Une équipe de chercheurs américains a découvert qu’il serait possible d’utiliser les plumes de poulet pour produire un type de bioplastique.
La kératine et les fibres présentes dans les plumes de poulet deviendraient l’ingrédient principal de ce bioplastique nouvelle génération. Les avantages : ce bioplastique sera biodégradable et « l’ingrédient de base » est présent en grande quantité, puisque ce sont tout de même 750 000 000 de poulets qui sont abattus chaque année en France !
Le designer Erik de Laurens est à l’initiative de cet autre bioplastique, d’origine plutôt inattendue. Le matériau qu’il a inventé est conçu à base d’arêtes de poissons ! Il conçoit des objets du quotidien à partir des arêtes récupérées et chauffées, comme des verres, des montures de lunettes … A quand les assiettes et les couverts en arêtes de poissons dans nos cuisines ?
Un bioplastique à base de Co2
L’AIST, Institut National Japonais des industries et technologies avancées a réussi à créer un plastique élastique et résistant à base de Co2. Sa composition : du Carbonate de polypropylène (PPC) auquel on ajoute deux types de polyesters organiques gras. La masse finale de ce composé serait de 30 % de CO2, des perspectives plus qu’intéressantes.
La solution idéale pour le moment reste de limiter tant que faire se peut l’utilisation de plastique à l’aide de petites astuces comme l’emballe sandwich Boc N Rol que vous pouvez trouver dans la boutique, faire ses courses au marché avec son panier ou utiliser un cabas quand on va en grande surface, privilégier les contenant en verre …
En d’autres termes, retrouvons les habitudes de nos grand-mères et qui étaient beaucoup moins nocif pour la Planète !
Créer des bioplastiques à partir de ‘déchets’ de cultures alimentaires, je pense que cela est la meilleure des solutions.
Nous n’utilisons pas une superficie spécifique pour l’alimentation humaine… et si nous devons détruire des déchets autant les recycler.
Créer des bioplastiques à partir de ‘déchets’ de cultures alimentaires, je pense que cela est la meilleure des solutions.
Nous n’utilisons pas une superficie spécifique pour l’alimentation humaine… et si nous devons détruire des déchets autant les recycler.