1 – Acheter local
Si vous consacrez ne serait-ce que 1 % de votre budget alimentaire à des produits locaux en achetant notamment dans des magasins indépendants (petits commerces, chaînes locales, rayons régionaux, …), vous réduisez fortement la pollution liée au transport et à l’emballage des marchandises. De plus, vous donnez un signal fort à la grande distribution et aux commerçants qui va les encourager à se fournir localement. Dans un pays comme la Grande Bretagne où pas loin de la moitié des produits alimentaires sont importés, le transport aérien est le premier moyen de transport, avec les dépenses en kérosène qui s’ensuivent. En France, où la part du transport routier est plus importante, même les produits « locaux » des grandes surfaces parcourent des centaines de kilomètres.
2 – Evitez les vols « low costs »
L’envolée des vols des compagnies dites « à bas coûts » cache un phénomène que les économistes appellent « l’externalisation des coûts ». En clair : ces compagnies aériennes ne supportent pas l’intégralité des coûts qu’elles font peser sur la société. Souvent subventionnées, directement ou indirectement, elles profitent d’infrastructures toujours plus nombreuses et d’un kérosène peu taxé.
Le nombre d’avions devrait doubler d’ici l’an 2020 et le trafic aérien va devenir en 2050 la première cause de changement climatique… Le voyageur qui pense faire une bonne affaire en payant son billet quelques euros, oublie le coût des transports et de l’attente à l’aéroport et contribue, bien malgré lui, à accentuer la dérive climatique. Voir aussi « Volez la nuit pollue plus ».
3 – Reprenez votre vélo
Votre voiture passe le plus clair de sa vie immobile et votre vélo aussi. Plus des 2/3 des trajets en voiture sont effectués pour des distances courtes (moins de 76 kilomètres) faciles à faire à vélo. Les grandes villes, fatiguées des millions d’heures perdues dans les embouteillages, multiplient les pistes cyclables. De plus en plus de municipalités, propose des solutions de vélos gratuits. Voir aussi « le vélo gratuit en ville ».
4 – Utilisez le compostage dans votre gestion des déchets
Pas moins de 60 % des déchets proviennent d’éléments qui pourraient être facilement recyclés dans un compost et ne pas finir ensevelis dans des décharges ou incinérés. Même sans avoir un grand jardin, il est facile d’installer et de démarrer un compost, soi en le construisant soi même, soit en achetant un prêt à l’emploi.
Une fois lancé, suivez nos conseils pour réussir son compost
j’ai décidé d’arrêter d’acheter du « jetable » : j’ai ainsi remplacé le papier toilette par du « tissu toilette », utilise des éponges et torchons plutôt que du papier essuie-tout, des mouchoirs en tissus, un « keeper » (alternative aux tampons), des serviettes hygiéniques lavables…
j’ai installé des toilettes sèches et comme Marie j’ai toujours une bassine dans l’évier pour récupérer l’eau sans produit afin de la réutiliser pour le jardin, les animaux ou autre.
tous ces gestes sont écologiques, mais aussi économiques (hélas cet argument a souvent plus de poids), et ne demandent que de modifier quelques habitudes.
je suis économe, lorsque j’ouvre le robinet d’eau chaude pour la vaisselle, ma douche et autres emplois, au début il coule toujours une partie d’eau froide avant que l’eau chaude n’arrive, je récupère donc cette eau froide dans un seau et je l’utilise pour mes wc (cela énonomise une chasse d’eau), pour laver mes sols et arroser mes plantes (quand je n’ai plus d’eau de pluie), j’économise environ 10 litres d’eau par jour (je vis seule).
il fo ke lé gent arete de jetezr des papier par terre et pa fumer