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Eco Season Pass : le client s’engage, l’hôtel l’invite
Au Soneva Gili, chaque villa, privative ; est posée sur pilotis au milieu de l’eau et aménagée avec le plus grand goût et un souci du détail sans pareil. Coucher du soleil sur la terrasse en duplex, lever du soleil face au lit aux draps de soie, bain de minuit privé sous la lune dans l’océan Indien. Pas très zéro carbone, les gadgets high-tech, incongrus pour l’endroit mais indispensables à la réputation d’un 5*, sont camouflés sous des éléments naturels bruts ou design – bois, palme, sable. Tous les matériaux utilisés sont naturels – pas seulement dans la villa, dans tout le resort.
No news nos shoes, mais aussi no plastic
Et tout est recyclé sur place. Plusieurs centres de retraitement donnent une nouvelle vie à tout ce qui n’est pas réutilisé quotidiennement. Les déchets ménagers sont triés et dirigés vers les différents composts qu’un permaculteur organise selon la composition des sols et les saisons, évidemment sans engrais chimique. Tout ce qui est servi à table provient des potagers de l’hôtel et des fermes érigées sur les îles locales voisines où la population est également initiée à la protection de l’environnement.
Les pêcheurs voient ainsi leur pêche assurée d’être achetée à condition de respecter les règles de préservation des espèces protégées. Les locaux composent 85 % des employés de chaque hôtel. Formés comme pour les plus grands palaces, ils sont conscients de l’enjeu des comportements sur l’avenir de leur pays menacé par la montée des eaux et sont extrêmement fiers de leur engagement – et heureux de rencontrer enfin des gens du monde entier. Les clients qui le souhaitent participent chaque semaine au cleaning day qui consiste à faire le tour de l’île pour ramasser les éventuels déchets. Ils partent ensuite avec le staff réaliser la même opération sur l’île locale la plus proche. L’envers du décor est totalement accessible à tous.
Mieux : une formule eco season pass, de juin à octobre, permet aux amateurs de recevoir 4 nuits gratuites s’ils ont participé à des activités les 4 jours précédents pendant 4h – préservation des fonds marins, plantation d’arbres sur les îles voisines, activités de sensibilisation auprès de la population (gestion des déchets, enseignement de l’anglais ou de nos cultures occidentales), aide dans les potagers, toutes les expertises sont les bienvenues. La plupart des clients n’ont vraiment pas besoin de gratuités mais se laissent volontiers porter par cette vague de conscientisation.
après lecture de ce reportage, ma réflexion porte sur le fait que ce tourisme de luxe n’attire que ceux qui ont les moyens financiers pour le pratiquer. Et ces mêmes personnes qui ont les moyens financiers, comment gagnent elles cet argent ? grâce aux bons résultats de holding qui « œuvrent »( faire un maximum de résultat ) dans des pays sous développés ? dans des pays où la main d’œuvre est moins cher ? Nous pouvons donc dire que c’est un « juste retour des choses » ?
Il y a + de 40 ans, (déjà ?) je rêvais d’y aller… avant qu’elles ne soient submergées !!! Je passais (déjà !)pour une « illuminée »…
Mes moyens (comme Evita) ne l’ont jamais permis et ne le permettent toujours pas…
Alors je continue de rêver derrière mon PC en espérant de toute mes forces que ces bouts de paradis ne disparaitront pas et que les générations futures ne se demanderont pas si tout cela a vraiment existé…
les hôtels paradisiaques c’est vrai! seulement ils charrient des tonnes d’ordures en tout genre qui sont brulées à ciel ouvert sur une ile près de Malé, de plus les iles habitées par la population locale sont de véritables iles ordures ( je les aient « visitées » )alors l’écologie des Maldiviens bof!
quand a la montée des eaux c’est vrai beaucoup d’iles hôtel pompent du sable au large pour le rependre sur les plages,ce sable est égallement mis en sac et est calé au pied des cocotiers pour éviter l’érosion…moralité ou l’homme va…..dépêchez vous quand même d’y d’aller , une fois dans votre vie, le temps presse!
j’ai pas les moyens jenace !