domestique, due à la combustion d’énergies solides (charbon, bois par exemple) pour cuisiner ou se chauffer. Cela pose de sérieux problèmes sanitaires, en favorisant notamment l’apparition de pneumonies et de problème respiratoires chez les enfants. Chez les adultes, cela peut conduire à une obstruction chronique des poumons.
Le rapport l’assure : « une exposition récurrente à un air domestique, pollué par la combustion d’énergies solides utilisé pour cuisiner ou se chauffer est parmi les plus importantes et les plus silencieuses causes de mortalité dans le monde. » Selon l’étude, ce type de pollution serait en effet responsable d’environ 2,8 millions de morts prématurées à travers le monde.
Les premiers et principaux touchés : les pays en développement. L’étude met en lumière une corrélation claire entre le produit national brut et la pollution domestique. Les populations qui n’ont pas accès à des technologies nouvelles pour cuisiner et se chauffer représentent l’essentiel des victimes de cette pollution domestique. C’est le cas de 730 millions de personnes en Afrique Sub-Saharienne. Au total, trois milliards de personnes cuisinent au feu ou utilisent des cuisinières avec combustion de biomasse (essentiellement bois et charbon).
Des énergies propres ?
Une solution serait possible. L’utilisation d’énergies propres telles le gaz liquide ou l’électricité permettraient une réduction des émissions. Un problème récurrent se heurte à cette solution : le manque de moyens et d’accès à ce type d’énergies.
Par ailleurs, l’installation de cheminées ou de hottes favoriserait une dépollution domestique. Mais cette dernière solution présente un problème, cela contribuerait à accentuer la pollution environnementale.
Dans les pays où la qualité de l’air extérieur est forte en concentration de particules fines, l’air intérieur n’est pas de bien meilleure qualité. Un exemple édifiant : 160 bureaux ont été évalués à Pékin. Au total, 90 % avaient une qualité d’air intérieur comparable à la pollution ambiante. Un facteur aggravant dû du fait que les citadins passent la majorité de leur temps à l’intérieur plutôt à qu’à l’extérieur.
Le rapport pointe un autre problème : le manque d’indicateurs disponibles pour mesurer cette pollution domestique. C’est d’autant plus inquiétant que 50 % de la population mondiale vit en ville et que 2,5 milliards projettent d’y vivre d’ici 2050…
bonjour, Les médecins devraient être un peu plus curieux lorsque des gens se plaignent de troubles divers dont ils ne voient pas la cause, et envoient le « patient » chez un neurologue qui, lui aussi, se creuse la cervelle. Je connais une personne qui se plaint de douleurs diverses, de maux de tête, de fatique. Cette personne bouche les entrées d’air de son logement indispensable au bon fonctionnement de la VMC, à tel point qu’au début, après avoir tout bouché, elle s’est plaint qu’il y avait de la condensation au bord des fenêtres. Le bailleur est allé voir et à découvert du scotch bien large à toutes les entrées d’air. Elle avait aussi bloqué le passage sous les portes intérieures qui est nécessaire pour le bon fonctionnement de la VMC. Elle fait la lessive tous les jours dit-elle, et fait sécher le linge à l’intérieur (alors qu’elle a un abri dehors) le linge a du mal à sécher, il surcharge encore plus l’air d’humidité, alors le linge sent mauvais car les bactéries se développe vu que le linge sèche très lentement. Alors qu’à cela ne tienne, elle met une bonne rasade d’assouplissant très ordorant et ça empeste dans les parties communes. Qu’est-ce que ça doit être chez elle ! Tous ces produits ménagers sont mauvais pour la santé, c’est bien connu. Cette personne court chez les médecins, le neurologue, fait des cures thermales et est en invalidité à près de 2000 euro par mois.
Alors, pour tous les malades qui n’ont pas une maladie très nette, les médecins feraient bien de s’intéresser à l’intérieur du logement de ces gens. Pour moi, c’est le syndrome de Münchausen, on se fabrique la maladie, et puis on va se plaindre chez le docteur qui n’y voit que du feu.
De passage à Paris,hotel porte d’Italie,je n ai pu tenir que 4jours tant les particules fines me provoquaient une forte irritation de la gorge et une sensation d’étouffement,habitant Arcachon,respirant un air pur toute l’année,le choc a été rude pour mon organisme,je me suis promis de ne plus jamais remettre les pieds à la capitale,je m’interroge sur la capacité d’adaptation des parisiens seraient-ils des mutants ou pire des condamnés en devenir